Discussion:Alfred Gilder

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Travaux inédits[modifier le code]

Hello @Hyméros, @Laurent Jerry et @Harrieta171.

Attention à ce que vous restaurez, tout de même : en l'occurrence, les accusations de proximité avec les Éditions de Chiré, elles-mêmes accusées d'être proches des nazis et de l'extrême droite, peut-être exactes (je n'en sais rien), n'étaient étayées par aucune source secondaire. Les « références » étaient de simples liens vers les éditions en question. Bref, on nageait dans le plus pur TI, et l'article contrevenait totalement aux PF (et incidemment à WP:BPV).

Amicalement, — Jules* discuter 23 mars 2022 à 18:03 (CET)[répondre]

Je viens d'ailleurs de bloquer indéfiniment son auteur, 133 contributions au compteur, qui avait déjà été averti à plusieurs reprises et bloqué (par @Lomita) en 2016 pour le même motif : Discussion utilisateur:Managerstratege#Blocage. — Jules* discuter 23 mars 2022 à 18:14 (CET)[répondre]

Je dénonce comme injuste et infondé le contenu de la notice concernant Alfred Gilder[modifier le code]

Message déposé par Jean-Pierre REY--Ascor Rey (discuter) 23 mars 2022 à 18:12 (CET) Je suis littéralement atterré en découvrant la notice de Monsieur Alfred Gilder sur Wikipédia. Comment peut-on cumuler autant de mensonges et d'insultes sur une personne, dans le seul but de nuire? Le texte de la notice concernant M. Alfred Gilder relève de l'abjection totale, absolue, définitive. Il y a quelque chose d'ignoble à jeter en pâture, à l'opinion publique, via un réseau social, un homme, un professionnel, un père de famille, parfaitement honorable, en le traitant de nazi et autres amabilités. Cela relève de l'appel au lynchage et de la dernière des ignominies. Cette notice déshonore son auteur, et déshonore Wikipédia. Il se trouve que je connais M. Gilder depuis 52 ans. Nous avons préparé ensemble le diplôme de l'Institut d'Études Politiques de Paris dans les années 1969-1970. Je peux assurer que M. Gilder est tout à fait à l'opposé de ce qui écrit dans le torchon de votre notice biographique. J'autorise naturellement M. Gilder à faire état de mon témoignage, au civil comme au pénal, dans les procédures qu'il engagerait contre l'auteur de la notice et contre Wikipédia. J'ajouterai que les propos que vous tenez au sujet de l'Association des Écrivains Combattants sont de la même eau: d'une stupidité incommensurable! Croyez en mon indignation la plus totale. Jean-Pierre REY courriel@supprimé (pourquoi ?)[répondre]

Complément à mon précédent envoi[modifier le code]

Je relève une autre inexactitude dans votre fiche rt vous demande de la rectifier pour rétablir la vérité.:

La Chambre régionale des comptes de l'Ile-de-France n'était pas venue " sanctionner ma gestion". Elle étaitt intervenue pour investiguer la SEMIDEP dans l'ensemble de ses activités. Son président avait expliqué l'intervention de la Chambre était consécutive aux reproches des journaaux qui critiquaient la juridiction financière, l'accusant de n'avoir rien fait ni, a fortiori, dénoncé les turpitudes de l'ex-président de la SEMIDEP, coupable d'abus de biens sociaux.. Son rapport ne portait donc pas sur " ma " gestion, comme vous le dites, mais sur l'ensemble des activités de cette société.... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2a01:e34:ec55:dad0:70d2:c793:7f43:84a2 (discuter), le 14 mars 2024 à 16:25 (CET)[répondre]

L'article concernant Monsieur Alfred GILDER contient encore des affirmations inexactes, infamantes et diffamatoires. Je demande à ce que les corrections indiquées ci-dessous soit prises en compte dans le texte Wikipédia. A défaut, je me réserve de poursuivre le site devant les juridictions compétentes pour accusations diffamatoires. Merci de bien vouloir prendre en compte le texte mentionné dans le cartouche descriptions[modifier le code]

I - Carrière Alfred Gilder a été 43 ans au service de la puissance publique, Il a commencé sa carrière en 1969 comme attaché parlementaire au cabinet du secrétaire d'État au budget (Jacques Chirac). Puis il a accompli son service militaire, affectation état-major, à la direction financière du ministère de la Défense où il a participé l'élaboration du budget des forces armées pour l'année 1971. De décembre 1971 à fin 1976, il était à la Cour des Comptes le secrétaire général du Comité des TPG qui apurait les comptes des collectivités locales : en 1982, la grande loi de décentralisation, dite loi Defferre, remplaça cette formation inter-chambres par 22 chambres régionales des Comptes ! Après sa scolarité à l'ENA, il devint en 1979 administrateur civil au ministère de l'économie et des finances. Il fut d'abord directeur adjoint du CFPP (centre de formation professionnelle et de perfectionnement) puis chargé d'élaborer le budget de ce grand ministère. En 1983, il accomplit l'obligation statutaire de mobilité, à la ville de Paris, ou à la direction des finances et des affaires économiques, il fut nommé chef du bureau de la fiscalité et du potentiel économique. Resté au terme de la mobilité à la ville de Paris, il fut nommé sous-directeur en 1986, chargé des moyens (personnel, contentieux, budget, bâtiments, logistique) à la direction des affaires sociales et de l'enfance forte de 10 000 agents. Puis il fut adjoint au directeur de l'architecture et du patrimoine chargée de construire et d’entretenir les bâtiments et équipements municipaux. En 1995, sur demande du maire de Paris, il devint directeur général de la SEMIDEP. (voir ci-après). En 1997, plutôt que de retourner à Rivoli (où siégeaient encore les Finances), il revint à la mairie de Paris en tant que directeur adjoint de la Voirie, puis directeur adjoint des Affaires culturelles jusqu’en 2000. Il regagne alors le ministère de l'économie, des finances et de l'industrie. Nommé contrôleur général il est chargé du contrôle financier des dépenses de ce grand ministère. Sans le visa préalable, obligatoire et conforme du contrôleur financier, aucune dépense ministérielle n’est possible . En fin de carrière, il fut nommé chef de mission du Contrôle général économique financier. En parallèle, compte tenu des ouvrages que il avait écrits sur la langue française, il fut nomma, auss, haut fonctionnaire de terminologie de Bercy, responsable de sept commissions ministérielles (économie & finances, informatique, télécommunications, secteur automobile, industrie nucléaire, chimie & matériaux, gaz & pétrole). Par ailleurs, il a été, de 1984 à 2000, chargé de mission puis conseiller technique de l'Association internationale des maires francophones (AIMF) présidée par le maire de Paris, association sur laquelle il a co-écrit un livre, Des mairies et des hommes, préfacé par Jacques Chirac en tant que président de la République. Enfin, pendant 20 ans, de 1995 à 2015, il a présidé à titre bénévole, Théâtre 13, théâtre public subventionné, couronné de mon temps par des Molière. II -SEMIDEP Compte tenu de ses qualifications en matière financière et de gestion, ainsi qu'en qualité de « fonceur », qualificatif qu'on lui avait attribuée (« Gilder est un char d'assaut » disait-on à l'Hôtel de ville), le maire de Paris le choisit pour aller redresser cette société d'économie mixte de construction et de gestion de quelques milliers de logements sociaux à Paris et en banlieue. Envoyé en service commandé il arriva dans ce qui s'avérera un guêpier, En réalité, l'actionnaire majoritaire poursuivait un objectif : assainir cette survivance de l'ex-département de la Seine, avant de la dissoudre. La ville de Paris était l'actionnaire majoritaire, les autres actionnaires étant les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Crédit municipal de Paris et deux autres sociétés d'économie mixte, florissantes celles-là, la SAGI et la RIVP, dissoutes ultérieurement au profit du gigantesque OPHLM de Paris. La SEMIDEP était dans la tourmente ; elle connaissait des difficultés multiples et graves, qui la mirent sous les faisceaux des projecteurs politiques et médiatiques. Avant l'arrivée d'Alfred Gilder, le président avait fait de l'abus de biens sociaux. Mis en examen, il fut obligé de démissionner. Cette SEM était en déficit. Il appartenait de la redresser, notamment en obtenant des commandes publiques de logements à construire et en procédant, au besoin, à des licenciements. À son départ, cette société avait atteint l'équilibre financier. À cause des malversations de l'ancien président, et comme si la seule direction de la SEMIDEP ne suffisait pas, Alfred Gilder eut à traiter avec : le juge d'instruction venu s'enquérir des actes délictueux du président ; la Chambre régionale des comptes d'Ile-de-France alertée par des dénonciations anonymes et par la presse sur les turpitudes de l'ex-président ;- l'inspecteur du travail, qui ne trouva rien à dire ; le syndicat maison qui répercuta en réunions du comité d’entreprise les inquiétudes du personnel légitimement inquiet de son avenir ; des associations de locataires : certains d’entre eux ne voulaient plus payer leur loyer au motif que l’ex-président de la société dépensait inconsidérément avec leur argent ; -des journalistes dont les articles tendancieux ne firent qu'entretenir l’ambiance délétère et avec les maires de banlieue me convoquaient pour le morigéner parce que les immeubles de la SEMIDEP n'étaient pas entretenus ni rénovés. L'opposition PS au maire de Paris exploita à fond le scandale. Elle bénéficia des fuites provenant d'un délateur au sein de la SEMIDEP. Cet employé était la maîtresse de l'ancien DG que le président délictueux avait congédié. Or, l'ancien DG espérait que cette délatrice lui succédât. Elle alimenta le conseiller de Paris PS membre du conseil d'administration, le rapporteur de la chambre régionale et la presse, Ce cadre se mit aussi à répandre des calomnies sur le compte du nouveau directeur général parce que le poste qu'elle briguai lui avait échappé. Certains organes de presse (Le Monde, Le Parisien, FR 3) firent de la SEMIDEP leurs bonnes feuilles. Un plumitif au parti pris malintentionné, Philippe Madelin, écrivit un brûlot, Le Clan des chiraquiens ("clan" auquel Alfred Gilder n'a jamais appartenu). Il raconta que les livres écrits par Alfred Gilder étaient l'œuvre du directeur de la communication de l'Hôtel de ville !!! Ce folliculaire prétendit qu'Alfred Gilder avait un « faciès oriental » (sic), En dépit notamment de ce propos raciste, le maire de Paris, Jean Tiberi interdit au DG de la SEMIDEP de traîner ce sinistre individu en justice : il craignait que l'affaire de la SEMIDEP prît des proportions démesurées. Contrairement à ce que d'aucuns ont prétendu, i n'augmenta lui-même sa rémunération. Celle-ci fut é fixée par l'actionnaire principal, la ville de Paris, qui sur celle de d'un directeur de la Ville. Cette augmentation (de 11 %) n'avait d’ailleurs rien d'exorbitant, compte tenu du travai,difficile qui lui était demandé. Les propos mensongers colportés là dessus montrent que la « source » ne connaît rien aux sociétés commerciales régies par le droit privé, de même qu'il ignore la pratique des conseils d'administration des sociétés d'économie mixte où siégeaient les élus de collectivités publiques importantes. C'est le conseil d'administration de la SEMIDEP qui vota la rémunération de son nouveau directeur général proposée par l'actionnaire principal, en dehors de la présence de l'intéressé. Quant à "la prime exceptionnelle" qu'on lui reproche, elle était statutaire et n’avait rien d’ailleurs d’exceptionnel. S'agissant du rapport de la Chambre régionale des comptes, les assertions diffusées çà et là étaient celles du pré-rapport rédigé par un rapporteur qu’alimentait le sycophante. Alfred Gilder fut auditionné par la juridiction financière réunie en formation plénière en dehors du rapporteur. Il démontra que les remarques de l'investigateur étaient erronées. La Chambre lui donna quitus. En conséquence, le rapport final écarta les affirmations inexactes du rapporteur. Enfin, Alfred Gider ne fut pas, comme cela a été prétendu, " relevé de ses fonctions » (sic). En vérité, il démissionna volontairement, sans aucune contrainte. Sa décision était motivée par le refus du maire de Paris de mettre l'argent nécessaire pour rénover les barres d'HLM dont la Ville de Paris était propriétaire en banlieue, notamment la fameuse « nouille d'Aillaud » à Pantin, mais aussi des HLM à Bondy et à Stains. Il avait obtenu sur cette proposition l'accord du préfet de la Seine-Saint-Denis pour que l'État verse, le moment venu, la prime dite PALULOS.

-- 2A01:CB00:2B3:F300:E14D:39F4:2E0F:23C4 (discuter) 21 mars 2024 à 10:10 (CET)[répondre]