Discussion:Ballon monté

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modification du titre.[modifier le code]

Changement du titre en référence à l'usage en philatélie, et conforme à l'appelation de l'époque (sur les affiches, avis au public et documents administratifs d'époque).VT78 (d) 2 juin 2008 à 15:22 (CEST)[répondre]

Cohérence du vocabulaire[modifier le code]

il ne s'agit pas de montgolfières ici, même si l'aspect est identique, mais de ballon libre à gaz avec nacelle. la différence ne se situe que sur le contenu de l'enveloppe : remplie de gaz plus légers que l'air (ballon à gaz), et pas d'air chaud (montgolfière).

Pour, l'annecdote : Dans l'île Mystérieuse de Jules Vernes, les héros quittent Richmont assiègé en ballon à gaz.

Qui est Daru ?[modifier le code]

Comte Napoléon Daru, son frère le Vicomte ? Autre ?

On saut que Napoléon Daru était un personnage important, qu'il était à Paris début 1870 et qu'il n'y était plus en 1871.

J'ai tendance à penser qu'il était dans le La Fayette, mais je n'en ai aucune trace formelle.

Gédé (d) 24 janvier 2009 à 09:55 (CET)[répondre]

Non dans "la Lafayette" : il y avait Prunières et Dubost : Antonin Dubost secrétaire général de la Préfecture de Police et son secréatire Gaston Prunières : ils avaient pour mission d'aller voir Gambetta pour transmettre les plans du général Trochu.
il y a un Philippe Bosc dans le "ville de Chateaudun" maitre charpentier qui n'avait pas le vertige, donc apte à devenir conducteur ...
Mais pas de Daru en ballon, ni dans les forces de la Garde Nationale défendant Paris au niveau du commandement (secteurs compris).
Dans http://www.coppoweb.com/ballons/fr.ball_lst.php?idnb=15, il est dans le Jean Bart N°2, atterri à Dinant - Evrechelle
Chez Tissandier, il est dans le La Fayette, atterri à Dinant
Chez Mangin, il est aussi dans le Jean Bart, atterri à Dinant - Errecheilles
En fait, aucune de ces villes n'existe, mais Evrehailles, si.
En faisant des recherches croisées sur google, on ne trouve rien.
Alors ??
Gédé (d) 25 janvier 2009 à 22:36 (CET)[répondre]
Ce Daru là n'était plus Ministre des Affaires étrangères avant le début de la Guerre, bien qu'académiciens après la Guerre, il ne devait plus être dans Paris, probablement chassé par la femme de Napoléon III qui agitait les coteries et les clans pour assoir sa régence, pendant que Napoleon III était sur le front. La liste de Tissandier est entachée de nombreuses erreurs, même si de nombreuses informations interessantes sont apportées par son journal de la Guerre et d'aéronautes, il a reconstitué après la guerre cette liste sans accès aux archives mais uniquement avec des témoignages souvent indirects, les protagonistes étant partis ou morts. cE QUI EXPLIQUE LES ERREURS sur les villes d'atterrissages : transcription phonétique souvent ou fausse.
Et Mangin a repris cette liste, en modifiant quelques points, elle a aussi été reprise par Arthur Maury : ce n'est qu'avec l'ouverture des archives militaires et de la ville de Paris après la Guerre 1939-1945 que la liste complète, corrigées et argumentées, a été établie par J. Le Pileur (et l'académie de philatélie) et complétée par Lhéritier dernièrement.
il n'empèche : plusieurs points sont encore à éclaircir ! et des dépots d'archives nouvelles permettront de les corrigers !
VT78 alias aujourd'hui 82.124.73.206 (d) 25 janvier 2009 à 23:08 (CET)[répondre]

Erreurs dans les sources[modifier le code]

Pas facile de trouver des sources valables.

Selon Tissandier et Mangin, le Montgolfier aurait atterri à Holigenberg (Hollande). Seulement, cette ville ne semble pas exister. Les philatélistes le font atterrir à Heiligenberg en Alsace, mais avec capture de l'équipage.

La page perso d'un spécialiste de Heiligenberg confirme bien l'Alsace, mais infirme la capture : les villageois auraient tout fait disparaître et payé une somme à l'occupant en compensation.

  1. Selon les Philatélistes, et avec vérification sur le terrain (archives départementales), le ballon a attéri près du village de Nixeville dans la Meuse. Mais repéré par les Prussien qui les mitrailles, le pilote et les passagers lachent du lest et 2 sacs de courriers. Le ballon remonte et ils atterissent ensuite à HEILIGENBERG dans la Bas-Rhin (près de Molsheim) ... on trouve donc deux arrivées (et deux voies postales différentes du courrier).
  2. Et exact : Passagers et pilotes ont échappés aux Prussien, en passant par Munster, par contre le courrier lui a été pris par l'occupant. Par exemple : le Commandant Le Bouedec a fait 160 km à pied en passant par le Ballon d'Alsace et arrive à Tours le 31 octobre 1870.
  3. Les deux sources mentionnées : Tissandier (pilote du 5e ballon, donc vite sorti de Paris ! et revenu bien après la guerre) et Mangin sont entachées de nombreuses erreurs : noms orthographiés phonétiquement, listes "mobiles" selon les articles et éditions de leur travaux ... bref : utilisez des références plus récentes, faites à partir des archives.

Liens interwiki[modifier le code]

En lisant le texte, il me semble que les liens interwikis ne sont pas très bons. L'article est sur un événement particulier d'utilisation d'aérostat avec un équipage mais le liens vers l'anglais est par exemple celui vers des ballons sans équipage qui sont lâchés au ahsard. Il me semble que le liens vers l'anglais et les autres langues devrait être vers en:Balloon (aircraft) et ceux qui lui sont reliés. Pierre cb (d) 1 décembre 2009 à 01:14 (CET)[répondre]

Dernier ballon à Sougé-le Ganelon ?[modifier le code]

Sougé-le-Ganelon#Histoire semble revendiquer ce ballon.