Contrisson

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Contrisson
Contrisson
La mairie.
Blason de Contrisson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Bar-le-Duc
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Revigny-sur-Ornain
Maire
Mandat
François Clausse
2020-2026
Code postal 55800
Code commune 55125
Démographie
Gentilé Contrissonnais [1]
Population
municipale
779 hab. (2021 en diminution de 3,95 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 12″ nord, 4° 57′ 23″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 181 m
Superficie 11,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bar-le-Duc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revigny-sur-Ornain
Législatives Première circonscription
Localisation
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Contrisson
Liens
Site web contrisson.fr

Contrisson est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Contrisson se situe dans l'Est de la France et à l'Ouest du département de la Meuse, en limite du département voisin de la Marne. Située à 17 km de la ville préfecture, Bar-le-Duc, la commune fait partie du canton de Revigny-sur-Ornain.

Le village de 800 habitants environ s'étend sur 11,9 km2 entre les rivières de la Saulx et de l'Ornain.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 871,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,4 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Contrisson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,9 %), prairies (17,1 %), forêts (16 %), zones urbanisées (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans un cartulaire de l'abbaye de Jeand'heures portant la date de 1126, cette commune est désignée Contreson. En 1180 elle est connue sous le nom de Contressuns et en 1219 sous celui de Contressons.

Au XIIIe siècle, elle est inscrite sur les registres de la chambre des comptes de Bar, Contrixons, puis dans un cartulaire de Jean d'heures daté de 1238 Apud Gondrissons ; enfin Contressonnum (Regestrum tullensis dioececis beneficiarum 1402), Contrissonum (Pouillé, 1711, 1749 et Notice de Dom Calmet, 1756).

Après 1440, Antoine de Bournonville devient seigneur de Contrisson, héritage de sa femme Jeanne de Thourotte[15].

Depuis 1607, époque à laquelle remontent les actes de l'état civil, jusqu'à ce jour, le nom de ce village a toujours été orthographié Contrisson. Tout porte à croire que Contrissonum est bien la désignation latine de Contrisson.

L'étymologie de Contrisson, bien que n'étant pas certaine, permet, d'après les traditions, de supposer que ce nom lui vient de son emplacement à proximité de la rivière de Saulx, d'où l'appellation de Contre-Saulx, et par corruption, Contreson, puis Contrisson.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Georges Cochon    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Royer    
mars 2008 mars 2014 François Clausse   Directeur ADAPE
mars 2014 mai 2020 Jacques Biguet    
mai 2020 En cours François Clausse [17]   Ancien cadre

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 779 habitants[Note 4], en diminution de 3,95 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
642649642677781777799759749
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
691686680663680668644658607
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
623610621662653616536535597
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
517414472658698685721724745
2015 2020 2021 - - - - - -
811787779------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'usine Arcelor-Mittal Construction à Contrisson.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

La commune abrite trois monuments historiques :

  • l'église Saint-Quentin avec sa fontaine et ses cloches (la plus grosse s'appelle Charlotte, la plus petite a reçu le nom de Zélie et la dernière le nom de Marie) ; elle a été classée par arrêté du , après avoir été inscrite le [22]. C'est une église à 3 nefs avec de belles voûtes, construite à la fin du XVe et au XVIe siècle. La commune est propriétaire de l'église. Depuis , un nouveau coq protège le village et ses habitants ; celui-ci a été réalisé par les ouvriers de l'entreprise Le Bras Frères et fut béni par l'abbé Poincet ;
  • la ferme à pans de bois du XIXe siècle située 98-106 Petite-Rue ; elle a été inscrite par arrêté du [23] ;
  • la maison à pans de bois et décor peint des XVIe et XVIIe siècles, située 9 rue Simon ; elle a été classée par arrêté du [24].

Le château seigneurial[modifier | modifier le code]

Le château de Contrisson ne présente rien de bien particulier. L'évêque Charles-Bernard Colin l'avait augmenté d'une magnifique façade, laquelle fut démolie vers 1795. La porte d'entrée, en plein cintre, surmontée d'une rangée balustrade à fuseaux en pierre de taille, existe encore aujourd'hui. Ce château habité une partie de l'année par l'évêque des Thermopyles, fut vendu par son frère Jean-Antoine Colin à M. Moinot-Montigneul. De son habitation, le seigneur se rendait à l'église en traversant le Paquis, un jardin appartenant à M. Sanfaute, le ruisseau du Chevol tout cela sous terre par une allée malheureusement pas conservée.

Autres monuments et lieux[modifier | modifier le code]

Monument aux morts.
  • Le monument aux morts
La décision d'ériger un monument aux morts est prise le par le conseil municipal présidé par Haimon Ronfaut. Il est construit en 1925 pour une somme de 4 000 francs et inauguré en 1926. Les anciens combattants sont présents pour l'événement, avec notamment Georges Guyonnet comme porte-drapeau. Les enfants des écoles des garçons et des filles chantent pour l'occasion La Marseillaise. Sur le devant du monument figure « Gloria Victoribus » et la croix de guerre 1914-1918. Fin 1993, le monument est démoli mais la statue « Le Poilu » est conservée par la commune. Le nouveau monument en granit rose sur socle monolithe est réalisé par l'entreprise Gasperini de Revigny-sur-Ornain. Cet édifice est entouré de petites bornes reliés par des chaînes. 36 noms sont gravés sur le monument, 28 sont des victimes de la Première Guerre mondiale. En 1995, lors des commémorations du 8 mai 1945, le maire y dépose une palme décorative.
  • Le monument du cimetière
Au centre du cimetière, sur une croix centrale, une plaque commémorative de l'Union Nationale des Combattants, avec médaille militaire et croix de guerre, portant l'inscription : « 1914-1918, à la mémoire glorieuse de nos chers camarades morts au champ d'honneur. Priez pour eux. U.N.C Contrisson 1936 ».
  • Croix de chemin sculptée : avec peine, on devine plus qu'on ne lit que la croix est due à Jacques Charles Marinier & à son épouse. Le patronyme est vraisemblable: le recensement de la population de 1841 mentionnant en effet, en qualité de propriétaire, le couple Charles Marinier et Marie Lucie Jeannin. Celle-ci se situe au rond-point des rues du lavoir et de la ballastière.
  • Le lavoir : autrefois 5 lavoirs existaient dans la commune de Contrisson (ainsi que plusieurs routoirs, pour le chanvre).Trois appartenaient à des particuliers, deux étaient publics. Le lavoir encore actuellement sur pied fût construit en 1909. Le bâtiment est en bois, autrefois entièrement fermé. Les lavandières étaient agenouillées dans un " carosse " en bois. Elles s'aidaient mutuellement afin de tordre les draps qui étaient préalablement déposés sur ces bancs pour leur permettre de s'égoutter. Refait en 2009, le bâtiment du lavoir est désormais ouvert.
  • Le Chevol : le ruisseau de Chevol est formé par la réunion des eaux du fossé Conrard, dont la source est au bois de la Haie-Herlin, et celle d'un petit filet d'eau qui sort de la fontaine de la Petite Rue. Avant la construction du canal de la Marne au Rhin, le ruisseau de chevol n'avait qu'un lit, aujourd'hui ce cours d'eau se partage en 2 branches; l'une se confond avec le contre-fossé du lit canal et se rend dans la Saulx"Au derrière de la Daval"; l'autre traverse le canal et va, en serpentant sur les finages de Remenecourt et de Sermaize, déverser ses eaux dans l'Ornain près d'Alliancelles. Depuis 1855, la partie de son cours qui traverse le village est murée, ce qui permet aux eaux d'avoir un courant plus rapide et d'éviter les crues d'hiver.
  • La Ballastière, étang de pêche public :
  • Les écoles :
  • La Poste : autrefois, la poste & la caisse d'épargne étaient dans la Grande Rue, là où s'installera plus tard la succursale des coopérateurs de Lorraine. Puis en 1966, un vaste bâtiment sera édifié dans le jardin du presbytère.
  • La supérette (Proxi) qui a fermé en septembre 2016.
  • Le Mille Club :
  • Le canal de la Marne au Rhin: long de 312 km, il fait la jonction entre la Marne & le Rhin, de Vitry-le-François à Strasbourg. Grâce au canal latéral de la Marne, il est relié au réseau navigable de la Seine. Le tronçon Vitry-Nancy a été réalisé de 1838 à 1844 et mis en service en 1851. Le canal traverse le territoire de Contrisson sur près de 4 km et son creusement a été l'occasion, en 1842, de découvertes archéologiques. La commune compte 3 écluses : écluse de Braux n°56 (vers Revigny), écluse de Contrisson n°57, écluse de Chevol n°58 (vers Sermaize). Depuis un certain nombre d'années, il n'y a plus d'éclusiers, le passage ayant été automatisé. L'écluse de Chevol a été démolie, les 2 autres sont de simples logements.
  • Le salon de coiffure : ouverture en août 2010 du salon de coiffure mixte au beau milieu du village, dans les murs de l'ancienne poste (ceux-ci ayant été rachetés par la commune en 2009).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Contrisson Blason
Tiercé en pairle d'azur à l'aigle d'argent, d'or au quintefeuille de gueules au bouton octogonal d'or bordé de cinq triangles d'argent, et de gueules à la roue dentée d'or ; à la terrasse ondée d'azur brochant en pointe.
Détails
Blason composé par R.A. Louis avec la Commission Héraldique de l'UCGL et mis à disposition de la commune en 2015.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/meuse-55
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Contrisson et Vassincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales » (no 14), , 384 p. (ISBN 2-84050-074-4), p. 215-217
  16. Emmanuel Ahounou-Thiriot et Agnès Thiriot, Contrisson : images au fil du temps, Bordeaux, Les dossiers d'Aquitaine, , 294 p. (ISBN 978-2-84622-226-6), p. 191.
  17. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Notice no PA00106518, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Notice no PA00106708, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. Notice no PA00106690, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.