Yffiniac

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Yffiniac
Yffiniac
La mairie.
Blason de Yffiniac
Blason
Yffiniac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Denis Hamayon
2020-2026
Code postal 22120
Code commune 22389
Démographie
Gentilé Yffiniacais, Yffiniacaise
Population
municipale
4 987 hab. (2021 en diminution de 0,3 % par rapport à 2015)
Densité 286 hab./km2
Population
agglomération
170 779 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 09″ nord, 2° 40′ 34″ ouest
Altitude 10 m
Min. 5 m
Max. 147 m
Superficie 17,44 km2
Unité urbaine Saint-Brieuc
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trégueux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Yffiniac
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Yffiniac
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Yffiniac
Liens
Site web Site de la commune

Yffiniac [ifiɲak] (Ilfinieg en breton, Finia en gallo) est une commune française située près de Saint-Brieuc dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Gaule Romaine[modifier | modifier le code]

Ses origines remontent à la période gallo-romaine. Des objets tels qu'une épée gauloise, des monnaies, une statuette témoignent de l'occupation du territoire par les Celtes et les Romains. C'est à cette époque que l'existence d'un port est confirmée par la découverte de boucles de fer destinées à retenir les navires au moyen de câbles. Considérant que le port se situe sur les limites du pays des Coriosolites (capitale : Corseul), ces vainqueurs des Gaules l'auraient appelé Fines, mot latin signifiant confins, frontières, limites. Plus tard, le nom de la commune devient Ad Finiac puis Yffiniac.

La tradition orale traduit Yffiniac par ici finit l'eau ; hic finit aquam en latin, certainement parce que la localité est implantée au fond d'une baie où se rejoignent deux cours d'eau, le Camoy et l'Urne. À propos de ce dernier, M. Habasque, historien, écrit « le peuple prétend aussi que la rivière d'Urne doit s'appeler la rivière d'Ac et qu'Yffiniac doit se traduire ainsi : ici finit l'Ac ».

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Yffiniac, paroisse attachée au comté de Rennes en 980, dépend de l'évêché de Saint-Brieuc dès 1432.

Révolution française[modifier | modifier le code]

Yffiniac élit sa première municipalité au début de 1790 et devient le chef-lieu d'un canton jusqu'au .

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Sous le Consulat, un arrêté donna à la commune le nom d'Issiniac, mais cette erreur fut rectifiée par un second arrêté le et détermina le nom d'Iffiniac. Toutefois, lors du Premier Empire, le « Y » devint l'orthographe officielle.

Les habitants d'Hillion, Yffiniac et Langueux se livraient au colportage du sel qui était extrait des salines de Langueux et était réputé pour sa blancheur éclatante et son goût ; on vendait aussi les résidus, attachés aux parois des chaudières qui avaient servi à l'évaporation de l'eau de mer et qui formaient un sel de moins bonne qualité[1].

Les salines d'Yffignac et de Langueux cessèrent leur activité vers 1860, victimes de la concurrence du sel provenant de salines plus méridionales permettant d'obtenir du sel par des procédés plus économiques.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms des 139 soldats morts pour la Patrie[2] :

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

La "Coupe Florio" de 1927 ː vue générale du départ de la course à Saint-Brieuc (Agence Rol).
Coupe Florio 1927 ː le départ de la course devant les tribunes (photographie Agence Rol).

Le plus de 200 000 spectateurs se massent au bord des routes de Saint-Brieuc et Yffiniac pour assister à une compétition automobile, la Coupe Florio (Coppa Florio), organisée cette année-là dans cette commune (une course de côte y avait réuni en 1926 15 000 spectateurs) par la volonté de Lucien Rosengart qui possédait un atelier de construction automobile dans le port du Légué.

Le circuit retenu, long de 13 km, faisait un triangle Yffiniac - La Croix Gibat - Rue de Gouedic (en Saint-Brieuc) ; une bonne partie de l'itinéraire fut macadamisée pour l'occasion. Des tribunes et gradins offrant 5 000 places furent construits pour l'événement, ainsi que plusieurs passerelles pour permettre aux spectateurs de traverser la route de la course. Celle-ci fut remportée par Robert Laly, sur une automobile Ariès à plus de 96 km/h de moyenne ; il devançant Louis Wagner, sur une Peugeot[3].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’or au lion de gueules armé et lampassé d’azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Ville de 4 484 habitants s'étirant sur un territoire de 1 756 hectares, Yffiniac se situe sur la route nationale 12, à 7 km au sud-est de Saint-Brieuc ainsi que sur l'axe ferroviaire Paris-Brest. Elle fait partie des 14 communes de Saint-Brieuc Armor Agglomération.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Yffiniac
Langueux Hillion
Trégueux Yffiniac Pommeret
Plédran Plédran Quessoy

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trémuson à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Yffiniac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Brieuc, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[14] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

Carte de la commune

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), zones urbanisées (13,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), forêts (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), prairies (1,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ilfiniac en 1182, Iffiniac en 1207, Parochia d'Yffiniac en 1311 et vers 1330, Affiniac en 1320, Yffyniac en 1418, Yfiniac en 1419, Affiniac en 1423, Yffinnac en 1426, Yfiniac en 1432, Eyffiniac en 1435, Yffiniac en 1435 et en 1490, Finiac en 1480, Yfiniac en 1514, Finyac en 1536, Defynyac en 1552, Ifiniac en 1569[23], Issiniac en 1801[24], Iffiniac en 1802[25].

Yffiniac vient, semble-t-il, d'un gaulois nommé Ivino ou Ivinius[réf. nécessaire].

Le nom de la commune en gallo est Finia et en breton Ilfinieg[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1812
(décès)
Jacques Goinguene    
1814 1816 Jean-Baptiste Alano    
1816 1830 Jean Guinard    
1830 1833 Jean-Baptiste Alano    
1833 1840 François Henry Hinault    
1840 1870 Jean-Louis Le Corguillé    
1870 1874 Julien Saintilan    
1874 1880 Étienne Feuillet    
1881 1884 Julien Saintilan    
1884 1884 Joseph Laporte    
1884 1888 Joseph Botrel    
1888 1919 Julien Saintilan Rad.soc. Conseiller général de Saint-Brieuc-Midi (1907 → 1919)
Conseiller d'arrondissement (1907 → 1919)
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1946 mars 1965 Mathurin Auffray[Note 3]   Commerçant
mars 1965 mars 1977 Pierre Cléret[Note 4] SFIO puis PS  
mars 1977 mars 1989 Louis Marteil[Note 5] RPR Agent commercial, maire honoraire[26] (2009)
mars 1989 18 mars 2001 Marcel Chaplain[Note 6] PS Dirigeant d'un cabinet de conseil, ancien DRH
18 mars 2001 24 mai 2020 Michel Hinault[Note 7] PS Agent de maintenance retraité, maire honoraire[27] (2021)
1er vice-président de Saint-Brieuc Agglomération (2012 → 2014)
24 mai 2020[28] En cours Denis Hamayon PS Directeur de structure associative
Conseiller départemental de Trégueux (2021 → )
Vice-président de Saint-Brieuc Armor Agglomération (2020 → )

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Yffiniacais.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 4 987 habitants[Note 8], en diminution de 0,3 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4241 4951 4611 7891 9622 0032 0552 2172 263
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2312 2952 2852 1232 1962 1752 0842 0772 134
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0422 0031 9931 7091 7481 6781 7001 8011 702
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 9502 2522 8953 1853 5103 8424 2954 4844 814
2014 2019 2021 - - - - - -
4 9734 9904 987------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Gare d'Yffiniac.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Activités économiques[modifier | modifier le code]

Commune dynamique, avec environ 200 entreprises et commerces, Yffiniac s'appuie sur un tissu économique diversifié. Écoles, centres de loisirs, espace jeunes, maison de la petite enfance, complexe sportif, bibliothèque, équipements publics et autres services attestent la vitalité de la cité.

Transports[modifier | modifier le code]

Yffiniac est reliée au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce aux lignes 30 et 20 des Transports urbains briochins (TUB).

La gare d'Yffiniac est reliée à celle de Saint-Brieuc par quelques TER quotidiens.

Culture locale, patrimoine et tourisme[modifier | modifier le code]

Pour toutes informations concernant la culture et le tourisme de la commune : article sur Wikivoyage.

Édifices civils et religieux[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Saint-Laurent des Sept Saints : en grande partie reconstruite en 1850 et totalement restaurée en 1986, cet édifice constitue actuellement le principal patrimoine architectural et historique. Le chœur et le transept, en forme de croix latine, sont les seuls vestiges de l'ancienne chapelle, datant de 1681.
Au début du XXe siècle, une fête y était célébrée lors du pardon. Les pèlerins se rendaient à la chapelle pour y demander la guérison. En septembre, de toutes parts, on s'y pressait à la fontaine, aux vertus miraculeuses paraît-il, pour honorer ces saints, représentés par des statuettes : saint Armel était invoqué contre la peste, le retard à la marche et le psoriasis ; saint Cado contre les ulcères, les écrouelles, les furoncles, les infections oculaires, la surdité et l'arthrose ; saint Guénolé contre les accidents ; saint Jacut contre la lèpre et les rhumatismes ; saint Méen contre l'alopécie, le maladies des cheveux, les dermatoses et les psychoses ; saint Tugdual contre la tuberculose, les maladies respiratoires et l'épilepsie[33];
  • Église Saint-Aubin ;
  • Mairie : très bel édifice plus récent puisque datant de 1911. Ce bâtiment, construit en moellon et en brique, est entouré par les logements des enseignants et les écoles, celles-ci étant situées à l'arrière. Aujourd'hui, la mairie occupe la totalité du bâtiment.
  • Four à pain de Caudan.
  • Sites naturels : le petit étang de l'hippodrome, la vallée de l'Urne, le ruisseau de la Touche et, côté mer, le fond de la Baie, Yffiniac possédant une portion de cette vaste étendue sablo-vaseuse, entre terre et mer.

Activités associatives, culturelles, festives et sportives[modifier | modifier le code]

  • Une quarantaine d'associations.
  • Chaque année a lieu la fête des chocards, le chocard étant un gâteau aux pommes.
  • Jusqu'en 2010, le festival de musiques actuelles les « Yffirocks » s'est tenu au début du mois de septembre sur l'esplanade François Mitterrand.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Réélu en 1947, 1953 et 1959.
  4. Réélu en 1971.
  5. Réélu en 1983.
  6. Réélu en 1995.
  7. Réélu en 2008 et 2014.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Francis Habasque, "Notions historiques, géographiques, statistiques et économiques sur le littoral des Côtes-du-Nord", 1832.
  2. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  3. Hervé Queillé, Le XXe siècle en Bretagne et dans le monde : 1927. 200.000 spectateurs pour la coupe Florio à Yffiniac, Le Télégramme, , page 63.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Yffiniac et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Brieuc » (commune de Trémuson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Brieuc » (commune de Trémuson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Yffiniac ».
  24. Par arrêté des Consuls
  25. Par arrêté du 14 février 1802
  26. « Louis Marteil, maire honoraire d'Yffiniac », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  27. « Michel Hinault nommé maire honoraire d'Yffiniac », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  28. « Municipales à Yffiniac. Denis Hamayon élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Edmond Rébillé et Albert Pennec, "Quand les Saints guérissent", éditions Le Télégramme, 2002, (ISBN 2-914552-78-5).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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