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Discussion:Édouard-Léon Scott de Martinville

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Un autre enregistrement[modifier le code]

veuillez ajouter ce fichier à l'article. Il a fait plus que juste au clair de lune ce sont ses enregistrements survivants.

autres enregistrements ayant survécu
Ces « enregistrements » (qui sont en fait des oscillogrammes) n'ajoutent rien à l'affaire. PolBr (discuter) 15 avril 2021 à 20:40 (CEST)[répondre]

Les Scott de Martinville[modifier le code]

Je n'ai trouvé nulle part que Édouard-Léon, qui se dit ouvrier typographe (alors qu'il était plus vraissemblablement correcteur) se soit attaché à son nom noble, et c'est son phonautographe qui a fait sa notabilité. La pertinence de ce passage et de ce blason me semble douteuse.

Il existe au moins deux Scott de Martinville ayant publié à la même époque.

  1. l'un, domicilié à Issy, né vers 1790 « homme de lettres » meurt en 1863 (après avoir renoncé à faire partie du jury d'Assises de la Seine, ce qui nous permet de le savoir).
  2. Édouard-Léon, que je conjecture avoir été correcteur, co-auteur de plaquettes sur la grammaire, associé ensuite d'une façon ou d'une autre aux efforts sténographiques de Tondeur, et de là écrivant sa plaquette, puis tentant de créer un système d'enregistrement mécanique.

et cela, sans compter le polémiste royaliste Martainville, à propos duquel on trouve de nombreuses anecdotes.

Un certain nombre d'écrits sont difficiles à attribuer :

  • Jugement d’un ouvrier sur les romans et les feuilletons à l’occasion de Ferrand et Mariette, Paris, Camus, (1847)
  • Les Noms de baptême et les prénoms lire en ligne (1857)
  • Notice sur la vie et les travaux de M. Adolphe Noël Des Vergers
  • Essai de classification méthodique et synoptique des romans de chevalerie inédits et publiés. Premier appendice au catalogue raisonné des livres de la bibliothèque de M. Ambroise Firmin-Didot (1870).
  • Léon Scott de Martinville, Notice sur la vie et les travaux de M. Adolphe Noël des Vergers, Paris, Firmin Didot, , 26 p. (lire en ligne)

peuvent aussi bien ou mieux être l'ouvrage du Scott de Martinville « homme de lettres » 1790-1863.

Le Rapport sur l'élargissement de la rue Madame de 1843 rédigé par Scott, rapporteur (lire en ligne), peut être de Édouard-Léon Scott de Martinville, son adresse porté sur le brevet de 1857 est en effet dans le quartier (rue Taranne). Soit dit en passant, il est peu probable que ce rapporteur, jouissant de la confiance des habitants et des édiles municipaux, ait été un ouvrier, et cette profession, dont E.L. S.de M. s'est réclamé, doit être comprise comme celle de vigneron dont Paul-Louis Courier signait ses pamphlets.

La publication sur les ballons (dirigeables) de Scott de Martinville à la même époque (1837) est sans doute la reprise d'un ouvrage datant de 1779.

Les publications populaires de la fin du XIX et début XX.e siècles ont peut-être un peu tendance à broder, elles abordent la question sous l'angle de la fierté nationale, et je crois qu'il ne faut les utiliser qu'avec une certaine méfiance.

PolBr (discuter) 31 mars 2014 à 07:53 (CEST)[répondre]

Autorat incertain[modifier le code]

La filiation d'Édouard Léon Scott de Martinville[modifier le code]

Nous sommes parfaitement d'accord pour dire avec PolBr que la notoriété d'Édouard Léon Scott de Martinville provient exclusivement de son génie inventif et non de ses origines familiales. Il n'a d'ailleurs jamais effectivement mis en avant les origines de sa famille.

Permettez moi quand même , cher PolBr, de tracer la généalogie de notre inventeur:

  • La famille Scott de Martinville est -comme son patronyme l'indique- originaire d'Écosse. Elle se fixe en Bretagne où elle est reconnue noble d'ancienne extraction, suivant un acte de maintenance de 1671, aux armes portant d'or à 3 têtes de lion de gueules arrachées, languées d'azur. (Références: Louis-Pierre d'Hozier, Armorial général de France, vol.7, Firmin Didot, 1808). Elle est actuellement subsistante et adhère depuis 1980 à l'ANF.


  • Filiation
1/Auguste Scott de Martinville (1738-1800)
Officier d'infanterie
épouse en 2° noce, en 1787, Adélaïde Desmanet, dont:
2/Auguste Toussaint Scott de Martinville (1788-1861)
épouse Alexandrine Garnier, dont:
3/Édouard Léon Scott de Martinville, (1817-1879)
inventeur du phonautographe,
épouse Françoise Voltz, dont:
4/Louis Scott de Martinville (1874-1950),
ingénieur en chef du Génie Maritime,
épouse Frédérique Flachier Gaudinon, dont:
5/Georges Scott de Martinville, (1910-2004),
Polytechnicien,
épouse Geneviève Ménager, dont:
6/Édouard Scott de Martinville, (1946)
Amiral, grand officier de la Légion d'Honneur...(qui adhère en 1980 à l'ANF sur la base de pièces justificatives de filiation agréées par la Commission des preuves dont nul ne conteste l'authenticité. (Acte recognitif 5565-AG du 5 juin 1980).
                       -----------

Je reste attentif à votre retour. Cordialement. Entremont (discuter) 5 octobre 2014 à 21:24 (CEST)[répondre]

  • Notification Entremont : Merci pour toutes ces précisions. Il me semble que l'excès de catégories les rend inopérantes, mais si celle-ci vous semble opportune, vous en êtes certainement aussi bon juge que moi. Pour satisfaire ma curiosité, pourriez-vous faire apparaître dans votre tableau les autres Scott de Martinville cités dans la PDD ? PolBr (discuter) 8 octobre 2014 à 14:19 (CEST)[répondre]
  • Réponse à PolBr: J'entendrais en rester là : Les éléments généalogiques que j'ai mentionnés n'avaient pour objet que de vous confirmer la filiation de ce brillant précurseur. Il me parait inutile de charger le texte de ses ancêtres dont la notoriété est modeste ou de ses descendants, certes brillants, mais sans rapport direct avec le sujet traité. Pour les catégories, je vous laisse le soin d'élaguer, bien entendu ! Idem pour la Bibliographie douteuse des Annales de la Grammaire de 1820...l'auteur présumé n'avait que trois ans! Le second livre sur la grammaire n'est probablement pas de lui. En revanche, les 2 derniers ouvrages cités au chapitre Autorat incertain sont d'Édouard-Léon. Cordialement. Entremont (discuter) 8 octobre 2014 à 16:01 (CEST)[répondre]