Discussion:Étruscomanie

Remarque sur D.H. Lawrence

« Au xx^e siècle, l'étruscomanie atteint son expression la plus achevée, sous une forme poétique, voire mystique, dans Croquis étrusques de D. H. Lawrence, lequel visite l'Étrurie en 1927, à la fin de sa vie (Moses I. Finley, « Étrusqueries », p. 109-110). ». Moi je n'ai lu que Lawrence je n'y ai pas vu de quoi alimenter cette analyse, mais la description réaliste d'un pays pauvre au moment de l'Italie mussoliniene (comme notre article l'explique), critique et ironique vis à vis des Romains d'hier et d'aujourd'hui. Sûrement pas mystique ni poétique, comme dans son ouvrage Crépuscule sur l'Italie que je viens de finir ou c'est encore plus désabusé. Je trouve donc la phrase très convenue au principe que le discours d'un Britannique ne peut étre empreint que du cliché du romantisme mystique et poétique d'un adepte du Grand Tour, c'est un peu simpliste vis à vis d'un auteur du XXe siècle qui aborde autant de notions sociales et politiques, voire ethnologiques dans son ouvrage. -- Salve - louis-garden pinXit (On en cause) 16 mars 2012 à 20:39 (CET)