Discussion:Claire Bazard

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Jean-Marie Roulin, Corps, littérature, société, 1789-1900[modifier le code]

l'avis d' Arrakis (discuter | contributions) (→Bibliographie : J'avais déjà indiqué "livre trop éloigné du sujet" et n'avais pas vu de contre-argument, me semeble-t-il)

  • Jean-Marie Roulin, Corps, littérature, société, 1789-1900, Cnrs. Unité mixte de recherche LIRE, Université de Saint-Etienne, 2005, (ISBN 9782862723846) (Google Livres)
Je ne suis pas du tout en accord avec vous, il y a plus de 10 pages sur le sujet. Je vous accorde simplement que cela ne concerne qu'un "moment" de l'histoire des saint-simoniens, mais c'est une analyse de la période de la rupture et de la façon dont Enfantin la provoque et la gère, rôle de Claire en tant que femme entre les deux Pères, le "Saint esprit" Olinde Rodrigues et la place de la Mère. « Au dénouement, c'est Claire, quelque peu complice, semble-t-il, d'Enfantin, mais frustrée du trône par la dérobade finale de ce dernier, et de ce fait rejetée dans une opposition frontale, qui brise le silence jusque-là observé par les Pères et pairs du Collège saint-simonien envers les rangs inférieurs. Se substituant, il est vrai, au Père défait, comme si elle s'était emparée de ses pouvoirs, elle révèle et expose, par écrit, pour la dénoncer (l'abjurer?), ce qu'elle nomme "la doctrine secrète" du vainqueur, . L'isotopie du corps marque tellement son discours et retourne si exactement contre Enfantin l'idéologie anticléricale du siècle telle que Michelet, en particulier, le consignera dans le Prêtre, qu'il vaut la peine de la citer un peu longuement : » suis 27 lignes de citation du texte de Claire « Ainsi le déni de parole infligé à Claire Bazard, réfugiée dans le silence après son éclat et redevenue l'esclave de son tyran domestique, au lieu d'apparaître comme un refus, se transforme-t-il en une prophétie performative de l'émancipation féminine. (...) »
Il me semble que vous n'avez pas du lire ce texte qui me semble intéressant pour la biographie de ces 4 acteurs au centre de ce moment. Pour pouvoir aller plus loin il faudrait que je me procure l'ouvrage car sur Google 4 pages sont protégées et la densité de son raisonnement et de sa démonstration implique d'en avoir lu l'intégralité avant de se risquer à en dire quelques mots. L'actualité du texte 2005, plaide également en sa faveur.Cordialement--Quoique (d) 4 juin 2009 à 21:46 (CEST)[répondre]
j'étais allé voir l'ouvrage sur Google Books, et il m'avait semblé que C.Baz n'était mentionnée qu'à quelques pages dans un ouvrage dont le sujet est beaucoup, beaucoup plus vaste. Mais faites à votre guise si vous souhaitez l'ajouter en bibliographie.--Arrakis (d) 5 juin 2009 à 00:05 (CEST)[répondre]