Discussion:Élections régionales de 2019 en Saxe

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Système électoral[modifier le code]

@Rachimbourg : « On ne comprend plus que c'est l'intégralité des 120 sièges qui est répartie à la proportionnelle. » Mais justement, ce n'est pas le cas. La moitié des sièges sont attribués au scrutin majoritaire à un tour, et l'autre moitié, voire plus si besoin, est répartis de manière à compenser les écart. Corriger le français si vous voulez, mais la version précédente est erronée.--Aréat (discuter) 26 août 2019 à 15:35 (CEST)[répondre]

Mais si ! C'est ça que vous refusez de comprendre. Ce n'est pas comme en Ukraine (la moitié à la proportionnelle, l'autre moitié au scrutin majoritaire). C'est l'intégralité proportionnellement aux secondes voix, et ensuite s'il y a des élus de circonscription alors ils pourvoient en priorité les sièges attribués proportionnellement. Ce n'est pas du tout un système compensatoire, la proportionnelle prime sur le majoritaire : les 120 sièges sont initialement distribués en proportion des secondes voix. Ensuite on voit s'il y a des élus de circonscription, et ils viennent en priorité intégrer la représentation parlementaire. À vous lire, on ne comprend pas du tout ça, on a l'impression que le vote majoritaire prime, alors que c'est l'inverse... — Rachimbourg (on cause ?) 26 août 2019 à 15:39 (CEST)[répondre]
Je sais bien que ce n'est pas un système parallèle comme en Ukraine. Je l'ai même expliqué dans l'article sur les dernières législatives. Ce qui est à l’œuvre en Allemagne, c'est d'abord une attribution de la moitié des sièges élus au scrutin majoritaire, puis l'autre moitié répartie de manière à compenser, pour coller à la proportionnalité des voix. C'est ça un système compensatoire, pas le système ukrainien, qui est parallèle sans compensation. En Allemagne la part proportionnelle prime bien, mais les sièges majoritaires sont répartis en premier. Comment diable appliqueriez vous la règle du "au moins 5 % des voix ou 2 sièges majoritaires" si ceux çi ne sont pas attribués en premier ?--Aréat (discuter) 26 août 2019 à 15:51 (CEST)[répondre]
Sauf qu'ici on parle de répartition, pas d'attribution. Et à ce titre, c'est bien l'ensemble des sièges qui est réparti proportionnellement aux secondes voix. Ensuite, ils sont en premier attribués aux sièges de circonscription, et le reste sera pourvu par les candidats de listes. Il faut bien répartir d'abord l'intégralité pour savoir qu'ensuite, certains ont trop de sièges uninominaux. Si le proportionnel prime, puisque tous les sièges sont distribués au départ avant de faire les attributions, ce n'est pas un système compensatoire. — Rachimbourg (on cause ?) 26 août 2019 à 15:57 (CEST)[répondre]
Les candidats arrivés en tête dans leurs circonscription obtiennent un siège, quel que soit le résultat de leur parti au niveau du Land. La répartition de ces sièges est fixé par les premières voix. Alors ensuite seulement vient la proportionnelle, qui est calculée en intégrant ces sièges, de manière à assurer la compensation. Le système allemand est bien un système compensatoire [1]. Qu'est ce que vous, vous appelez un système compensatoire ?--Aréat (discuter) 26 août 2019 à 16:11 (CEST)[répondre]
Les 44 sièges de circonscription ne sont pas répartis par les premières voix, ils sont attribués par celles-ci. Mais les sièges sont répartis proportionnellement aux secondes voix, dans leur intégralité. Ensuite, ils sont attribués, en priorité aux élus de circonscription. Un système compensatoire vise, comme son nom l'indique, à compenser le déséquilibre né de la répartition initiale des sièges, or ici la répartition initiale est proportionnelle. C'est ensuite l'attribution qui peut amener à des déséquilibres qui seront compensés par les sièges supplémentaires. Le système allemand n'est pas un scrutin majoritaire compensé par une proportionnelle, mais un système proportionnel dont une partie des sièges est attribuée au scrutin uninominal majoritaire à un tour. Le vote qui compte pour répartir les sièges, c'est le deuxième vote. Pour établir ou non l'existence de mandats supplémentaires, il faut d'abord connaître la répartition proportionnelle de l'ensemble des sièges. Donc c'est bien l'intégralité qui fait l'objet d'une répartition proportionnelle, ainsi que cela est écrit.
Si l'on vous lit, la répartition se ferait ainsi :
  • Répartition des sièges de circonscription
  • Répartition des sièges restant à la proportionnelle
  • Répartition de tous les sièges à la proportionnelle pour voir s'il y a des mandats supplémentaires
Alors que c'est
  • Répartition de l'intégralité des sièges à la proportionnelle
  • Attribution prioritaires des sièges de circonscription
  • Création de mandats supplémentaires si un parti a plus de sièges de circonscription que la proportionnelle ne lui en attribue
On commence donc bien par tout répartir proportionnellement. Les deuxièmes voix d'abord, en gros. — Rachimbourg (on cause ?) 26 août 2019 à 17:28 (CEST)[répondre]
La preuve en est d'ailleurs que lors des soirées électorales, au départ les résultats sont présentés sur la base du nombre légal de sièges, en utilisant uniquement le nombre de deuxièmes voix. C'est au cours de la soirée, une fois le nombre de circonscriptions remportées connu, que l'on peut affiner. Il y a donc bien une répartition proportionnelle de tous les sièges pour commencer, puis on affine. Les élections de 2014 en Brandebourg le démontrent bien : jusqu'à 20h10, personne ne donne de sièges au BVB, puisqu'il est sous les 5%. Quand on sait qu'il a remporté une circonscription, alors il entre dans le jeu et on affine la répartition, mais au départ ce sont bien les 88 sièges qui sont répartis selon les secondes voix. — Rachimbourg (on cause ?) 26 août 2019 à 17:38 (CEST)[répondre]

Contenu du tableau[modifier le code]

Le NPD avait été à deux doigts d'obtenir des sièges au scrutin précédent. Il est notable qu'il se soit effondré ici, donc c'est mentionné. Il apparaît même dans les courbes de sondages. Et même si ce n'était pas le cas, le tableau de résultats est fait pour contenir ces derniers, même ceux des petits partis. Ils sont dispensables, mais il n'y a aucune raison d'en supprimer du contenu une fois rajouté par un tier. Encore moins de partis ayant leurs propres pages. Le parti suivant, le Partei für Gesundheitsforschung, est dans ce cas, et il n'y aurait pas de raisons de le supprimer. Sur les pages d' élections sur lesquelles j'ai travaillé, on coupait en général autour de 0,10 %, voire on mettait tout. Les dernières législatives espagnoles, par exemple, sont coupées à 0,05 %.--Aréat (discuter) 21 septembre 2019 à 15:15 (CEST)[répondre]

Pour ma part, je coupais aux partis en-dessous de 5%, et ensuite je coupais sous le dernier parti exclu du Parlement s'il était sous les 5%. Désormais, je peux descendre à 1%, mais jamais plus bas. À moins de 1%, un parti est groupusculaire, il ne représente rien du tout. L'indiquer dans le tableau ou dans le paragraphe d'analyse n'a donc aucun sens ni aucune utilité. Cela n'aide pas à mieux comprendre l'article ou le contexte autour de celui-ci. C'est au mieux anecdotique, au pire inutile. – Rachimbourg (on cause ?) 21 septembre 2019 à 15:28 (CEST)[répondre]
Comme dit plus haut, ce n'est pas anecdotique quand ce parti a fait des résultats élevés aux élections précédentes et y a obtenu des sièges (à celles d'encore avant). Un lecteur voudra suivre d'une page à l'autre l'évolution de ces pourcentages. Et un tableau de résultats doit contenir autant de résultats qu'il est raisonnable d'y mettre. Le tableau n'est absolument pas long. Rien ne s'y oppose. --Aréat (discuter) 21 septembre 2019 à 15:38 (CEST)[répondre]
Le NPD fait 0,6%, il est cité dans Analyse. Mais le FDP, les FW, Die PARTEI ou le Parti des animaux n'y apparaissent pas alors qu'ils font des scores jusqu'à sept/huit fois supérieurs. Personne n'a pensé à les ajouter (pas même toi), c'est donc bien la preuve que les intégrer à la section Analyse n'a pas de sens. Le NPD n'a donc rien à y faire. Et comme il réalise un score groupusculaire, il n'a pas sa place en tant que tel dans le tableau des résultats. À moins de 1%, on n'est rien électoralement, politiquement, institutionnellement. Rien. Le NPD a disparu du Landtag de Saxe il y a dix ans. À l'élection précédente, de par son score élevé et sa situation de parti sortant, sa place dans le tableau était légitime. Là, non car il n'est rien, comme déjà longuement explicité. Un lecteur qui suit l'évolution verra donc qu'en 2019, le NPD ne pèse absolument plus rien, pas suffisamment pour avoir sa propre entrée dans le tableau, et il en tirera les conséquences. Peu importe la longueur du tableau, ce qui importe c'est de savoir si une info est pertinente et utile pour comprendre un article et son contexte. Là, ce n'est pas le cas. – Rachimbourg (on cause ?) 21 septembre 2019 à 15:42 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas à nous de juger si un parti ne mérite pas de ne serait ce que figurer dans un tableau de résultats. A partir du moment où le tableau n'est pas excessivement long, on les y inclut. @Taloris, @Panam2014, @InternauteLambda, vous qui completez également pas mal de ces tableaux, qu'est ce que vous en pensez ? Je suis pour ajouter le tableau suivant :
Résultats des élections régionales de 2019 en Saxe
Partis Circonscriptions Liste Total
sièges
+/-
Votes % Sièges +/− Votes % Sièges
Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (CDU) 702 945 32,55 41 en diminution 18 695 494 32,11 4 45 en diminution 14
Alternative pour l'Allemagne (AfD) 613 554 28,41 15 en augmentation 15 595 530 27,49 23 38 en augmentation 24
Die Linke (Linke) 265 853 12,31 1 en stagnation 224 411 10,36 13 14 en diminution 13
Alliance 90 / Les Verts (Grünen) 192 479 8,91 3 en augmentation 3 186 846 8,63 9 12 en augmentation 4
Parti social-démocrate d'Allemagne (SPD) 166 895 7,73 0 en stagnation 167 378 7,73 10 10 en diminution 8
Parti libéral-démocrate (FDP) 100 634 4,66 0 en stagnation 97 425 4,50 0 0 en stagnation
Électeurs libres (FW) 98 344 4,55 0 en stagnation 72 703 3,36 0 0 en stagnation
Die PARTEI (DP) 12 557 0,58 0 en stagnation 33 542 1,55 0 0 en stagnation
Parti de protection des animaux (Tiersch.) - - 0 en stagnation 33 435 1,54 0 0 en stagnation
Parti national-démocrate (NPD) - - 0 en stagnation 12 947 0,59 0 0 en stagnation
Partei für Gesundheitsforschung - - 0 en stagnation 11 652 0,54 0 0 en stagnation
Parti bleu 1 508 0,07 0 en stagnation 7 806 0,36 0 0 en stagnation
Parti des pirates - - 0 en stagnation 6 632 0,31 0 0 en stagnation
Autres 4 913 0,22 0 en stagnation 19 415 0,96 0 0 en stagnation
Votes valides 2 159 682 98,68 2 166 216 98,98
Votes blancs et nuls 28 853 1,32 22 319 1,02
Total 2 188 535 100 60 en stagnation 2 188 535 100 59 119 en diminution 7
Abstentions 1 099 033 33,43 1 099 033 33,43
Inscrits / participation 3 287 568 66,57 3 287 568 66,57

--Aréat (discuter) 21 septembre 2019 à 15:55 (CEST)[répondre]

Je suis contre. Tout parti en-dessous de 1% n'a aucune raison de figurer dans le tableau : il ne représente rien, sa présence n'apporte ni n'ajoute rien (dans le cadre de cet article et dans ce cadre uniquement). Ce n'est pas une question de longueur, mais de pertinence de l'information. Ici, savoir qu'il y a en Saxe des groupuscules électoraux qui ne pèsent ni dans la vie politique, ni dans la vie institutionnelle est une info sans intérêt et non-pertinente. Et en attendant d'avoir les retours, merci de laisser le tableau en l'état dans l'article. - Rachimbourg (on cause ?) 21 septembre 2019 à 16:00 (CEST)[répondre]
Ils ont pour raisons d'être dans le tableau des résultats qu'il s'agit des résultats de ces différents partis. Il n'y a pas de nécessité de justifier davantage leurs présence. Les qualifier arbitrairement de groupuscule n'est pas un argument. Faut il selon vous supprimer la moitié du tableau des Élections européennes de 2019 en France ? Parce que l'on est exactement dans le même cas.--Aréat (discuter) 21 septembre 2019 à 16:29 (CEST)[répondre]