Discussion:Cauchois

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Traduction à faire[modifier le code]

Ce qui est intéressant c'est de voir que sur la page wikipédia en anglais il y a un peu plus d'informations sur ce petit patois et la présentation me semble plus agréable.

Je met donc le lien ici pour vous montrer de quoi il en retourne.

Je vais donc m'atteler à traduire et rechercher des informations sur cet ébauche d'article.

Floflo76 19 octobre 2007 à 23:06 (CEST)[répondre]

Si bien rédigé..., qu'il place le cauchois dans la Catégorie BASSE-NORMANDIE, et c'est un SCOOP !!! 82.235.197.52 (d) 22 janvier 2010 à 12:46 (CET)[répondre]

Latinisme "notoire" et idées reçues:[modifier le code]

Latinisme notoires pris pour du norrois ou du celtique, vous me la baillez belle, et si pour changer, vous enleviez vos oeillères et sortiez des sentiers battus. Car l'ancien celtique Wakka a comme origine de même que le latin Vacca, un mot commun indo-européen, de même que le germain Kat, gaulois Kattos, qui tiennent leur origine du celtique Kat/Kad: "combat" (dû au fait que le chat est réputé aimer la bagarre). Quand au celte Kù: "chien", qui a nasalisé en [kun], le fait se retrouve en teangorlach (irlandais ancien), qui n'a pas emprunté son mot au latin, d'où la certitude d'un morphème commun via l'indo-européen, c'est ce qui s'appelle de la "linguistique" exhaustive, et qui bien sûr n'a rien à voir avec une latinisation forcenée à courte vue et romano-maniaque des latinistes et autres "crétins utiles", qui n'ont d'autre référence que cette unique langue.

Comme disait l'écrivain Bourguignon Henri Vincenot : « J'en ai prou de vos Grecs et de vos Romains ! A vous entendre, on ne peut pas faire un pet, qui n'ait été déjà pété deux fois par eux ! ».Gwyonbach (d) 28 septembre 2009 à 00:16 (CEST)[répondre]

Nous attendons vos références. Fitzwarin (d) 5 octobre 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]
Et les vôtres, quelles sont elles ? Moi au moins, je n'ai pas la "prétention" de participer à X forums. Car votre méconnaissance du cauchois est affligeante (voir mes notes ci-dessous). Gwyonbach (d) 11 octobre 2009 à 00:50 (CEST)[répondre]
Tu ne peux pas faire de lien entre le normand actuel, dans sa variante cauchoise, et un langage vieux norrois que tu estimes comme étant la principale source. Tu prends tes désirs pour la réalité. Tu me sembles de ceux qui préfère se reconstruire une pseudo-histoire de la Normandie pour la faire coller à un fantasme nordico-linguistique. Participer à plusieurs forum, c'est aussi s'ouvrir à la différence et à autrui, sans se regarder le nombril et tomber dans un odinisme même pas digne de nos fiers ancêtres. Eux, dès en arrivant sur la terre normande, ont pris la langue et la religion des habitants de la Neustrie (M. de Bouard, Hist. Normandie, Toulouse, Privat, 1970, p. 106-113, et s. ). Les ducs ont revêtu les habits des seigneurs francs, leurs vassaux n'en ont laissé que des noms de lieux et de personnes, et du vocabulaire moins étendu que tu ne le prétends. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
Comment ce fait-il que vous, un soi-disant Normand..., ressassiez les mêmes antiennes éculées, que les destructeurs de la Normandie, on dirait un "collabo". 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Penses-tu, cher Gyonbach, qu'il suffise de qualifier de "collabo" quelqu'un pour discréditer son avis, ses réflexions et questions ? Tu serais anarcho-marxiste je comprendrais, mais tu es d'origine allemande en partie, ce que je ne te reproche pas, sinon que ton qualificatif à mon égard est assez mal venu. Dis-moi en quoi ces « antiennes » sont éculées. Que d'éminents professeurs se soient trompés au XIXe siècle en ne décryptant que les textes hérités des anciens chroniqueurs, certes, mais des professeurs tout aussi archéologues qu'un De Bouärd, qu'un Musset, non. Explique donc ! Fitzwarin (d) 19 octobre 2009 à 22:41 (CEST)[répondre]
Allez sur: warenghien.centerblog.net, mon nom est d'origine scandinave, et le blason de mes ancêtres plus ancien que celui de Richard Coeur de Lion, est de même "source" que celui à 3 lions du Danemark. Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
Cher compatriote, merci pour l'adresse de l'un de tes blogs, j'y étais déjà allé, c'est très récréatif. On te vois même soutenir que Vercingétorix est un personnage fictif, alors que toi-même tu ne réfutes pas le De Bello Gallico puisqu'il te sert d'arguement, où encore tu donnes au nom de Jésus-Christ (personnage inventé selon toi) une origine norroise farfelue. Bref, il y en a même, des blogs, qui mentent puisqu'il te prénomment Victor, ce que je ne veux croire puisque - d'après mes faibles connaissances - c'est un nom d'origine purement latine. Au moins les fils de Beuve (dont les poésies françaises et normandes sont admirables) ont des vrais prénoms normands. Quant à tes prétentions héraldiques, je te nomme duc des Normands, ce qui te donne le droit de les porter, sauf sur les îles normandes, où la place est déjà prise depuis 933. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
  • Premièrement: Depuis quand, est-on responsable du prénom que l'on porte? Mais quoi qu'il en soit, le prénom Victor n'est pas purement latin..., vous avez des excuses, puisque vous avouez avoir de faibles connaissances. Historiquement, la version féminine du prénom fut portée par une Bagaude: résistante gauloise; en 270 de notre ère, un soulèvement gaulois contre l'ordre romain, fut mené par Victora: "coléreuse" (en gaulois) surnommée "La Mère des légions", Amandus: "sans cheval" & Œlanus: "grandissime" (toujours du gaulois). En représailles les forces vives de la Gaule non collaborationniste seront massacrées par les troupes occupantes de l'empereur Maximilien, à Saint-Maur-des-Fossés (anciens Fossés des Bagaudes). Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
Premièrement ta Victoria (et non Victora) vivait en Gaule romanisée, d'où son prénom d'origine latine (Charles d'Héricault, Louis Moland, La France guerrière: récits historiques d'après les chroniques, 1868, p. 15). Mais bon, ce n'était qu'une boutade et tu n'as aucun humour, comme le prouve ton "deuxièmement"). Je n'ai rien contre ce prénom, sache-le ! Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]
On l’appelait aussi Victorina, le nom vient du gaulois Vecti- (terme de nom propre, irlandais Fecht : « combat » p. 296 du Glossaire gaulois, in : La langue Gauloise, de G. Dottin, 1920). Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
C'est toi qui le dit, pas le dictionnaire que tu cites. Il ne fait pas le lien entre Victorina et Vecti-. D'autres que Dottin parlent non seulement de "combat" (sens qui t'arrange) mais de Voyage. Vecti- et citent d'autres anthroponymes que VIctOrina. (dict. de la Langue gauloise de Delamarre, 2003). Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]

Ajouts intempestifs[modifier le code]

Wikipedia n'est pas un terrain idéologique pour celtomanes, germanophiles et autres maniaques des Vikings. Certes, si vous n'avez pas forcément tort sur le fond, votre attitude péremptoire et vos propos définitifs déservent de fait ce que vous entendez souligner. La prudence s'impose sur l'étymologie des termes propres au cauchois. Il convient en outre de citer des sources fiables et vérifiables. De plus, les sources anciennes sont sujettes à caution, car la recherche étymologique a fait des progrès depuis le XIXe et le XXe siècle. En outre, citer des auteurs qui ont une bonne connaissance du cauchois n'induit pas que ces mêmes auteurs aient des connaissances linguistiques. Ainsi Raymond Mensire qui était un bon locuteur du cauchois et qui a contribué avec justesse à sa réhabilitation en tant que langue régionale, ne donne quasiment aucune étymologie correcte, par exemple parer qu'il considère comme un emprunt à l'anglais est un mot d'origine latine, donné par OED comme un emprunt au français. Il est donc plus vraissemblable de dire que le terme anglais vient du normand (comme quantité d'autres) plutôt que l'inverse. On pourrait en nommer quantité d'autres. De plus, il confond les concepts, parle de diphtongue au lieu de digramme, etc.. Quand vous faites un ajout, prière de respecter la typographie... C. Cottereau (d) 3 octobre 2009 à 18:30 (CEST)[répondre]

Je rejoins C. Cottereau. La prudence est de mise en étymologie, surtout si les origines supposées de certains termes ont plus d'un millénaire. C'est facile de parler d'idées reçues quant on n'a pas d'arguments solides mais seulement péremptoires. Fitzwarin (d) 5 octobre 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]
Et moi je le précède...! J'aurais aimé qu'il parle aussi les latinomaniaques. Quant à citer des sources fiables, la question du pseudo Dictionnaire dieppois-français de 1953 se pose là! Pour ce qui est de R. Mensire, l'exemple est mal pris (à dessein?), car en effet il ne donne quasiment pas d'étymologies, et les quelques en "latin" sont de ces lieux communs dont se complaisent les latinistes. Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]

Il faut se débarrasser définitivement de notre complexe utérin vis-à-vis de la grécité et de la latinité, complexe résultant d'une éducation stupide qui dure depuis des siècles et qui ne nous tourne que vers la Méditerranée. Jean Markale, in L'épopée celtique d'Irlande, Payot, Paris 1971.

Pourquoi l'orthographe normande est-elle francisée ?[modifier le code]

Wikipédia se livre à une imposture!

Deux des traits spécifiques de la rédaction de la langue normande sont le W, voir page 381 de L’Aventure des langues en Occident, d’Henriette Walter, éd. Robert Laffont 1994 ; qui donne une série de mots comportant tous un W, comme en normand, là où le français avait alors, et a encore un G. L’auteur parle également de la consonne [k] des mots normand orthographié c ou ch en anglais et en français. Dans le Glossaire Normand, de l’abbé C. Maze, issu d’Etude sur le langage de la banlieue du Havre, de 1903, on peut y voir quelques rares mots écrits avec un W, comme : Cawchumier et Fawter p. 218, Iaw p. 169, Rafawquer p. 195, Aw-mée p. 115, Alwétie p. 112, et avec un K : Attakier p. 114, Kien p. 223

Quel est le sens de ceci ? Quelle croisade mènes-tu ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
ça s'appelle l'honnêteté! Et dire que le normand est francisé n'est pas une remarque en l'air mais un déplorable constat!Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Non ce n'est pas de l'honnêteté ! c'est un soliloque. Selon toi Wikipédia se livre à une imposture, tu décris deux traits spécifiques de la rédaction du normand, en énumérant des mots que tes graphies rendent incompréhensibles. Je prends un exemple : ton « iaw » qu'est-ce donc ? de l'eau ?? Donc je me répète, que veux-tu dire ? (à moins que tu ne saches pas répondre à des questions simples, mais seulement déverser ta bile néo-norroise. Fitzwarin (d) 10 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Premièrement ce n'est pas mon Iaw, mais celui du Glossaire Normand de C. Maze, p. 169, où il est écrit: - A l'état construit, ia (eau), devient iaw. Dans le Larousse ancien français, de A.J. Greimas (dont une grande partie des exemples sont tiré d'auteurs normands), p. 274, il y a Eve, ieve, iave: "eau", lequel donna le mot français Evier. Deuxièmement, si vous trouvez mes graphies incompréhensibles, c'est que peut-être vos connaissances sont limitées (preuve ci-dessus). Troisièmement, pour ce qui est de "déverser ma bile néo-norroise...", sachez jeune blanc-bec, que: La moquerie est la fiente de l'esprit critique! C'est petit, et à votre juste niveau. Gwyonbach (d) 11 octobre 2009 à 00:50 (CEST)[répondre]
Je vois en te lisant, que tu ne respectes rien ni personne, ce qui te ne rends pas honneur à ta farfouillerie. Eau vient d'aqua, et cela tout le monde le sait. Tu t'énerves pour rien. En effet, tes graphies sont incompréhensible et je doutes que tu saches les enseigner avec douceur et tact pour en expliquer le sens et les fondements. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]

Raison spécieuse de la non représentation du K, p. 171 :

Le dossier marqué des lettres K de M. Maze ne renferme pas un seul mot…, l’auteur aura reporté à d’autres initiales (C et Q) les articles qu’il avait d’abord écrits par k. Raison avancée : C’est qu’en réalité le k est inconnu à l’alphabet français. Et en quoi le cauchois est-il du français ? Des retranscripteurs moins borné, ou moins influencé par la latinisation et/ou francisation, ont rédigés leurs mémentos avec la lettre K, comme Henri Clérisse dans son Vocabulaire Andelisien, 1925, et A. G. de Fresnay dans son Mémento du Patois Normand en usage dans le Pays de Caux, 1885. Le Roman de Brut, de Wace, 1155, commence d’ailleurs par ce vers : « Ki velt oïr et velt savoir. ».

Qui est borné ? On peut croire que pour toi, tout vient des mers du Nord... Mon sang cauchois, normand, m'invite à la discussion rogüe là-dessus. Je pose la question : le cauchois est-il du norrois moderne ? non. Est-il du français déformé ? non ! Est-il du gaulois normannisé ? non ! On sait bien que le latin et les langues gauloises, comme étant indo-européennes, ont des étymologies communes. Mais, se référer à des mots reconstituées pour bâtir des étymologies incertaines, c'est désservir la cause du normand parlé, d'Eu à Saint-Hélier. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Le cauchois Roggú: adj. "volontaire" (vient du norrois Rogginn, english Rough: "rude/brut/grossier/brutal"), comme dans Körrú, mais avec en plus, une pointe d'orgueil/de fierté, il implique le sens suivant: "ajouter de la fierté, de la volonté ou une pointe d'orgueil à sa force". Pour répondre à votre question sur le cauchois, reportez-vous à celles de Markale et Vincenot. Quant aux fait de (et je vous cite): "se référer à des mots reconstituées pour bâtir des étymologies incertaines..." - Reportez-vous à vos propres citations accolées à un *, qui se réfèrent à des mots "latins" reconstitués, et je laisse juge les lecteurs...Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Ces citations ne sont pas de moi mais d'un ouvrage de référence bien connu. L'* est en usage en étymologie quand on ne sait pas, et j'en vois dans tes étymologies pseudo-norroises. Mais puisque tu parles du K, sache que Coeuru se dit aussi tcheuru dans le Cotentin, d'où la graphie quoeuru qu'on trouve parfois et qui peut être lue K ou TCH par les uns ou les autres. Mais tu n'en a que faire, puisque pour toi, la Normandie se réduit au Petit-Caux. Fitzwarin (d) 10 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Je rêve ou vous vous fourvoyez encore...? Le sujet du débat n'est-il pas le Cauchois? Alors que vient faire ici le Cotentinois? Décidément vous confondez tout! Les dialectes cauchois et cotentinois, et même les noms de Pays, Caux et Petit-caux. Encore une preuve de votre incompétence, une preuve supplémentaire que vous êtes un usurpateur de mauvaise foi. Gwyonbach (d) 11 octobre 2009 à 00:50 (CEST)[répondre]
Je dois aimer à me fourvoyer. Tu estimes donc qu'il n'y a rien de commun entre le cauchois et le cotentinais (oui, pas cotentinois, on ne peut pas tout savoir). Mais que dis-tu des différences entre le cauchois de Dieppe et celui de Caudebec ? Dois-je comprendre que pour toi le normand n'existe pas ? A lire tes fables, ta compétence se fonde sur une vision qui t'es très personnelle. Et, qu'il y a-t-il à usurper ici, sinon à te faire descendre du trône d'Odin où tu penses te trouver, soufflant le chaud et le froid par ton langage irrespectueux. Tu me sembles appartenir à une école où l'on croit qu'il suffit d'écrire des imprécations calomnieuses pour, penses-tu, discréditer l'avis des autres, et ainsi mettre en lumière ton orgueuil malsaint. Wikipédia accepte toutes les opinions, y compris la tienne. Je m'en réjouis, mais ce n'est pas pour autant que je tiens tes thèses fabuleuses pour véridiques. Un récent ouvrage de Jean Renaud, Les Vikings et les patois de Normandie et des iles anglo-normandes, Caen, Orep, 2008, (il est professeur à l'Université de Caen), recense environ 150 mots qu'on reconnaît venir des parlers scandinaves. Je doute que cela t'intéresse, c'est un travail universitaire en français. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 15:30 (CEST)[répondre]
In: La langue vivante, de T. Bulot, éd. l'Harmattan 2006, p. 17, l'auteur parle du "patois cotentinois". Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
  • Dans la 6ème édition du Dictionnaire de l'Académie française (1835), est enfin appliquée la réforme déjà demandée et adoptée par Voltaire un siècle plus tôt: le remplacement de "oi" par "ai" partout où la prononciation était /ε/, dans paroître, anglois, françois et dans tous les imparfaits et les conditionnels. Les noms de langues en -ais sont donc une francisation, le mot cauchois n'ayant pas subit celle-ci. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
  • Je m'en remet à la sagacité cauchoise, qui possède ce proverbe:

- Vell dó shalluŔ sharet: [vεj du ∫aju ∫aχε] "voir des chailloux charrés" (pour: "cailloux carrés", expression se moquant des "précieux" qui chuintent "K" en "Sh" [∫], pour Fæk ģiré: "franciser leur langage" dans l'idée d'être "plus chic", & disent "Pouche" au lieu de Pukk, "Echaoui" pour Ekawis etc…) expression verbale moqueuse cauchoise. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 16:05 (CEST)[répondre]

  • Quant aux mots normands inventé sur Wiki, avec moult chuintements, je vous engage à aller voir dans : Discussion utilisateur:Man vyi.

Sur cette page, à mots couverts, on vous explique comment on « fabrique » des mots franco-patois pour les wikipédiens, et après on vous présente ce traficotage comme étant de la : Langue normande (sic !).

En voici un extrait:

Langue jersiaise - wiki en normand (II) [modifier]

Bonjour, je viens de découvrir le wiki en jersiais que tu viens de créer, sous le nom de wiki en langue normande. Comme je l'ai dis plus haut, l'idée en principe est une bonne chose. Je suis toujours prêt à participer à la rédaction d'articles divers et variés d'histoire, de géographie, entre autres. Mais la question de l'unité orthographique n'a malheureusement pas été résolue. Comment écrire un article sur l' "architectuthe" là où en Normand cdu continent, d'expression française, je le lis /architectutte/ ? ou encore sur l' "Êlectricité" là où j'aurais plutôt dit "Étricitaé", ou sur "Méd'cinne" là où je connais "Mercheine" !!!! et je voudrais bien parler de la "Stchulptuthe" mais je n'arrive pas à lire ce mot, où même le "p" n'est pas prononcé en français... je ne connais pas l'équivalent normand, mais il devrait donner quelque chose comme "Estchulture". Comprends-tu mes préventions précédentes dans cette même page de discussions (28 novembre 2005)? Sans unité orthographique, la richesse de "toute" la langue normande est obligée de se réduire au partucularisme jersiais. Malgré mon désir, je ne pourrais malheureusement pas m'adjoindre à ton projet. Et Je le déplore. Je ne me vois pas établir une grille de correction pour établir mon texte en normand continental puis en donner une version jersiaise... que de temps perdu, que de temps perdu...

" Estchuse-mei dé le dire, mais je syis byin las, devaunt qué de c'mmenchi, à veî un jouo l'ouovrage yête finin!!!! Je creis paé cha possiblle achteu. Coumment faire ?

"Fâot-i se mette à écrire un'aôte wiki en normaund ? Cha fera déeus wikis !!! et pis ampraés ??? "Tu veis byin qu'il érait falu s'accordaer dé devaunt ! Lé pire, ch'est paé de luusu d's aôtes mots pouo dire les mêmes seits ; Ch'est de sé démentaer à happaer l's apostrophes qui saôtent sus touos les mots là où ch'est muet, ou enco trachi à coumprenre les "th" pour des "r" eune feis sus l'aôte, là où l' "r" est couneu de touos les syins qui prêchent. Et pis, si i se dit aôtrément à Jerri, no peut p't-ête seument la saveî, ch'est touot.

"V'la, j'ai dit cha qui jiguulait! Boujouo à tei ! et à tes treis petits cats. "

Si vous changiez d'avis, afin d'arrondir dès maintenant les angles, puisqu'il n'y a que 52 articles sur ce wiki, merci. Il est peut-être possible d'établir une orthographe commune, plutôt que de voir des articles doublons rendre ce wiki illisible. La langue normande se raréfie, c'est un fait, ne la fossoyons pas : sauvons-là. Et le wiki est pour cela un excellent moyen: il faut faire des concessions des deux côtés de la déroute.

Byin à tei. Fitzwarin 26 mars 2006 à 16:52 (CEST)

Et délectez vous de cette perle façon "paysan" normand (qui chuinte si bon le franco-patois et la francisation outrancière, que même un Africain francophone de là-bas pourrait traduire, sans trop de problème, et "miracle", sans avoir appris le "normand"!), de Fitzwarin:
Merci de rapeller à mon souvenir une vieille conversation en français et en normand (et non en « franco-normand » comme tu te plais à le dire) entre un gars du bout de la Manche et un Jersiais. La question tournait là aussi sur l'orthographe du normand, dans ses variantes dont est le cauchois. Preuve que deux normands aux patois différends peuvent converser sans se freuler.Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]

Cha ! ch'est eune reide eune bouone idaée qŭé de métte eune catégorie espéciale pouor les loceis de Normaundie. J'i veu que t'avais mins qŭique bouons pouètes et pis nous artiques sus le normaund. J'vas co me démentaer à rende chu trîge enco pus câosaunt : fâot byin achteu que no âle écrire de qŭei su l's âotes qu'ount écrit en loceis, ès îles coume à térre. Bouojouo ès syins qui prêchent à Jerri.

Copier-coller de: 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 16:05 (CEST)[répondre]

Et parfois, ça veut dire au revoir ! Vois comme ta remarque est stupide, puisque ces graphies sont hélas calquées sur des prononciations patoises, mais réellement parlées par des locuteurs, là où tu es certainenement le seul locuteur de ton pseudo-cauchois aux airs saxons. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Niaiseries & billevesées (même en français l'emploi de ce mot veut parfois dire au revoir...)! Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 17:11 (CEST)[répondre]


Par manque de pratique et de locuteurs, il y a bien 41 ans (depuis la mort de ma Grand-Tante, j'avais 14 ans, puis de ma Grand-Mère maternelle, j'avais 17 ans, mes principales interlocutrices, les mêmes qui m'ont aidées à constituer mon dictionnaire normand/cauchois), que je n'ai pas vraiment discuté en normand nordique (appelons le norro-cauchois ou norro-normand) avec quelqu'un. Et vous n'êtes pas sans savoir, ce que le manque de pratique, peut avoir sur l'acquis, qui est devenu par suite, plus théorique que pratique (quoique je compose encore des poèmes en cette langue). Deux autres personnes existent encore, qui ont des rudiments de norro-normand, ce sont des cousins germains de ma mère, ayant connus les vrais locuteurs, leurs pères, mères, oncles et tantes, mais à l'heure actuel ils ont 97 et 100 ans, et je n'ai pas beaucoup de relation avec eux, les discussions s'avérant difficiles pour ne pas dire pénibles, car depuis environ 5 ans, ils sont devenu sourds et il faut vraiment crier pour se faire comprendre. En dehors de cela, j'ai connu Mr Maurice Erwin Guignard, écrivain normand des environs de Chartres, mort en 2001, et j'ai pu malgré de petites différences dialectales, échanger quelques phrases avec lui, lequel tenais lui aussi sa langue norro-normande de ses parents. Il y en a peut-être d'autres, mais je ne les connais pas (en 1980 au Japon, il n'existait plus que 8 locuteurs en aïnou, est-ce pour cela qu'il faudrait considérer le aïnou comme une invention ?). Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 17:11 (CEST)[répondre]

Donc tu es le seul locuteur, si je comprends bien. D'où l'utilité de ton Dictionnaire, en espérant que la B.n.F. en veuille bien. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Mal lu! Il y en a au moins 3!!! 82.235.197.52 (d) 22 octobre 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
Non j'ai bien lu, mais je ne voulais pas appuyer sur le fait que ton oncle et ta tante, fort âgés, sont devenus sourds et qu'il ne pratique plus ou pas ta langue. Mais tu m'y obliges et je trouve celà indélicat de ta part.Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
  • C'est facile, ignoble et lamentable, de se moquer des personnes âgées! Et pourtant, c'est auprès d'elles que les vrais linguistes récupèrent des traces du parler normand, pas auprès de gamins acculturés, dans une école dieppoise (encore au sujet des faux mots cauchois gendresse et jean-bonhomme). Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
C'est justement ce que je ne fais pas. J'ai trop de respect pour les personnes plus âgées que moi. Je ne les insulte pas. Je ne tente pas de les rabaisser pour me mettre en avant. Je n'essaye pas de leur mentir en leur faisant croire n'importe quoi. Je les écoute et si nécessaire je débats avec elles sur tel ou tel point litigieux. Je n'ai pas la prétention de définir ex-cathedra qui est normand et qui ne l'est pas, qui parle le "vrai normand" et qui ne le parle pas. En l'occurence, puis que c'est la vrai question, tu ne parles sans doute que très rarement le langage que tu prétends défendre (ce que tu ne fais pas - au passage - puisque tu discrédites sa défense par tes propos agressifs et discourtois). Cha, ch'est du pairage, et du repairage. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]

Car ne l’oublions pas, écrit H. Clérisse : « Ainsi la France doit sa langue aux Trouvères et aux écrivains normands. » Gwyonbach (d) 8 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]

cela, je ne le consteste pas.



Bon, sans tout à fait comprendre pourquoi tu t'excites sur l'orthographe du cauchois (qu'aucune autorité ne peut officialiser), je dois tout de même te dire qu'il faut bien une orthographe lisible pour les locuteurs qui ont appris à lire et à écrire à l'école la langue française (bien que des années de lecture globale aient saboté les efforts de plusieurs générations de maîtres). Regarde l'exemple du gallo, en Ille-et-Vilaine notamment, même s'il est (et bientôt était) parlé en basse Normandie (sud-Manche et Orne). L'emploi de l'ELG a rendu l'apprentissage du gallo difficile en en compliquant la lecture, là où les lettres muettes sont nombreuses (comme en cauchois). La poire y devient la peirr là où le normand écrit habituellement la peire (si l'on supporte les recommandations de Fernand Lechanteur.
Alors, qu'est-ce- qui ne va pas ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]

Est-ce une raison, ou La raison, pour niveler vers le bas?Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas du nivelage vers le bas, c'est un souci de rendre le normand accessible aux âmes volontaires qui ne se bercent pas de runes depuis leur tendre enfance. C'est bien les runes, mais pas quand ils véhiculent une pseudo-histoire de la langue normande et une vision passéiste. Fitzwarin (d) 10 octobre 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Prendriez-vous les gens pour des imbéciles, qui n'auraient aucune capacité à s'investir intellectuellement? Quant à votre vision soi-disant futuriste du franco-cauchois que vous prônez elle n'a aucun avenir en Normandie, car ce n'est pas du normand, mais du français dénaturé, comme se le représentent les gens des villes, qui croient singer les paysans en se moquant d'eux. Un de ces soi-disant "auteur cauchois", se faisant appeler Bruce, dit lui même que n'étant pas Cauchois, il écrit le patois sans l'avoir apprit..., c'est bien une preuve de ce que j'avançais précédemment. Que votre pseudo-patois, n'est que du français dénaturé, tant dans son langage que dans sa rédaction. Le français a un spectre acoustique restreint, et vous voudriez faire descendre le dialecte cauchois qui est plus étendu, et que vous ignorez (c'est patent), à son niveau? Gwyonbach (d) 11 octobre 2009 à 00:50 (CEST)[répondre]
Qui a parlé de futur ? Moi, de ta vision passéiste. Les gens ne sont pas imbéciles, il ne vont pas avaler des couleuvres (tchileuves) disant que le normand est tout droit venu des parlers sacandinaves, ce qui est faux, ou qu'il s'agit d'un franco-patois, ce qui est également faux. Je ne soutiens pas cette vision. L'ancien langage des gens de Neustrie a des spécificités que se retrouvent dans les parlers picards et d'autres dans les parlers de l'Ouest. Il y a des apports aussi vikings, mais pas en surnombre. Les douces voyelles cauchoises et les fieres riches consonnes normandes ne se retrouvent pas dans vos graphies bizarres et c'est bien dommage. Je voulais seulement te le dire. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 15:30 (CEST)[répondre]
Réponse au sujet de la "graphie bizarre", en pseudo normand "th" se prononce [r], et ça ce n'est qu'un exemple parmi d'autres..., voir aussi en fin de page. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Rien à dire, Gyionbach ne connaît pas le "r" mouillé prononcé dans les Iles anglo-normandes et dans la Hague. on ne peut lui en tenir rigueur. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Savez-vous bien lire...? Car si je parle de ce "th" [r], à la graphie incohérente...!!! C'est bien que je le connais. Par contre, et ceci pour en souligner l'incohérence, connaissez vous d'autres "langues romanes" employant "th" avec cette prononciation incongrue? Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
C'est un "r" mouillé qui se prononce en effet comme le "th" britannique (aux origines saxonnes rappele-toi), et nos îles normandes appartenant à la Couronne britannique, ont même fini par adopter l'anglais comme langue officielle en 1948. Ils sont habitués à lire ce "th" dans leur patois normand, puisque l'orthographe, comme l'écrivait Lechanteur, c'est une question d'habitude. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Donc, ma "graphie bizarre" deviendrait une habitude, si des personnes impliquées à la renaissance du vrai normand, était assez intelligentes (je ne parle pas de vous et de votre coterie) pour l'apprendre!!! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 22:41 (CEST)[répondre]
Je parlais des graphies en alphabet latin, ce que tu avais fort bien compris. Celà dit je te souhaite de trouver des personnes impliquées pour faire naître « ton » « vrai normand » pour occuper tes heures loisibles, quand à l'intelligibilité pour l'apprendre, je leur souhaite bien du plaisir. De mon côté (et dans « ma coterie », je préfère bien mieux causer vraiment et avec des vrais locuteurs normands, bien réels, qui aiment bien mieux dire avec des mots salins et des paroles agrestes les beautés de notre pays normand et les belles sonorités, même un peu rudes, de notre préchi normaund. « No peut byin dyire che qué no pouora, des normaunds taunt qu'i vos pllaira, mais che qu'i y de seû ch'est ches gâs-lo, janmais persoune né les rouol'la » (Alfred Rossel) : fonétik (no peu bi dyir ch'ké no vwoudra, dé norma-an ta-an tchyi vo plyéra, mé ch'ki ya d'seu ché k'ché ga-lo, jan-mé persoun' neu lé rwoul'la).Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
  • Inutile de mettre la prononciation en phonétique (à défaut de l'alphabet international), pour un pseudo langage franco-patois, sans réel originalité linguistique, et que n'importe qui peut lire, sans difficulté. Vous n'abuserez personne, sauf vous même! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]

Exit des "sources fiables", donnez au moins l'exemple! Mrs les "administrateurs":[modifier le code]

p. 313 Cours de linguistique générale, de Ferdinand de Saussure, éd. Payot, Paris 1964 : « Aucune famille de langues n’appartient de droit et une fois pour toutes à un type linguistique. » p. 50 (ibid.) « la préoccupation étymologique ; a été prépondérante à certaines époques, par exemple à la Renaissance. Souvent même c’est une fausse étymologie qui impose une graphie ; ainsi, on a introduit un « d » dans le mot « poids », comme s’il venait du latin « pondus », alors qu’en réalité il vient de pensum. Mais il importe peu que l’application du principe soit correcte ou non : c’est le principe de l’écriture étymologique qui est erroné.

Si votre compte rendu d’une unité orthographique issue de l’évolution linguistique du latin au roman tient apparemment la route, c’est qu’elle est issue d’une école : celle des clercs et autres moines du moyen-âge qui provenaient de l’église catholique romaine, dont Cluny fut une des « grandes écoles », qui latinisaient à tous crins, les mots dialectaux issus du gaulois ou du germain.

Dans : Le Breton, langue celtique, de Yann Brekilien : "Contrairement à ce que laissent volontiers entendre les « latinomanes » qui plastronnent dans l’Université, les mots les plus usuels de la langue française ne sont pas d’origine latine mais celtique. Ainsi en est-il de la plupart des noms d’animaux domestiques et de quelques noms d’animaux sauvages : (en voici quelques-uns) cheval (de kaballos), chat (de kattos)…,

Les Gaulois n’ont donc pas dû voir de grande différence entre leur Boukka (dans les langues celtiques, le b initial se prononce [v]), et le latin Vacca (le v latin se prononçant [w])… Ce sont encore des mots quasi-identiques qui désignent en gaulois et en latin le taureau (tarvos et taurus), le chien (ku-kunos et canis-canis)… De même, les principaux arbres portent des noms gaulois…" etc.

p. 2 Du latin au français, de J. Marouzeau : « Le latin est tout au plus responsable de certaines innovations apparues au cours de l’histoire du français, par l’entremise de lettrés soucieux de faire reconnaître dans certains mots la forme des mots dont ils sont issus… Cette manie latinisante s’est perpétuée jusqu’à l’époque moderne… p. 18 C’est une erreur très répandue de croire que l’étymologie nous rapproche nécessairement du vrai sens des mots, c’est-à-dire d’une espèce d’entité immanente ; elle ne fait que nous révéler des significations successives ; elle a une valeur non foncière, mais historique.

Revenons à Chat : Dans La langue gauloise, de G. Dottin, Paris 1920, 3ème partie ; Glossaire gaulois, on lit p. 244 Cattus, « chat » ; irl. Cat, gall. Cath f., bret. Caz.

En outre, je ne voudrais pas tourner le couteau dans la plaie, en vous faisant remarquer que votre précédent effacement de ma note sur *mucher : cacher; muche : cachette .cf. ancien français muscier écrit aussi mucier, d'origine gauloise (réécrit *muciare, en latin-populaire reconstitué), comme le celtique mucia: "cache". Qu’est-ce qui vous gène, c'est qu'il est mentionné comme gaulois (et non pas latin), dans le Dictionnaire Larousse d'ancien français, et que le Professeur de linguistique Henriette Walter, dans : L'aventure des langues en occident, éd. Robert Laffont, Paris 1994, p. 236 dit bien que Fourrage est un mot d'origine germanique (je dis ceci pour : *feurre : paille pour couvrir en chaume (même racine que "fourrage"), de même que Gaffe, Bosquet, Bûche, Poche, et p. 112 Fenum : « foin » qui n'est pas romain (mais je rajoute, de l'ombrien c.-à-d. d'origine gauloise) etc, alors pourquoi avoir effacé mes étymologies qui parlaient d'origines gauloises et/ou germaniques ?

  • Attincher, de l'anglais at : "à / en /(au) près de / sur" et insh : "pouce".
quel rapport entre cette étymologie et le sens du verbe ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 13:49 (CEST)[répondre]
En cauchois, le mot a aussi le sens de: "faire pouce".Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Ah oui ! ça ne nous avance pas. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]
Piot! Baganád! Voilà des mots cauchois pertinent (je n'en vois pas beaucoup dans la "liste" de l'article...)! 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
A la bonne heure. J'aime ton sens de la pertinence. (I a de quei ritounaer parai. Mais que tu seis byin en jappe dé ten préchi surbé, ten lavechin est bouon à decllavelaer!) Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Bézot(te), fréquentatif de beddrot : "dernier né d'une couvée" (s'emploi aussi pour les petits enfants), du norrois beddi : "lit de camps".
peut venir aussi du verbe baiser « embrasser », avec le diminutif -ot. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 13:49 (CEST)[répondre]
C'est comme ça que vous "construisez" vos "étymologies" ? Avec de faux-amis (En linguistique, ce sont des mots ressemblants, mais sans rapports)!. Soyons sérieux, et instruisez vous en lisant à la p. 36 Bézot, qui renvoie à Bedot et Bédière p. 33 du Dictionnaire du Patois Normand, d'Edélestand & A. Duméril. Auquel je me réfère.

Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]

Etonne-moi ! Je suis ravi que tu te réfères à ce dictionnaire qui précisément, se porte plus à donner des termes bas-normands que cauchois. C'est lui aussi qui t'induis par ses interprétations sur l'origine de quelques termes (p. lxxxvi-xc), ce que tu nous resers sans esprit de critique. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]
Crétin des Alpes! Quand je m'en réfère, c'est que le mot se retrouve dans les deux dialectes (je ne suis pas assez bête pour mentionner des mots français présenté comme patois, dont gendresse et jean-bonhomme, référencés dans aucun dictionnaire normand qui se respecte, et à aller jusqu'à les maintenir contre toute logique (tout cela parce que Môssieux, ne veux pas reconnaitre qu'il s'est fourvoyé) ! 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
D'une part je n'ai pas l'intention de t'insulter, malgré ton habitude à vouloir le faire. D'autre part j'aime les Alpes, et je préfère les crétins des Alpes aux Bédas des falaises. Les deux mots que tu cites, qui te déplaisent, sont tirés d'une recherche sur le cauchois parlé à Dieppe dans les années 50, soit avant ta naissance et la mienne. Je peux me fourvoyer, certes, car je suis comme tout le monde, mais voyons, relis-toi. Ton monde est béni des Dieux, de Thor et d'Odin ! Rien de ce qu'enseignent les linguistes et historiens d'aujourd'hui n'a de valeur à tes yeux. Tu es une université à toi tout seul. Un conseil. Retourne sur les mers glacées pour vendre tes thèses ésotériques. Tu réussiras je l'espère à convertir les esquimaux d'Erik le Rouge. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Les esquimaux, Skrillengar: "hommes tordu" des Vikings, le terme vous sied si bien, et pourtant Wikipédia france et ses pseudo-correcteurs n'étaient pas encore là. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
  • p. 28 d'Etudes Normandes N° 3 - 1982, on y parle de Stéréotypes, formes populaires ou imaginaires..., qui n'appartiennent pas au parler régional..., de formes correspondant aux préjugés que l'on peut avoir du parler normand, mais qui ne lui appartiennent pas. Et dans ce livret, si vous avez la patience et l'éthique de le lire, on y parle de mots créés pour faire plaisir à la personne qui recueille les mots patois, afin de faire accroire que l'on connait le patois, à moins que ce soit par soucis de paraître versé dans un langage qu'on ne maîtrise pas, alors on invente un mot pour éviter des blancs. Voilà pourquoi "gendresse" et "jean-bonhomme" ne sont pas cauchois, mais des mots inventés! Voilà pourquoi aucun dictionnaire normand qui se respecte, ne mentionne ces mots! Voilà pourquoi un linguiste qui se respecte, ne se serait pas fourvoyé en mentionnant ceux-ci comme cauchois! Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
Mais oui. Mais oui. Mais comme pour toi le cauchois est une variante du norrois, je crains que d'autres mots parlés par les vrais (et nombreux) locuteurs cauchois soient des mots inventés, nés de l'influence ethnocide de la langue française. Va, laisse donc, et médite sur tes lubies. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Je vois que quelqu'un vous a déja fait l'article, sur votre faux patois normand!!! 82.235.197.52 (d) 22 octobre 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
Dans le temps, tu appelais cela le franco-patois. Bref, je t'invite à faire un sérieux article sur « ta » langue normande, mais l'article sur le cauchois n'est pas le lieu puisqu'objectivement, il se rattache à ce que tu tiens à nommer du « faux normand » - et c'est ton droit le plus strict, je ne serai pas normand de vouloir te l'interdire -. Mais trouve un autre nom, du type « norro-normand », « vieux normand », « norrèche », que sais-je. Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
  • Callou / Kallou, "caillou", avec mouillure des deux L (et non pas Cailleu, qui doit-être une construction sur le toponyme Cayeux), du gaulois kaklavos.
oui caillou vient très certainement de *kaklavos. Le Trésor de la langue française, bien informé propose : « La forme normanno-pic. caillou a supplanté la forme francienne chaillou, ainsi que le m. fr. chail (1470, Vasles, Arch. Vienne), directement issu de *caljo, et ses dér. c(h)aillo(t) et c(h)aillel (région.) (v. T.-L. et Gdf. Compl.). *caljo-, gaulois, signifie « pierre » par l'intermédiaire d'un dér. *caljávo- « caillouteux, pierreux », lui-même formé de la base *cal-, qui est à l'orig. du lat. callum « cal, durillon » et est représentée dans de nombreux noms de lieux (par ex. Chelles − Seine-et-Marne − et Caille − Alpes-Maritimes −; v. L. F. Flutre, Recherches sur les éléments prégaulois dans la topon. de la Lozère, Paris, Belles-Lettres, 1957, p. 57-64 et Dauzat Topon., p. 81-102, qui suppose que cette finale est pré-celtique), et des suff. -yo et -ávo (ce dernier à rapprocher du suff. -ávu des topon. d'oïl en -ou du type Andecavu > Anjou, v. A. Thomas ds Romania, t. 31, 1902, pp. 1-6 et surtout Meyer-Lübke ds Sitzungsberichte der kaiserlichen Akademie der Wissenschaften, Philosophisch-Historische Classe, t. 143, II, 55). ». Du coup, d'où vient *kaklavos ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 13:49 (CEST)[répondre]
Vous noyez le poisson par de la logohrrée verbale, nous l'avons dit tous les deux: "il vient du gaulois!".Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Adjugé, mais d'où vient ton klakos ? Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
??? Quid de Klakos? 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Tu n'as même pas d'incamo ni d'humour ? Je t'aide, OK ? Je faisais référence à ton kaklavos venu de nulle part, en le faisant passer pour un clacos qui est, comme tu le sais, le nom d'un vieux camenbert en fin d'âge, en argot français. Tu vois, je n'ose même pas comment te demander comment on dit camembert dans ton langage, tu le prendrais mal. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Kaklavos n'est pas un mot français, et le breton n'est pas du normand (je me la joue à la Gwyonbach !). Alors, Camembert, on dit comment ? (question d'avance sans réponse) Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Il y a pire sourd, que çuila ne voulant pas entendre!, c'est celui qui n'a pas la capacité de comprendre. Je compatis (tout en vous plaignant!). 82.235.197.52 (d) 22 octobre 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
Pas de réponse pour le camenbert alors, je m'en doutais bien (dialogue de deux sourds). Merci de me plaindre, c'est vrai que la défense du normand contre les affabulateurs n'est pas de tout repos. Encore merci. Mais alors, le camenbert, c'est quel mot dans ton nordiche ? Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
ça se dit: feurm' tan bec! en franco-patois. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
Et si je ferme mon bec, je ne peux laisser tomber... ma proie =). J'en déduis en fait que ton pseudo-vrainormand n'existe pas réellement, puisque camembert (le fromage) se dit camembert dans quasi toutes les langues du monde, voire camenberto ou Камамбер. Et en normand aussi bien sûr. ;-) Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]
Poète, poète ! Fitzwarin (d) 26 octobre 2009 à 19:49 (CET)[répondre]
  • Chouler (jouer à la choule), "pousser / remuer / choquer", du hollandais schocken : "heurter", chouler a aussi le sens d’"offrir la tournée" (ibidem), influencé par le norrois skola : "rincer", et de "tourner" (pour le temps), des norrois skųla : "abriter / voiler / cacher", skųlaus : "sans nuage / serein / clair".
La tentation de tout rapporter au norrois m'impressionne. Le problème est qu'elle risque de décrédibiliser les vraies étymologies norroises. Choule est la forme normande du mot Soule :« boule de bois, ballon de cuir qui se lance à main nue ou avec le pied » (Renart, éd. M. Roques, VIIb, 7080); 1174-77 « jeu d'équipe qui se pratique avec cette boule, ce ballon » (ibid., IIIa, 4404). D'un mot a. b. frq. de la famille du germ. *keula- « cavité, voûte; objet rond »; cf. le dér. zoleur « joueur de boule », att. dès ca 1170 (Thomas, Horn, éd. M. K. Pope, 4884), d'après TLF. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Ici encore, c'est vous qui vous trompez de terme. Car le cauchois Choule se rapporte à deux termes, l'un qui est synonyme de "trinquer", l'autre se réfère au changement de temps. Le français Choule, quant à lui est écrit Soule (voir plus bas sa véritable étymologie). Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Evidemment. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
  • Démucher, du celtique mucia : "cache", breton moucha : "se masquer".
très bien, on est forcé de choisir ici entre le celtique (ce qui est large) et le breton (ce qui l'est moins). mais d'où vien le de- qui forme le début du verbe ? Se peut-il que le gaulois *mukyare «cacher», formé sur un rad. de base mûc- d'orig. celt. (cf. a. irl. muchaim «je cache, je voile, j'étouffe», irl. mod. much- «étouffer», [on est d'accord]) soit devenu dans les anciens dialectes de France mussier ou mucier, d'où le normand mucher ? et que de là se soit construit le verbe démucher ? Qu'en penses-tu ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Bonne démonstration! Pour ce qui est du "de/dé" cauchois, il vient du Deų/Deųſ: [dèi] radical diminutif norrois Deųfa, pris aussi comme négatif (écrit Deųſ[a] par un clerc mal dégrossit, & parfois réduit en D').Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
De pire en pire. A ta démonstration, il n'y a rien à répondre. Juste rire. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Rires et moqueries, sont les faux-fuyant de ceux qui n'ont pas d'argument!

82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]

C'est peut-être tout simplement de la compassion. Tout le monde ne peut être aussi méchant que ceux qui croient en avoir sur tout et pour tout, quelquefois fallacieux, quelquefois dans le vrai, quelquefois « dans la choucroute ». L'origine que tu fais au "de/dé" cauchois est une bonne beurrée de plaisanterie, c'est pourquoi j'en ris, comme il se doit. Ton idéologie est d'oubli jusqu'au moindre radical latin, comme s'il n'y avait plus aucune trace de cette langue dans le cauchois. En cela, elle contredit jusqu'à le recherche actuelle sur la formation des parlers du nord de la France (Normandie à Franche-Comté) : Dr Cristian Schmidt (Univ. Bonn), Romanische Sprachgeschichte, Ein internationales Handbuch zur Geschichte der romanischen Sprachen, Berlin : De Gruyter, 2003-2006, 2 vol. ; ou encore René Lepelley, « Reste-t-il du latin aujourd'hui autour de l'antique Alauna », Colloque de dialectologie, université de Lyon-III, déc. 2006, dans : R. Lepelley (Univ. Caen), Mots et parlures du Cotentin et autres lieux de Normandie, Cherbourg : Isoète, 2008, p. 73-87. La thèse de l'un et de l'autre est qu'une forte implantation de population parlant le latin (troupes romaine ?) était présente le long des côtes de normandie et dans l'ancienne Gaule belgique. Cette thèse d'universitaire ne s'appuie pas sur rien. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Walhúnnja: "Valognes", ancien pays saxon de Valognes qui exista du IIIème au IXème s., s'étendait à l'Est du Cotentin, de Carentan à Octeville. Il ne s'y parlait certes pas latin, d'autant plus que la langue vernaculaire des légions était le koinè (grec); car le parler germain se perpétua jusqu'à l'arrivée des Vikings, et c'est la langue norroise très proche, qui le remplaça (même Régis Boyer, dans son livre sur Les Vikings, le concède). Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 17:11 (CEST)[répondre]
Les vrais spécialistes ont de la peine à trouver la véritable étymologie de Valognes et toi tu la sors de ton bissac ! Sur ce pays saxon, leurs dates d'occupation, leurs écrits pourquoi pas, tu serais bien aimable de citer des documents historiques qui permettraient à tout le monde d'être aussi péremptoires sur le sujet. Scuvée aurait bien aimé en trouver là-dessus et écrire cela avant toi. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Sont-ce les mêmes "spécialistes" (comme vous), qui ne connaissaient pas l'origine du mot "Goût" (voir plus bas!) ? 82.235.197.52 (d) 22 octobre 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
Une nouvelle fois tu ne réponds pas à ma question, pourtant très intéressée. Tes affirmations ne reposent donc que sur ton idéologie aux contours obscurs et aux procédés tyranniques. Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
C'est l'hôpital qui se moque de la charité, ou pour mieux dire: le malade qui se fou du médecin, Wikipédia tombe en quenouille, Quand-elle est corrigée par des nouilles! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
  • Déjuquer, "lever", du germanique jok : "joug", allemand joch ; dedjuker : "faire descendre de son perchoir".
(déjuqui, déjutyi en cotentinais). Ca peut vouloir dire « enlever le joug » ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Wace écrit Jokier: "être au repos", on enlevait le joug des boeufs pour qu'ils se reposent. Voilà un exemple pertinent du "K" employé en normand, et qui est un des traits de notre langue (quant elle n'est pas bêtement francisée par le changement de lettre en "c" ou "q". Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Ou bêtement nordisée. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Répartie simpliste ou de simplet! Le lecteur appréciera... 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Le lecteur n'apprécie pas l'insulte pour réponse. Tu fais une bataille sur l'écriture du son /k/ en c ou q. Ta vision mononorroise t'égalue. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Drache, "graine", "drêche" (résidu d'orge, de raisin après pressurage, du germanique drescan, allemand dreschen : "battre le blé").
  • Dragie, "dragée" et "avoine", du gaulois draboka : "ivraie", à l'origine du latin dravocata.
Je suis bien en peine de dire qui a raison sur les étymologies de dragie, et je ne vais pas chercher. Tout ce que je sais, c'est que l'ancienne forme médiévale (y compris en normand) était dragiée. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
  • Ecliche, du germanique sliti : "fente", allemand schlitz.
plus sérieusement, on trouve dans le TLF à Eclisse : vers 1100 escicle « éclat de bois » (Roland, éd. J. Bédier, 723); ca 1170 esclisse (Quatre Livres des Rois, éd. E. R. Curtius, p. 213); 2. 1539 « claie en osier sur laquelle on met le fromage à égoutter » (Est.); 3. 1549 « plaque de bois qu'on applique le long d'un membre fracturé » (Est.); 4. 1611 lutherie (Cotgr.); 5. 1680 « bois de fente utilisé en boissellerie » (Rich.). écliche est la forme normanno-picarde de ce mot. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Et encore plus judicieusement, on peut se référer à la p. 87 du Dictionnaire de Patois Normand, d'Edélestand & A. Duméril, qui donne l'étymologie par le vieil-allemand Slizzan, et p. 246 au Larousse ancien français, de A. J. Greimas, Esclic/Esclice: "éclat de bois/attelle/éclisse", du francique *Slîti: "entaille/fragment".

Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]

Rien ne dit que les Duméril ont raison, p. lxxxvii. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Alors, ceux qui ont écrit les dictionnaires d'ancien français (Greimas et Grandseignes d'Hauterive) et rapportent la même chose auraient eux aussi tort ? A force de vouloir faire le malin avec des réparties idiotes, vous révélez par trop votre vrai caractère et vos incuries. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Encore une insulte. Ca devient une habitude. Tu ne sais pas t'adresser normalement à tes interlocuteurs. Peut-être ont-ils raison. Je peux le concevoir sans te couvrir d'injure. Mais cela reste à vérifier, puisque je n'ai pas ces dictionnaires sous la main. Il ne te suffit pas de dire que. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Epléter, métaphonie de eptir lú ótt, des norrois eptir / eftir : "après" & ótt : "rapidement".
s'il s'agit de la métaphonie que tu dis, explique moi pourquoi en patois berrichon, bourguignon et champenois, le verbe épleter existe aussi dans le même sens « Se dit de quelqu'un qui travaille vite ou qui se hâte. » [cf glossaire canadien http://www.dicocf.ca/gle07.html] Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Parce que ces patois ont été influencés par le Normand-Picard, langue quasi officielle de la France du XVI/XVIIème s.Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Oui c'est clair, voyons. Donc il suffit juste de le dire. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Kono! ça aussi c'est cauchois!
Et kono, c'est quoi ? Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Donc un mot inventé (mdr) Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
ça veut dire con' en cauchois! Mais bien sûr vous l'ignorez... Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
  • Etivoquer, "taquiner", des norrois stíðka : "rendre quelque chose plus raide / tendu" & voga : "oser / risquer / hasarder".
quel rapport avec une taquinerie ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Si vous saviez le dialecte cauchois (pas seulement un pseudo-patois), vous sauriez que le sens du mot à aussi une conotation sexuelle.Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Faux-ami alors =) Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
  • Falle, combinaison des norrois háls : "gorge", dont le s disparaît en déclinaison, et fall : "chute" ; défaller (ibidem).
pourquoi pas ? penses-tu toutefois qu'on puisse rapprocher fale du mot d'origine normande falaise, dont l'étymologie est mieux connue ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Falaise, vient du francique Falisja: "rocher", et n'a aucun rapport avec la gorge...! Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Tiens, maintenant la gorge se réduit à l'espace du cou. En normand, la falle est la gorge dans son entier, elle se dresse, tout comme une falaise. D'ailleurs, le rouge-gorge y est un rouge-fale. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Quel mauvaise foi et manque de connaissance en linguistique, je ne peux malheureusement rien pour vous! Mais pour nous vous pouvez faire beaucoup: Démissionnez! Le sujet vous dépasse, et vous êtes vraiment arrivé à votre niveau d'incapacité (comme dans le Principe de Peter). 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Quel orgueil et quel superculoflatulence ! Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Oui, c'était pour rester poli. Les latinistes comprendront. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Vous voulez dire: Latriniste! Une spécialité Fitzwarienne... Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
  • Fallu est un mauvais rendu de fali : "nigaud / imbécile", du norrois flón : "imbécile".
qu'est-ce qu'un « mauvais rendu » ? doit-on considérer tous les mot en -u de la même façon : (ex. : coeuru, goûtu, grichu, rogu, daru etc.. ). Ton avis ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Un mauvais rendu, est une piètre orthographe francisée..., dans vos 5 mots, "goûtu" est un mauvais rendu, le mot est français, les autres sont effectivement normands. Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
C'est toi qui le dit. Et tu le dis parce que pour toi, goût est seulement français, seulement voilà, il s'utilise aussi en normand. Les spécialistes du français sont bien incapable de lui donner une origine, qui n'est ni des latins -utus, ni -uus., Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Regardez p. 310 du Larousse ancien français, il vient du latin gustare. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Eh oui ! goûter vient du latin, comme bien des mots normands. Et goûtu est un adjectif formé en Normandie, par des locuteurs normands (des vrais =) sur le mot « goût ». Lui aussi d'origine latine. C'est ce que j'ai beau défendre, et je ne compte pas démissionner. Bien sûr que tous les mots normands ne viennent pas seulement du latin, mais il ne viennent certainement pas tous des dialectes saxons et scandinaves. A ton sens le normand n'est pas d'origine latine, à mon sens il l'est. Restons-en là ! Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Eh bien non, je ne disais pas le contraire plus haut. Je défends tout autant que toi une certaine idée de la Normandie, de son histoire, de ses traditions et de ses parlers. Je ne pense pas qu'elle ait à avoir honte de sa langue, avec ses traditions orales et écrites. Elle a été heureusement étudiée par les linguistes et c'est sur leur foi que j'approuve qu'elle est une langue d'origine romane (avec ce que ça sous entend d'origines latines, gauloises et franques), qui a conservé de surcroît, avec les parlers picards, de beaux latinismes proches de ceux d'Oc. Les Vikings ont ajouté un vocabulaire certain et spécialisé (outre plusieurs noms de lieux), mais se sont vite acculturés, et même catholicisés. Tu vois, je ne dis pas le contraire, je reconnais qu'il y a quelques mots qui ne sont pas d'origine latine. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
  • Vous êtes pris en flagrant délit de mensonge! Car vous disiez, et je vous cite: Les spécialistes du français sont bien incapables de lui donner une origine, qui n'est ni des latins -utus, ni -uus. Osez dire le contraire. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
Ta spécialité est le terrorisme, avec découpage de petites phrases, recollage hors contexte, tout en ne répondant pas aux vrais questions et en faisant diversions sur des points de détails. Je réitère que la finale en -u des mots daru, grichu, nachu ou goutû n'ont pas pour origine le -atus ou le -uus latins. Mais bon, à quoi bon discuter là-dessus, ce sont des mots que tu n'aimes pas, puisque pas de "ta" langue. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]
  • Fau / Faule, du norrois foli : "jeune poulain".
moui ! il faut bien trouver quelque chose pour s'éviter tout rapport avec le latin follis « ballon », « sac vide » et la fonction de fou que l'on retrouve sur les jeux d'échec. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Et pourquoi faudrait-il toujours se référer au latin, surtout quand la langue à mon sens n'est pas d'origine latine, mais celto-nordique. Parceque Fau/Faule n'a qu'un rapport indirecte avec la folie, puisque le mot français Fol, vient du norrois Fól par l'intermédiaire du normand et que ce n'est pas un mot latin qui voudrait dire "ballon".Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
  • Gendresse et Jean-bonhomme sont des impostures et n’existent dans aucun dictionnaire normand qui se respecte, même si vous les trouvez dans un obscur fascicule multigraphié édité par une école de d’Ancourt en 1953, intitulé avec emphase : Dictionnaire dieppois-français. Ces mots sont douteux et inventé, car contrefait par altération du français et ne sont en aucune façon cauchois, ni dialectaux, ni patoisants. ANNULEZ-LES ! Seuls sont cauchois les mots :
  • Brú, du norrois brúðr : "bru / jeune mariée / fiancée", gotique bruths : "belle-fille".
  • Brúman, du norrois brúðman : "gendre", lit. "homme de la brú", sont normand. In : p. 17 de Mémento du langage Elbeuvien, de Madeleine Hacquet-Cavelier, Elbeuf 1987. Et p. 124 du Glossaire, de C. Maze, Brionne 1984. Et p. 16 du Vocabulaire Andelisien, d'Henri Clérisse, Pontoise 1925. Et p. 41 - Mémento du Patois Normand en usage dans le Pays de Caux, de A. G. de Fresnay. Rouen 1885.
  • Griller, "glisser", calque du germanique glitan par le norrois grjótmöl : "gravier".
pourquoi pas après tout ? reste à établir la « glissement » depuis grjótmöl jusqu'à griller. Le cotentinais dit grilli, ce qui peut supposer une forme ancienne grillier, répertoriée dans Notices, mémoires et documents, Saint-Lô, 1851, sur les parlers de la régions de Cherbourg. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
  • Haguer, du norrois höggva : "couper / frapper / décapiter / fendre / démolir".
r'hagui ou r'hadji en cotentinais. Mais bon, pourquoi pas ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
  • Haler, de l’ancien néerlandais halen : "tirer", norrois halda : "tenir / tirer à soi".
oui. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
  • Haranguer, du hollandais haring : "hareng" (à l’origine du mot français).
d'accord. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
latin catus.
Vous "oubliez" l'étymologie du Dictionnaire gaulois de Dotin... Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
  • Kien : "chien" p. 168 - Mémento du Patois Normand en usage dans le Pays de Caux, de A. G. de Fresnay. Rouen 1885, et p. 40 de Mémento du langage Elbeuvien, de Madeleine Hacquet-Cavelier, Elbeuf 1987. Et : p. 223 du Glossaire Normand, de C. Maze, Brionne 1984. Et p. 44 du Vocabulaire Andelisien, d'Henri Clérisse, Pontoise 1925. Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
latin canis.
Vous voyez bien qu'en normand le mot s'écrit "Kien", alors pourquoi le franco-latiniser "quin", est-ce pour mieux servir un dessein non avouable, de latinisation du normand?! Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Coue dans le Cotentin. Du lat. cōda, autre forme de cauda « queue » (TLF).
  • Mairrie n’est pas non plus cauchois, c’est un mot français dénaturé pour faire franco-patois. ANNULEZ-LE !
En effet, il n'est pas seulement cauchois, on trouve mair'rie dans le Cotentin, formé sur le français moderne marie. Preuve qu'alors, le cauchois n'était pas figé et acceptait des mots nouveau, parfois en les déformant. Existe-t-il un mot norrois pour dire mairie ? Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Bien sûr, c'est Ráðhús; mais vous oubliez de dire que la dénomination de "maire" ne date que de la révolution française. Avant celà on trouvait des Bourgmestre, Bórgme′t: "maire" (lit. "Maître du village") en traduction normande. Car, si vous ne le savez pas le normand Maire f.s. designe une "tache naturelle sur la peau" et le "dépôt gluant du cidre". p. 149 du Dictionnaire du Patois Normand, des Duméril. Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Et pourtant, "maire" est connu depuis le XIVe siècle, et "mairie" et sa variante "mairerie" depuis le XIIIe s. (Dict. Robert). Tu crois que la Révolution a inventé le terme ? Toujours est-il qu'il s'emploie aussi en normand (dont le cauchois). Laisse donc ton Ráðhús à où il est. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Lisez p. 381 à Maior, du Larousse d'ancien français, et vous verrez que ce terme n'a pas la même acceptation que la "révolution française" lui a donné. Mais comprennez-vous vraiment ce que vous lisez? 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Tu m'accuses de ne pas savoir lire et toi même, lorsque tu es à cours d'argument, tu préfères frelater la discussion. La mairie, comme institution révolutionnaire, ne fait que reprendre un mot dejà connu des locuteurs, et transmis depuis plusieurs siècles. Dans ta logique quelque peu retorse, je pourrai te dire que je n'ai jamais parlé de maior mais de maire, mais je n'ose pas marcher sur tes basses traces. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Le lecteur possédant ce dictionnaire, pourra juger lui-même d'où provient la mauvaise foi! Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
Et il verra qu'elle vient de celui qui veut faire prendre à tous les Normands des vessies pour des lanternes, s'affublant et faisant croire à qui veut bien le lire qu'il baignait dès son enfance dans la seule famille normande parlant le norrois ancien, qui se transmettait en sautant les générations. C'est bien, moi je dis, c'est très bien. C'est loin cependant, de ce qu'est le cauchois, dont nous barbouillons la page de discussion. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Mon pauvre vieux ! Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
On est tous le vieux de quelqu'un..., mais pas pauvre! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 18:39 (CEST)[répondre]
  • Mine, du gaulois *megno, breton min : "museau", "lèvre" en gallois, irlandais mén : "bouche".
Empr. au lat. mina «poids de 100 drachmes chez les Grecs, monnaie grecque valant 1/60 de talent, ou 100 drachmes», du grec. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Là, c'est carrément un idiotisme double d'un faux-ami, le mot Mine: "visage" n'a rien à voir avec la notion de poid. Vous vous abusez, ou vous nous abusez. Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
C'était bien le but. Tu ne vois même pas que je fais allusion à autre sens de "mine", dont le diminutif est "minot". Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
  • Quemin est une piètre francisation du dialecte cauchois kmin, franco-patoisé q’min, du gaulois kamminos : "chemin" (à l’origine du mot français).
d'accord pour l'étymologie. Le choix d'écrire quemin se base sur l'usage français d'écrire chemin alors que le e est muet et se prononce « ch'min ». Personnellement je suis contre les apostrophes qui rendent illisibles les écritures dialectales. L'emploi du e muet écrit rappelle également que le e muet peut être prononcé dans certains cas. Oui pour dire eul pti kmin, mais non pour il i va pa par kat kmin. La pratique l'interdit là où la théorie le pense. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
C'est encore un des traits dialectaux du normand, qu'on retrouve aussi en breton et en allemand. Bien sûr que ça n'a rien à voir avec du français, puisque c'est du normand (cauchois). Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Je ne parle pas de français, mais de lisibilité. Mais même ta réponse est incompréhensible. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Désolé pour vous..., mais malheureusement l'intelligence ne se vend pas. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Ce n'est toujours pas une réponse, mais encore une manière d'insulter. Décidement, je vais finir par croire que toutes tes interventions ne sont que bile et fiel. Dieu merci, je n'en suis pas là, et qu'Il m'en préserve. Car ne n'oublie pas que tu n'as pas réponse à tout (et moi non plus). Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • Rime / Rimer, du norrois hrím : "givre / frimas", germanique hrim, suédois rim.
  • Sape, du gaulois sapos : "sapin".
ou lat. vulg. *sappus, cf. mon commentaire in fine.
Le mot est du gaulois avéré, à l'origine du français "sapeur". Votre mot lat. vulg. est une "construction", comme l'indique l'astérisque. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 18:39 (CEST)[répondre]
  • Soule / Choule, des norrois sull : "mêlée / combat" & sulla : "barboter / patauger".
Voir plus haut, sur votre erreur au sujet de Choule.Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
  • Vatte, du norrois vatn : "eau".
D'après Duméril. Comment explique-t-il le r de vatrer ? Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas celà un paraplasme !! Et dire ce que ce serait, ne dit pas comment la lettre "r" est venue dans le verbe, alors qu'elle ne se trouve plus dans le mot "vatte".Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Je persiste, c'est un paraplasme. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
Je comprends mieux nos désaccords. Et toujours pas d'explication. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]
Bien sûr: Chapitre IV L'Analogie, in: Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 18:39 (CEST)[répondre]

Vous avez commencé à mettre les étymologies, poussez votre raisonnement jusqu’au bout, sans prendre les faux-amis pour des mots français et bêtement les latiniser. Gwyonbach (d) 8 octobre 2009 à 01:36 (CEST)[répondre]

Cher Gwyonbach. Le principe de base de Wikipédia t'échapperait-il ? Nous sommes plusieurs contributeurs, toi compris, pour établir un article qui permette au lecteur « quidam » de se faire une idée de ce qu'est le cauchois. Il n'a que faire de tes invectives contre les autres contributeurs, desquels je suis apparemment, ce dont je ne te fais pas grief plus que ça, pour l'instant. C'est justement l'intérêt de cette page de discussion de discuter courtoisement et si tu prétends que tes thèses étymologiques sont les seules tenables, je pourrais m'amuser à faire de même, ça nous mènerai à une guerre d'édition qui désservirait avant tout le cauchois. Il y aurait bien des gens pour dire : cela vaut-il la peine de se battre pour cela ou si tu préfères : y a-t-i assez dé quei à se chornaer ?. Je te fais grâce de la prononciation, qui t'intéresse sûrement, mais tu tiqueras sans doute sur l'orthographe établie par plusieurs auteurs bas-normands entre les années 1900 et 1970.
Bien sûr qu'il y a des raisons de se battre, car si le normand est francisé, il perd son âme! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]

Georges Métivier l'auteur du Dictionnaire Franco-Normand (1870), le premier concernant le normand insulaire, était francophile. Il fut influencé par le prince français Louis Lucien Bonaparte philologue lui-même, venu aux îles en 1862 pour étudier les variétés insulaires du normand. Son orthographe (modifiée depuis) devient standard pour l'écriture guernesiaise, et a fortement influencée les travaux de Fernand Lechanteur (modifiés depuis, par soucis de simplification) dans la standardisation de l'orthographe du normand continental.

C'est bien le mérite de ces précurseurs d'avoir donné des principes orthographiques au normand (insulaire continental). Sans eux, le normand n'aurait pas pu s'écrire, rester oral seulement, et ne pas posséder de littérature, ce qui est l'une composantes essentielle des vraies langues. Métivier est proche de la prononciation du guernesiais, même s'il est imparfait, ici et là. Quand à Lechanteur, « i fit en sorte » ! et il a bien fait. Face à l'anarchie des orthographes qui ont été publiées dans la suite de Rossel puis de Beuve, il a su unir là où la dispersion était un mauvais facteur pour l'avenir du normand. Bien lui en a pris. Un Côtis-Capel a pris goût à écrire et sa poésie est superbe. Les locuteurs qui le lisent n'y éprouvent pas de difficulté particulière, une fois connus les traits principaux de la littérature dialectale, ce que même le CRDP de Caen a bien voulu diffuser. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Malheureusement les dialectes îliens, subirent une francisation insidieuse, dû non seulement à la disparition des vrais normanno-patoisants et à l'anglicisation de leurs descendants, mais surtout à la francisation des dialectes, véritable pollution linguistique par imprégnation, qui fit que ce langage devint du franco-patois, à cause de l'afflux quasi constant d'immigrants du continent, plus souvent Horsains que Normands, chassé par l'intolérance catholique dite hypocritement "guerres de religions" en France, la révolution française, la terreur issue de celle-ci & l'empire napoléonien. Ce qui influença fortement l'intelligentsia îlienne par mode ou "parisianisme". Immigrés continentaux qui furent pour la plupart, incapables de s'intégrer à la société britannique et qui ne voyaient dans les autochtones que les bouseux et autres pécores.
Et donc ? Que doivent faire nos cousins des îles ? Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Apprendre l'anglais, qui possède bien plus de mot normand, que leur franco-patois. Ou alors se mettre au vrai normand (l'mio bensard! K'euj prek ded'pi meï set' ânns). Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 18:39 (CEST)[répondre]
L'œuvre de Georges Métivier, tout en se voulant patoisante, reste malgré elle d'inspiration française, pour ne pas dire francophile, plus ou moins involontairement par rejet de l'anglicisation, et plus ou moins volontairement par le jeu des affinités philologiques et amitiés françaises du personnage, compte tenu de l'erreur monumentale trop couramment admise, qui veux que le normand continental soit, contre toute logique, de la famille des langues d'oïl, alors qu'en fait c'est celui des îles normandes qui l'est.
Ainsi tu ne saisis pas le cousinage très proche entre le normand des îles et celui du continent ? Même en 2009, nous allons ès îles pour précher en normand, il existe bien des différences comme entre deux patois, mais c'est le même dialecte. Ton cauchois ne se parle qu'au Walhalla. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Du IIème siècle au IXème siècle la future Normandie était peuplées de Saxons, puis vinrent les Vikings, qui "officiellement" parlèrent le norrois jusqu'au XIIème siècle. Mille ans de langue saxo-norroise en "Normandie" ne peuvent pas s'être effacé, sous le joug des latins qui n'ont été en Gaule, que 500 ans..., sachant de surcroît, que la langue vernaculaire des armées romaines fut le koinè (grec), César ayant d'ailleurs rédigé son "De Bello..." en grec!

Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]

Les Gaulois n'avaient pas quitté la place. Les gallo-romains construisaient encore des villes à Valognes ou Lillebonne, ou même Rouen, capitale de la Seconde Lyonnaise. Les Saxons ne sont connus que par les allusions au Litus Saxonicus, c'est-à-dire mal connus. Les faits sûrs sont peu nombreux. Peut-être as-tu des révélations sur eux que les historiens et archéologues ne connaissent pas encore. De fait, le peuplement d'origine gauloise a eu le temps d'intégrer la langue de l'administration impériale et d'en faire le fameux latin vulgaire que tu ne veux pas voir passer la frontière neustrienne (puis normande).
Là, vous êtes en parfaite contradiction avec Wace et Dudon de Saint-Quentin, entre-autres, qui disent que la future Normandie était dépeuplée. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Les historiens sont tous d'accord pour dire que la Normandie fut davantage dépeuplée par les troubles et épidémies de la guerre de Cent Ans que pas la conquête scandinave de la Normandie cinq siècles plus tôt, ce que confirme l'archéologie dans l'un et l'autre cas. Les seules sources écrites font de l'historien un boîteux (ou si tu préfères, eun r'haumpitoun, eun cllaumpin : je te laisse méditer sur l'origine de ces mots-là, je ne la connais pas, c'est peut-être du viquin).
Oui, de fait, ils ont fait fuir les moines et les reliques des saints, mais ces derniers sont revenus. D'après Matthieu Arnoux et Christophe Maneuvrier (univ. caen) « La dévastation et le dépeuplement des campagnes normandes au moment où Rollon s’installe à Rouen relève vraisemblablement d’un mythe historiographique créé par Dudon de Saint-Quentin pour servir l’histoire de la jeune dynastie normande. Tout, au contraire, laisse croire que les structures rurales n’ont pas été profondément transformées par les changements politiques des IXe et Xe siècles. La présence de fortes densités de population, le maintien du réseau urbain plaident par exemple en faveur d’une certaine continuité du peuplement ce qui n’interdit pas l’existence de fortes nuances régionales. C’est aussi à cette continuité du peuplement que l’on doit d’étranges survivances en matière d’administration et de fiscalité publique héritées de la période carolingienne, le groupe des homines liberi ayant réussi à se défendre contre la progressive édification des institutions féodales comme l’indique l’épisode fameux de la grande révolte de 996 » dans leur article Le pays normand. Paysages et peuplement

(IXe-XIIIe siècles) résumé pris ici. Ce sont deux universitaires qui actuellement contredisent ta vision des choses. En suivant le lien tu peux lire l'article en entier et même leur écrire des courriels. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]

Comme quoi tu n'as rien suivi ni compris, ce qui n'est pas pour m'étonner. Et donc je ne t'offre aucun contre-argument. Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]

Vous disiez pourtant plus haut que, et je vous cite encore: Les Gaulois n'avaient pas quitté la place... Faudrait savoir ce que vous dites, essayez au moins d'être un tantinet cohérent avec vous même. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]

Le sens de l'histoire c'est la chronologie. Il y avait des Gaulois à l'arrivée des Romains et force est de constater que les langues gauloises ne sont plus parlées en Gaule (puis France) depuis plus de 1500 ans. Ce n'est pas faute des envahisseurs germaniques, voire scandinaves, qui ont laissé quelques traces. Mais les Gaulois n'ont pas quitté la place à l'arrivée des Vikings, c'est certain. Il n'y avait plus de peuple Gaulois au sens historique du terme, mais des descendants déjà bien brassés par les apports linguistiques venus du dehors de la Gaule antique. De ta part, je constate encore une volonté de cisailler mes propos pour me faire prétendre à l'incohérence. Et après tout, personne n'est à l'abri de l'erreur, ni toi ni moi. En disant cela, je n'accuse personne ni ne veux dédire la phrase précédente, mais seulement te rappeler que du haut de ton piédestal, tu commences à avoir la tête dans les nuages, avec la buée qui l'accompagne. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]
Henri-Paul Eydoux, dans : La résurrection de la Gaule (éd. Plon 1961). Ecrit p. 156: « Contrairement à ce qu’on a pu croire, la romanisation de la Gaule serait restée assez superficielle ; de fait, ni la vieille religion celtique ni la langue gauloise n’ont complètement disparu sous l’emprise de Rome. Sans doute, les grands monuments flattaient-ils l’orgueil, mais ils étaient plaqués artificiellement sur un pays qui n’en avait jamais bien compris ni la nécessité ni l’emphase ; d’autre part, ils représentaient un paradoxe – sinon un défi – pour des populations qui, pour la plupart, continuaient à vivre dans de modestes masures à l’ombre des solennelles constructions. Quand l’Empire s’est affaibli, la Gaule a connu un renouveau de ses traditions celtiques (on a même le témoignage dans différents domaines) et elle s’est débarrassée sans difficultés de la défroque romaine. Les monuments ont été démolis dans une sorte d’indifférence générale. Ce qui est intéressant à souligner c’est que, à la même époque, les villes ont perdu leur nom romain pour prendre celui des anciennes populations gauloises dont elles étaient le chef-lieu ». Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
Nous sommes bien d'accord, Eydoux et moi (bien qu'il n'ait pas non plus été un spécialiste mais un vulgarisateur) sur la destinée de la langue gauloise, donc, elle n'est plus parlée ni même sa religion (et les religions romaines aussi) n'est plus pratiquée. Le substrat principal des langues romanes qui ont survécu à l'époque gallo-romaine est donc bien le latin. Même le droit romain a subsisté dans le droit actuel. De multiples et bénéfiques influences se sont ajoutées : la christianisation des Gaules, les apports francs, et pour la Normandie, l'apport scandinave. Quand aux noms romains des villes, ils sont connus par d'anciens itinéraires, et sont romanisés comme nous francisons Ratisbonne ou La Haye. Et puis Coutances ou Lillebonne ont gardé ces noms romains. Alors. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]
Occupation romaine:

Merci d'apporter la preuve d'une occupation romaine dans l'actuelle Normandie, sachant qu'aucun archéologue n'a jamais trouvé la moindre trace d'un camp romain du haut empire, ni la moindre tombe de soldat romain de la même époque. Tout cela reste du domaine d'Astérix et des mythiques "camps de César", camp de l'age de bronze, du fer, voire même médiévaux. Cf tous les travaux d'archéologues: Michel Reddé etc.... Invasion convient donc bien occupation est donc inopportun. Bien à vous C. Cottereau (d) 22 mars 2009 à 21:49 (CET)

C'est un choix linguistique, ici on essaye de parler français. Mais tu es libre d'envoyer des e-mails, je m'en fiche un peu. Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
Alors vous faites du Parlotage (lol) au lieu de Chater, le mot est conseillé par les académiciens (sic!), lesquels vieux fossiles, aveuglés par leur lutte contre les anglicismes, ont complètement oublié que l'anglais Chat est issu du mot marseillais Tchatch. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
Donc, je vais bien regarder les étymologies que tu proposes ci-dessus, et pour lesquelles je te demandrais sans doute, pour quelsques unes, des sources sur la filiation certaine avec le norrois que tu chéris. Si l'on se fatigue à ergoter, en prenant l'exemple « sape » entre le gaulois *sappos et le bas-latin *sappus, autant dire que le débat finirait par être stérile, puisque c'est le même mot et que, jusqu'à preuve du contraire, les langues gauloises se sont effacées et fondues sans le latin dit « vulgaire » qui a forgé l'ancien français qui, on le sait, est un ensemble de dialectes dont le normand (qu'il soit ensuite cauchois, jersiais, augeois, ou cotentinais).
Le linguiste allemand Diez postulait : des "dialectes parlés des romains" et non le latin classique comme "langues-mères" des langues romanes, sans exclure l'influence des adstrats (grec, germanique), & substrats (étrusque, ibère, celtique…) du fait des documents disponibles (conscient des lacunes en documents historiques et dialectologiques) ; et revendiquait l'influence de Raynouard ; sa grammaire étant conçue sur le modèle des langues germaniques de Grimm (1819). Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Cela dit, puisqu'on est ici pour discuter. Pense que Wikipédia n'est pas une tribune pour faire valoir des opinions personnelles sur tel ou tel point. Comme tout le monde, je suis sujet de mes opinions, je n'excuse aucune des idées qui pourraient dépendre de paradigmes ou a priori. En l'occurence, je ne nie pas l'appartenance à des « écoles » de pensées. Qu'elles soient médiévales, puisque tu parles des clercs latinisateurs de termes plus anciens, ou plus récentes. Tu n'es pas le seul à avoir des notions de linguistique. Cependent, tu as le droit de le penser et de t'ériger en maître inconstestable de ce que tu affirmes. Toutefois, il semble que tout n'est pas inconstestable. C'est tout. Maintenant que je me suis exprimé sur ce point, on peut discuter de la question : d'où vient le cauchois ? peut-on croire que le picard, ou le français n'ont eu aucune influence sur lui. Le « parler purin » de Rouen nous dresse un tableau vieux d'il y a trois siècles. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 13:36 (CEST)[répondre]
Faux! Le recours systématique au latin en est la preuve. L'opinion de Wiki est que tous ce qui touche à la France et/ou au français est d'origine latine. Le refus de Wikipédia, de reconnaître le drapeau à croix de St. Olaf comme drapeau normand en est une autre. La politique franco-française de Wiki, qui prend pour argent comptant la dénomination de Région au sens plein, pour ce qui n'est que des "demi-régions administratives" françaises, refusant de reconnaître une Normandie unique, c'en est une autre. Le blason normand à 3 lions-léopardés dévalorisé, et le recours systématique à celui à 2 léopards institué par le roi de France, en est encore une autre. Le fait qu'on s'efforce de faire prendre ce blason pour un drapeau, en est encore une autre (et je m'arrête là mais j'en aurais bien d'autre à dire).Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Ce drapeau, qu'on doit à Adigard, Wikipedia n'a pas à le reconnaître. Ce n'est pas le problème de cette encyclopédie. Toutefois, tu remarqueras qu'elle ne l'a pas supprimé, dans l'article Normandie, ni dans l'icône des ébauches sur la Normandie. Ce qui est étonnant, c'est que les grands normands, fers de lance des armes ès treis cats se sont fait inhumer avec le drapeaux aux trois léopards et non la croix de Saint-Olaf. Wikipédia est bien obligé de reconnaître qu'il y deux régions officielles, puisque c'est effectivement c'est le cas. Le jour où ces deux régions seront réunies (ce que je souhaite le plus rapidement possible), Wikipédia suivra.
Ce ne sont que deux demies "régions administratives", des régions sur le papier. Si vous vous dites Normand, vous ne pouvez pas cautionner cette division instaurée sous la IVème république d'une France qui n'existe plus, et qui en plus des départements métropolitains, se composait des 2 départements d'Alger et de Constantine. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Premièrement je n'ai pas à me « dire » Normand, mais plus facilement je n'ai qu'à l'être, et pas à moitié. Tu n'as cure de ma généalogie (normande), ou de savoir où je suis né (en Normandie), où j'ai grandi (en Normandie) et où je vis (en Normandie). Tout ce que je sais, c'est que je n'aime pas voir NOTRE Normandie coupée en deux, mais je n'ai qu'à ouvrir les yeux pour constater que, légalement, et pas seulement sur le papier mais parfois dans les mentalités, la Normandie est partagée. Je souhaite qu'il soit mis le plus rapidement un terme à cet état de fait. Ce que je constate, c'est que même là où nous aurions un point d'accord, tu en profites pour déverser ta bile, ce que finit par m'être indifférent, vu le peu de cas que tu fais du respect des personnes et des opinions. Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Tout ça pour dire qu'on va finir par tuer le cauchois à la fin. De même, ton entreprise de critique serait plus agréable à accepter si elle était plus courtoise, sans traiter les gens d'idiots, voire d'administrateur (ce que je ne suis pas), bref le ton employé dessert le parti des runes. Tu n'es pas sans savoir que, depuis les années 1950, certains normands dont par exemple Jean Mabire ont porté une idée un peu extrême de la Normandie (via notamment la revue introuvable Viking), ce qui a passablement causé du tort aux partisans d'une identité normande affirmée au sein de l'identité française. De ce fait, les décideurs politiques ont préféré donner à la Normandie un visage tourné vers l'industrie (y compris agricole) et les technologies (y compris nucléaire), plutôt que d'exploiter ses richesses traditionnelles (comme en Bretagne, par exemple). Tout à été fait pour éteindre les vélléités de normannisme, y compris le partage en deux de notre chère province, ce qui n'est pas encore réglé, alors que le fait est abérrant. Sur ce, boujou. Fitzwarin (d) 9 octobre 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]
Pour ce dernier argument, je suis d'accord avec vous! Je suis rynasta (j'écris les runes depuis l’âge de 7 ans), peut-être dirigiste, mais entier. Et comme mon grand-père cauchois né en 1882, qui fit 3 ans de conscription, toute la guerre 14/18 et 2 ans d'occupation dans la Ruhr, je ne me considère pas français, mais Normand! La France est un pays horsain, et je persiste à dire que votre conception de la Normandie française, n'est aucunement la mienne! Ma Normandie est normande, une et indivisible, ses dialectes sont celto-nordique avec un fort substrat saxon. Elle possède un drapeau déposé à l'office de véxilologie, un blason à trois meubles (trois comme la trinité odinique), et son hymne national est MĒnn NormannĒ: "Ma Normandie" (en vraie langue normande), avec le mot France de la 1ère strophe remplacé par Indépendance (en 1911, par mon grand-père)! C'est ça, être Normand! Gwyonbach (d) 10 octobre 2009 à 01:57 (CEST)[répondre]
Oui, j'ai vu ton hymne sur ton autre page d'utilisateur. C'est très gentil. Illisible mais gentil. Pauvre Bérat. Fitzwarin (d) 11 octobre 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Pour savoir le lire; encore faut-il s'investir et connaître l'alphabet international.
Donc, si je comprends bien, sans l'API, on ne peut lire les écrits des Rynasta ! Au fait, c'est écrit en quelle langue ? Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
Quand à Bérat, que vous connaissez si mal, croyez vous que ce soit un hasard si son hymne, comporte 3 strophes de 8 vers, soit 24 vers en tout ? C'est un hommage aux runes (que vous ignorez et pourtant critiquez), car le Futhark ancien (alphabet runique), comporte 3 aettir (ce dernier mot norrois voulant dire "huitaine/famille", et 3 faisant référence à la trinité odhinique), de 8 runes chacun, ce qui donne 24 runes au total. 82.235.197.52 (d) 14 octobre 2009 à 01:41 (CEST)[répondre]
Tout ce que je sais, c'est qu'il a écrit Ma Normandie en français. Ta mention d'une « traduction en français » sur tes pages d'utilisateur est-elle une farce ou un trait d'humour rynasta ? Fitzwarin (d) 20 octobre 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
  • C'est une envolée skaldique, dû à mon grand-père en 1911. Or le fait de remplacer "de notre France" par "indépendance" qui donne une autre valeur au texte, nécessite grandement la notation: Traduction. Gwyonbach (d) 21 octobre 2009 à 00:13 (CEST)[répondre]
Quel heureux homme ! Si j'avais un lur dans les mains, j'accompagnerais bien volontiers cette hymne hypnoskaldique ! Non sans rire, j'envie Bérat d'avoir su trouver au tréfond de lui-même ses rimes odinique, mais pas de s'être abaissé à les écrire en français, seulement en français, et rien qu'en français. Et, pire, même à Jersey, dont ma Normandie est l'hymne national et officiel, on a gardé « de notre France » alors que ce territoire est depuis longtemps sous la domination d'une autre couronne. Sérieusement, c'était bien essayé. =) Fitzwarin (d) 21 octobre 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Puisque je me tue à vous dire, que le Jersiais est dû à la francisation..., vous m'offrez cet exemple comme preuve! 82.235.197.52 (d) 22 octobre 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
Non, tu es seul à le penser. La vrai preuve est qu'il existe un français de Jersey, variante du français continental (comme sont le québécois, l'acadien, le français des pays d'Afrique, qui sont des français non pas déformés mais enrichis par d'autres traditions que celle purement héxagonale. Et le jersiais c'est autre chose. Et le débat ici portait sur Ma Normandie, comme quoi tu bottes en touche pour faire diversion. Logique. Amusant. Récréatif. Mais pas passionnant. Fitzwarin (d) 23 octobre 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]
Enfin un aveu!: vous l'avez dit vous même, C'est du français..., et si c'est français, c'est pas normand, CQFD! Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 11:47 (CEST)[répondre]
Oui, parce que cette dernière remarque que tu fais montre à quel point tu as des difficultés à saisir plus que des nuances. Le français de Jersey et le jersiais ne sont pas la même chose. L'un est une variante de la langue française (et encore n'est-elle que juridique, à cause de la survivance du droit normand à Jersey notamment ; l'autre est une variante du normand. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]

Mais je m'arrête un instant sur ta lapalissade « si c'est français, c'est pas normand, CQFD ». Je perçois chez toi une farouche volonté de laisser accroire que la Normandie (continentale) n'est pas française. Déjà, au terme de la réalité juridique, la Normandie (province qui n'a pas encore retrouvé hélas sa personnalité juridique) est située en France (sauf les îles normandes bien sûr). Au terme de la réalité historique, l'appartenance de la Normandie au Royaume de France est bein entendu antérieur à la commise de 1204. Rien que cet acte de droit féodal s'est excercé au profit de Philippe Auguste parce qu'il était justement le suzerain du duc de Normandie (bien que celui-ci ait été pratiquement "roi" en sa duché bien avant 1066). Le duc de Normandie était d'ailleurs l'un des six pairs laïques du royaume des Francs (regnum Francorum) dès le XIIe siècle. Ca c'est la réalité historique. Cela n'enlève rien à l'identité culturelle normande, ni aux spécificités riches de notre Normandie, richesse qui, comme tu le sais, à de longue date été abusée, avant d'être rasée en 1944. Pauvre duché que le nôtre. Mais c'est ça aussi l'histoire, et les événements du passé n'ont pas à nous plaire ou à nous déplaire. On les constate, on les discute, on cherche à en comprendre les causes et les conséquences, on tente d'aider nos édiles à dessiner les contours d'une Normandie de demain. Ce n'est pas en bagouénant des lubies skaldiques à la dévraque que tu raffermiras l'identité normande mise à mal par une vision « lecanuetiste » de la modernité. Voilà un « baron » normand qu'on aurait dû mener au gibet du Parlement. Je préfère me recueillir sur la tombe d'un Guillaume à Caen que celle de ce fossoyeur de notre identité (et de la vraie Haute-Normandie) dans l'abbaye de Boscherville. A méditer. Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]

Bien ! Enfin un point commun entre nous… Lecanuet, vendu à Paris ! Je le lui avais dit en face, en prenant la parole lors d’un des premiers colloques organisé par A. Rufenacht (le 31 janvier 1985), pour la Réunification de la Normandie, où j’avais été invité. Et cet arriviste (je tiens ce mot de son ex-amie d’enfance Mademoiselle Odette Julien, qui se fâcha avec lui lors de l’histoire de « la canette », laquelle amie est toujours de ce monde) avait paru offusqué tout en tentant de se dédouaner (je rajouterais que mon père, toujours de ce monde, fit parti de la liste d’opposition d’André Marie, liste battue, qui se présenta en 1965 contre Bernard Tissot, où Lecanuet était son premier adjoint, lequel devint maire de Rouen à la mort de Tissot avant la fin de son mandat. Je sais, c’est de la petite histoire… !!!). Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
Il y a sans doute plus d'un point commun, mais une discussion entâchée de mots discourtois ne mène à rien. C'est comme tu dis c'est la petite histoire qui fait la grande. Toutefois, l'arriviste était natif de Rouen (même s'il a prit plaisir à faire raser son quartier natal, où vivaient jadis mes arrières-grands parents. Bon, tu as pas quelque chose à boire ? Fitzwarin (d) 24 octobre 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]
Surtout de Saint-Sever, où il était né. Eg bessall'rae ben, Ēn tit godet öd besson, d'm'en triege, brin d’piot k’eg âm’ pish ! (Aw'os pijèï?) Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 22:41 (CEST)[répondre]
Byin seû j'entend cha. Mei tou j'en i de la bouone de men trîge, pa'rai, o v's armounte dreit dauns le co pouor aindyi s'n houme à iète meins argouême, et coume dé raisoun, meins erganne n'tou. A nous godets. Fitzwarin (d) 26 octobre 2009 à 19:49 (CET)[répondre]

Correcteurs qui font l'esprit, mais n'ont pas d'esprit de corps avec la Normandie![modifier le code]

Et pendant que, ça guéguerre sur le pseudo-patois normand, avec un pseudo correcteur auto-proclamé linguiste. Personne, ce ceux qui se prétendent Normands, n'a été capable de faire corriger les sites israéliens de Viking et l'Anse aux Meadows, qui présentent des cartes fausses (dessinées par l'administrateur Bogdan), sur les Peuplements Vikings. Sites bloqué par un correcteur obtus (Ori: PTT, est-ce là aussi un "choix" de Wikipédia, de mettre des incapables aux commandes d'un site?), visiblement dépassé par un sujet qu'il ne maîtrise pas. Cartes que les autres sites de traductions ont corrigé, car la date de création de la Normandie, si elle est juste, dessine seulement le Cotentin, qui n'a rejoint la Normandie qu'en 933. Or 911, c'est la Normandie de Rollon, donc les départements actuels de la Seine Maritime et de l'Eure.

Montrez au moins que la Normandie et sa représentation vous tient à coeur! En faisant afficher par ceux-ci, la bonne carte corrigée, comme celle du site français de l'Anse aux Meadows. Gwyonbach (d) 24 octobre 2009 à 12:17 (CEST)[répondre]

Flops de Wiki...[modifier le code]

Après maint 'discussions" et dialogues de sourds avec le "correcteur" Fitzwarin (qui essayait de noyer le poisson), lequel avait déposé comme cauchois les mots Jean-bonhomme, Gendresse et Mâirri, et qui soutenait mordicus que c'était du cauchois en contestant les arguments de Gwyonbach (relayé entre autre par Agard-du-nord..., qui avait perdu le sien, = de nord =); effaçant la plupart des références étymologiques norroises et saxonnes du vrai cauchois non francisé. Les mots litigieux ont ENFIN été retirés en catimini, de la liste des mots cauchois! Et vous verrez, que l'avenir donnera raison à Gwyonbach pour ces autres affirmations, concernant le pseudo-normand franco-latinisé diffusé avec complaisance sur Wikipédia... 82.235.197.52 (d) 22 janvier 2010 à 09:52 (CET)[répondre]

L'article parle, comme caractéristique du cauchois, de: Une plus forte tendance à la métathèse que dans les dialectes occidentaux, par exemple, Euj au lieu de jé, eum au lieu de j'me, eud au lieu de dé, euq au lieu de qué, eul au lieu de lé. Cette tendance ne me semble pas du tout spécifique au cauchois, elle se rencontre dans d'autres parlers (rien que sur la Seine-Maritime le brayon et l'elbeuvien), mais aussi, il me semble, en picard.

Mais ceux-là ne sont pas des dialectes occidentaux (et le picard n'est pas normand du tout). Et en effet le cauchois partage des caractéristiques avec le picard que l'on ne rencontre pas (ou moins) dans les dialectes occidentaux du normand. Man vyi (d) 18 octobre 2010 à 13:44 (CEST)[répondre]