Discussion:Bistro

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Veritable nom du Bistro?[modifier le code]

Le Bistro

Le_Bistro

Le bistro

Le_bistro

Quel est le bon?

--[[Utilisateur:MG|www-(°!°)-=M=G***>>>@***-fr]] 10 déc 2004 à 10:21 (CET)

Le premier. Le second est un codage alternatif. Les deux derniers sont une redirection. Gentil ♡ 11 novembre 2006 à 16:07 (CET)[répondre]
Aucun des quatre. Le bon est : « Wikipédia:Le Bistro ». —C.P. 21 septembre 2007 à 23:55 (CEST)[répondre]

citation?[modifier le code]

Quelle est l'origine de la citation « Une conversation de bistro est parfois plus enrichissante qu'un discours d'amphithéâtre » ?

merci de répondre

Coldom 14 octobre 2005 à 10:32:50 (CEST)


Page d'homonymie[modifier le code]

Ce ne serait pas fou de créer une page d'homonymie pour bistro, car le mot a un sens particulier sur Wikipédia. Quant à la mystérieuse citation, je ne l'ai pas trouvée sur Google. Je la retire donc. Niladmirari 27 juin 2006 à 17:58 (CEST)[répondre]

Un mémoire[modifier le code]

Autant ça relève de la prouesse de trouver un essai sociologique sur ce thème.. autant les citations extraites me paraissent bien décevantes. D'ailleurs on ne sait même pas de quelle méthode celà relève - sans doute des entretiens, certes, mais en l'état on a surtout envie d'enlever ce bout...

Signez vos intervention, cher Buddho (avec ~~~~). Et je suis d'accord avec vous, je suis plutôt pour la suppression de ce passage, ou tout au plus pour la conservation d'un lien externe sur le mémoire. J'ai d'ailleurs rajouté dans cette section un bandeau Travaux inédits.
--Gloumouth1 5 décembre 2006 à 13:44 (CET)[répondre]

Ainsi, selon une rumeur bien établie, le mot « bistrot » viendrait du russe « bystro », qui veut dire « vite ». On est en 1814-18, les défaites napoléoniennes ont livré la France aux armées étrangères et les troupes russes occupent Paris. L’ordre et la discipline doivent régner. Soucieux de la bonne tenue des troupes, l’état-major russe interdit à tout soldat de franchir le seuil des cafés et autres débits de boissons. Pourtant, la soif se montre plus forte que la crainte de la patrouille, et les soldats russes pénètrent dans les cabarets ; aussi inquiets qu’altérés, ils prennent alors l’habitude de réclamer leur verre en criant : « Bystro ! bystro ! (Vite ! vite !) ». On les verrait taper du poing sur la table.

S’il est une légende solidement ancrée dans l’esprit de l’étymologiste amateur, c’est bien celle du « bistro russe ». En 1951 déjà, Dauzat écrivait dans Le Monde : " .. ce canard vole depuis trop longtemps pour qu'on ne lui coupe pas les ailes". C’est la tête qu’il aurait fallu lui couper : le canard est toujours bien vivant, et par un beau dimanche de février 2006 on l’entendait encore, porté par les ondes radiophoniques..

Sans doute il aurait fallu plus d’un cosaque qui boive plus d’un verre dans plus d’un café pour que le « bystro » russe donnât son nom au cabaret parisien, mais, tel l’avocat qui défend habilement sa cause, la légende n’est jamais avare en détails démonstratifs : entre autres variantes, on raconte que les cafetiers et autres limonadiers auraient fait leur publicité en écrivant « Bistro » sur les portes ou les fenêtres de leur établissement. Ainsi, le mot étant affiché aux yeux de tous, il serait d’autant plus facilement entré dans la langue.

L’histoire est amusante, astucieuse, et bien faite pour se graver dans les esprits, mais la mariée n’est-elle pas un peu trop belle ?

Les linguistes – qui jamais n’ont dédaigné le bistrot – se sont penchés sur le mot il y a longtemps déjà, et d’emblée la question a paru délicate. Selon L. G. Heien, c’est Lazare Sainéan qui ouvre le feu (1920) et propose comme origine bistroud « petit gardeur de vaches », mot d’un dialecte de l’Anjou ou du Poitou. C’est ce qu’on retrouve un peu plus tard, d’abord dans le FEW (Wartburg, FEW, t. 22, 1922-25), puis dans le « Dictionnaire étymologique de la langue française » (Bloch et Wartburg, 1932) : BISTRO, pop. 1884. Peut-être en rapport avec le poitevin bistraud « petit gardeur de vaches. » Il faudrait alors supposer que le mot aurait alors désigné d’abord l’aide du marchand de vin avant de s’appliquer au patron même.

Le travail de Gaston Esnault, célèbre argotologue français (eh oui, ça existe !), est désigné par Heien comme la contribution la plus importante à l’étude de bistrot. En 1951, Esnault publie une étymologie documentée dans le journal « Le Français Moderne ». En particulier, il cite la première apparition du mot sous forme écrite, en 1884, dans le sens ‘propriétaire d’un petit café’ : « Elle mange chez le bistro… » (Abbé Moreau, Souvenirs de la Petite et de la Grande Roquette, t. 2, p. 3). Le mot est repéré également en 1885 dans Le Mirliton (Bruant) : « D’temps en temps, un’ pauv’ muffée au Caveau ou chez les bistros de la Révolte ». À ce moment de sa recherche, Esnault est persuadé que bistrot est inséparable de bistingo, ‘mauvais cabaret’, attesté dès 1845, équivalent de bustingue, ‘hôtel où couchent les bohémiens’. Il actualise sa recherche en 1954 (Généalogie de bistro, Vie et Langue, 1954) et discute les relations avec des mots apparentés comme bustingue, bastringue, bistringue (variante franco-canadienne du précédent), bistrinque ; dans son « Dictionnaire historique des argots français » (1965), le mot apparaît sous les deux sens de cabaret et cabaretier, avec pour étymon bistringue.

Dans la première édition de son « Dictionnaire étymologique de le langue française » (1938), Albert Dauzat entre bistro(–ot) comme un mot obscur relié à bistingo, et peut-être à bistouille. L’article « La défense de la langue française : étymologies anecdotiques de fantaisie » qu’il publie dans « Le Monde » en 1951 souligne la popularité de la légende russe tout en lui déniant toute crédibilité. Dauzat propose au contraire bistouille ou bistre, mais sans trancher entre les deux possibilités (pour le mot bistouille lui-même, on trouve : « mot du Nord, sans doute de bis, deux fois, et touiller, remuer »). Le mot bistre (-n. m. ‘Suie détrempée et mêlée d’un peu de gomme’ ; adj. Couleur bistre – brun, jaunâtre) a été proposé comme origine possible également par le dictionnaire de l’Académie Française, ainsi que par Kilis (communication privée, 2006).

Le très autorisé Trésor de la Langue Française indique pour bistro(-ot) : « origine obscure ; à rattacher au poitevin bistraud « petit domestique », d'origine inconnue, si l'on suppose que le mot a tout d'abord désigné l'aide du marchand de vin, plutôt qu'à relier à bistingo « cabaret » 1845, bustingue (avec coquille ?) « hôtel où couchent les bohémiens » 1848 et bistringue, bastringue, tous d'origine obscure ; l'hypothèse qui voit dans le mot l'adaptation du russe bistro « vite » remontant aux cosaques assoiffés occupant Paris en 1814 n'est pas suffisamment fondée. Le -t final qui permet le fém. bistrote est dû aux nombreux mots fr. en -ot à valeur affective. »

À son tour, appliquant une méthode nouvelle, dénommée par lui « morpho-sémantique structurelle », Pierre Guiraud conclut en 1982 que l’origine la plus probable est bistrouille (mauvaise eau-de-vie ; vin faux, adultéré, produit d’un mélange), ou de façon pratiquement équivalente, les mots apparentés bistingue ou bistringue.

C’est à peu près ce que nous dit le Nouveau Petit Robert (1994) : « BISTROT ou BISTRO n. m. – 1892, - 1882 bistrô; cette date écarte l’hypothèse d’une adapt. du russe byistro « vite », qui n’aurai pu se faire qu’en 1814-1815 ; p-ê en rapport avec bistouille ».


Sachant que bistro appartient également à la langue russe (avec le même sens qu’en français), il peut être instructif de consulter les linguistes du pays, même si actuellement le mot est peu utilisé en pratique. Heien nous apprend ainsi que bistro est absent des dictionnaires russes du 19ème siècle répertoriant les mots d’origine étrangère, mais on le trouve en 1971 dans Novye slova i znacheniia (Mots nouveaux et significations nouvelles), qui intègre les mots apparus dans la presse ou la littérature au cours des années 50 et 60. Selon Novye slova i znacheniia, le mot est répertorié pour la première fois en 1964 dans le dictionnaire des mots nouveaux de Schanskii, Slovar inostrannykh slov.

Bref, selon Heien, l’ensemble des sources montrent que les étymologistes russes considèrent bistro (café, cabaret) comme un mot d’origine purement française, sans rapport avec le russe býstro. Il fait ainsi ce commentaire : « …since Pushkin was interested in foreign words – he even championed their use in Evgenii Onegin (1823-31) – and some of his closest friends and drinking pals were among those young officers who had served in 1815, one might also hope to find “bistro” in his vocabulary ».

Autrement dit, si l’origine prétendument russe de bistrot est venue aux oreilles des linguistes russes, elle n’a pas été pas prise au sérieux, ce qui montre bien que de ce côté non plus (témoignages de soldats russes, lettres, écrits divers, …) rien n’est venu pour étayer l’hypothèse du cosaque.

Comment expliquer alors un tel essor de la légende russe et sa persistance jusqu’à nos jours ? La brume légère qui entoure la naissance de bistrot (bistraud, bistouille, bistingo,…) a laissé le champ libre à bien des histoires, aussi attrayantes que fantaisistes, mais aucune ne peut se comparer à celle du cosaque assoiffé : on a du mal à croire que seuls le bouche à oreille et les discussions de comptoir aient suffi à rendre cette légende si populaire, jusque dans les pays étrangers.

Gold nous dit que l’origine russe de bistro a été soutenue par Gerald Cohen dans Comments on Etymology (1971), hypothèse alors donnée comme avérée par deux écrivains populaires. Ainsi, Fitzroy Maclean écrit dans The New York Times Books Review (1980) que les Russes « left the Parisians with the word bistro ». L’hypothèse est également donnée comme une certitude par Charles Berlitz dans Native Tongues (New-York: Grosset & Dunlap, 1982) ; mais Gold commente sans ambages : « voir la critique de ce livre bourré d’erreurs dans Jewish Language Review». Gold continue : « … ni Cohen ni Maclean, et encore moins Berlitz, ne se sont donné la peine de considérer si cette étymologie est convaincante sur des bases linguistiques interne ou externe, ni tenté de réfuter les diverses étymologies françaises. En fait, aucun des trois ne semble avoir été conscient de l’existence de ces dernières ».

Gold relève donc les fréquentes erreurs de Native Tongues et précise que Comments on Etymology, journal sans comité éditorial ni soumission à expertise externe, a lancé ou aidé à perpétuer nombre d’étymologies fautives (dont certaines ont été corrigées dans Jewish Language Review et Jewish Linguistic Studies). Soulignons que, en revanche, la présente analyse de Gold est publiée dans Romance Philology, le nec plus ultra de la revue linguistique.


Les linguistes sérieux, français ou étrangers, s’accordent donc à reconnaître que bistro a une origine purement française, quoique obscure, et rejettent unanimement l’origine russe. Les réfutations de bon sens sont variées (par exemple, certaines versions de la légende invoquent simultanément le fait que les débits de boisson sont interdits aux cosaques et le fait qu’ils y seraient entrés souvent), mais l’argument essentiel réside dans la date d’attestation (1884) : les linguistes nous disent que si le mot avait été formé dans les années 1814-18, il serait apparu bien avant 1884 sous forme écrite. Cet argument d’ordre temporel est facile à comprendre pour le béotien, mais - sans parler de la méthode « morpho-sémantique structurelle » ! - le scientifique de la langue qu’est le linguiste invoque bien d’autres raisons, d’ordre phonétique (la prononciation du russe býstro (bjýstr) est beaucoup plus éloignée de bistro que sa graphie française le laisse penser,…), pragmatique (ce n’est sans doute pas le mot qu’auraient employé les soldats russes en ces circonstances, mais plutôt popeshai, toropis ou skorei,… et si c’était pour répéter aussi souvent le mot “bistro” à des Français, était-il si difficile d’apprendre le mot français ?) et géolinguistique (bistrouille, bistingo,...).

Ainsi, en introduction à son habilitation à diriger les recherches traitant des russismes dans les langues romanes (Bolchevik, mazout, toundra et les autres : dictionnaire des emprunts au russe dans les langues romanes, Université de Paris IV-Sorbonne, 2003), Éva Buchi stigmatise le canard boiteux en ces termes : « Nous ne citerons que pour mémoire fr. bistrot n. m. ‘‘débit de boissons, petit restaurant de quartier’’, de formation purement française à partir d’éléments d’origine inconnue, que d’aucuns ont tenté de rattacher à russ. býstro adv., proposition étymologique définitivement écartée (cf. les réfutations de Heien Bystro et de Gold, RomPhil 44, 425-8) ».


Sans plus d’illusion sur l’origine russe, le linguiste fureteur en serait plutôt à se demander comment la légende a pu se faire jour. Il est clair que la relation entre bystro et bistro(-t) a été faite après coup, les deux mots existant alors indépendamment. Mais qui a fait le rapprochement, et en quelles circonstances ? Dauzat évoque la possibilité de quelque journaliste français russophile désireux d’amuser ses lecteurs, ou alors, ce qui ferait une plus savoureuse chronique, le flot des émigrés russes venus se réfugier à Paris aux premières années du bolchevisme. A son avis, il n’est pas inconcevable que les Russes, friands d’étymologie folklorique, après avoir relevé la similitude du bystro russe et des bistrots français, très populaires en ce temps-là, aient alors lancé la théorie du cosaque. La légende française à propos de la légende russe ?


La légende russe est la plus célèbre, mais bien d’autres hypothèses ont vu le jour. Ainsi, entre autres propositions fantaisistes rapportées par Heien, on peut citer setier, une ancienne mesure de volume (un demi-litre environ). En argot, un stroc vaut un setier, et un demi-stroc vaut un demi-setier, ce qui donne mistroquet ou mastroquet, le cabaretier qui sert un demi-stroc [Heien]. De son côté, Robert Giraud a avancé que bistro pourrait venir de mastroquet (attesté en 1849), qui par louche action du louchébem (jargon des bouchers, « a kind of underworld pig latin », selon la définition de Heien) se serait transformé en listroquem, lui-même retaillé par l’argot en listroquet, troquet, bistroquet, et enfin bistrot. Si cette histoire de ouf peut paraître à proprement parler loufoque, elle n’est pas plus invraisemblable que beaucoup d’autres.

N’oublions pas la légende citée par A. Bernelle, selon laquelle bistro viendrait de l’allemand Wirthaus ‘‘auberge, taverne’’, d’abord prononcé virtso, puis vistro et finalement bistrot par les soldats de Napoléon Ier qui traversaient l’Allemagne, bien avant que les cosaques n’occupent Paris. Heien commente : « Bernelle rightly called this farfetched theory a ‘tit-for-tat’ etymology to the Cossack version (Bernelle a nommé à juste raison cette improbable théorie l’étymologie ‘oeil pour œil’ de la version cosaque) ».


Il n’est pas besoin de fréquenter beaucoup les bistrots pour s’étonner de la variété des noms qui en français désignent les débits de boisson et autres restaurants, et bistro n’est pas la seule de ces appellations à avoir stimulé l’imagination des linguistes en herbe ; écoutons Dauzat à propos d’estaminet :

« Il y a une légende espagnole… On sait que dans le Nord et en Belgique les étymologistes amateurs donnent volontiers dans l’hispanisme. Donc sous l’occupation espagnole des soldats avaient apprécié une servante d’auberge qu’ils auraient appelé Mineta, et ils demandaient en arrivant : « Donde esta Mineta ?? (où est Mineta ?) ». Les consommateurs n’auraient retenu que les deux derniers mots, dont ils auraient fait estaminet.

Voilà vraiment le type du château de cartes étymologique ! … L’origine du mot estaminet a été établi scientifiquement en 1912 par un des meilleurs linguistes wallons, Louis Feller : l’estaminet était à l’origine le cabaret à poteaux (du germanique stam, allemand Stamm). C’est plus prosaïque, mais – au figuré comme au propre – plus solide. Sans compter que le mot évoquant les cabarets belges à colonnes ne manque pas de couleur locale. »

Autre version de la provenance Russe[modifier le code]

Selon une source orale (un fils de russe blanc émigré en France vers 1923), le mot bistrot viendrait bien du russe (быстро), mais pas de la guerre Napoléonienne. En effet, les russes blancs fuyant le régime soviétique, arrivant sans rien en poche et avec des connaissances en cartographie (puisque militaires, souvent officiers), une bonne connaissance des langues (français, allemand, anglais) et un sens de la politesse et de la prévenance (ce qui fit leur renommée dans ce domaine) sont devenus chauffeurs de taxi! Ayant peu de temps pour boire étant donné leur métier, ils utilisaient la fameuse expression "быстро, быстро!" (la langue natale venant en premier quand on ne réfléchit pas) dans les cafés, le mot arriverait donc dans les années 1920 par ce biais là.

À vérifier s'il y a des sources écrites. Cette personne m'a parlé d'une auteure russe qui donnerait cette explication, malheureusement je n'ai pas retenu son nom, il faudra que je lui redemande...

Première apparition du terme[modifier le code]

"De plus, la présence du mot bistro est largement répandue dans la littérature populaire antérieure à l'épopée napoléonienne." Citation ? La page Wikipedia English annonce pourtant exactement l'inverse, à savoir que la première apparition du mot daterait de la fin du XIXe siècle, soit bien après la présence russe.

Exact. Je corrige. DocteurCosmos - 19 août 2007 à 20:31 (CEST)[répondre]
La question est d'où vient-il, pas ce que le wiki anglais dit à ce sujet. Ont-ils de meilleurs informations que nous à ce sujet? Rapidement quelques liens sur le sujet (je sais que c'est mal : [1] / [2]
Bref deux points de vues deux origines, sans compter les multiples autres résultats qu'envoyait google, ce qu'il nous faut ici c'est un linguiste ou un historien (étant donner que pour le contemporain ca va être dur...) Dragrubis (d - c) 1 octobre 2009 à 18:19 (CEST)[répondre]
L'article est clair à ce sujet : on ne sait pas. DocteurCosmos (d) 2 octobre 2009 à 07:33 (CEST)[répondre]


du très grand n'importe quoi !!![modifier le code]

L'origine du mot "bistro" est auvergnate !! le bistroquet qui d'ailleurs donnera deux noms bistro /troquet est pourtant une institution de l'histoire de notre pays et plus particulièrement de Paris les fameux bistroquet où l'on pouvait boire et prendre du charbon je reviendrais mettre plus de documentation ou alors je dis une énormité, mais un article sur les bistros qui ne parle pas des auvergnats à paris, ça me paraît juste impossible 86.73.129.28 (d) 2 mars 2012 à 18:48 (CET)by "MaxAviliLeMalin for now et for ever"[répondre]

Wikiprojet[modifier le code]

Bonjour,

Le Wikiprojet a été modifié (+bière). Bonne journée,

Groumphy (discuter) 27 mars 2021 à 10:50 (CET)[répondre]