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Michel Quévit est un intellectuel belge et militant wallon connu en tant qu' observateur de la Wallonie et son économie et auteur d'un ouvrage auteur du livre "Les causes du déclin wallon"[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Il commence sa carrière professionnelle comme apprenti typographe (de 1954 à 1958)[réf. nécessaire]. Durant cette période, il milite en faveur des droits des jeunes travailleurs comme équipier fédéral de la JOC en Brabant wallon[réf. nécessaire]. Après son service militaire, il décide notamment sur le conseil de Mgr Cardijn[réf. souhaitée] mais aussi du directeur de l'Imprimerie du Marais où il travaillait, Marcel Van Massenhove, futur Président du groupe Almanijn de la Kredietbank[réf. souhaitée], de se lancer dans des études universitaires. Au terme de celles-ci, il obtient les grades de bachelier en philosophie de l'Institut Supérieur de Philosophie de l'Université catholique de Louvain[réf. nécessaire], de licencié en science politique (relations internationales) de la même université et de diplômé de l'International Teacher Program (ITP) de la Harvard Business School[réf. nécessaire].

À la fin de ses études en sciences politiques[Quand ?], et sous la direction du Professeur Jean Ladrière[réf. souhaitée], Michel Quévit rédige un mémoire consacré à la « phénoménologie des relations Est-Ouest ». Le Pr Jean Ladrière fut aussi pour lui un tuteur, qui lui permit d'affronter les difficultés inhérentes au fossé qui séparait son premier bagage intellectuel et la formation philosophique[réf. nécessaire].

Durant ses études universitaires de 1964 à 1968, il est un membre actif de la politique étudiante universitaire[réf. nécessaire] notamment lors de la question du transfert de la section francophone de l'UCL vers la Wallonie dont il fut un fervent partisan[réf. souhaitée]. Il est élu[Quand ?] Président du Cercle des Étudiants en Sciences politiques de l'UCL[réf. nécessaire] et ensuite[Quand ?] Président du MUBEF (Mouvement Universitaire belge des Étudiants francophones)[réf. nécessaire]. Ce mouvement réunit les associations des étudiants de toutes les universités et les grandes écoles de la partie francophone du pays[réf. souhaitée]. Ce dernier prit, lors de son congrès de 1966, une position ferme en faveur du transfert de l'UCL[réf. souhaitée]. Un des chevaux de bataille du MUBEF fut aussi la lutte pour la démocratisation des études universitaires permettant sur un plan financier notamment par le biais du système des bourses d'études, l'entrée à l'Université de candidats issus de milieux défavorisés[réf. nécessaire].

Michel Quévit s'oriente ensuite[Quand ?] vers la carrière universitaire comme chercheur au Centre de perfectionnement des entreprises[réf. souhaitée] (CPDE) créé par le professeur Michel Woitrin et dirigé par le professeur Philippe de Woot. Il y décroche une bourse d'études doctorales du Collège Inter universitaire des Sciences en Management[réf. souhaitée] (CIM) qui lui permet de perfectionner ses connaissances en sociologie des organisations à l'université du Wisconsin[réf. souhaitée] et en méthodologie en sciences politiques à l'université du Michigan[réf. souhaitée]. Il acquiert au terme de cette formation, le titre de docteur en sociologie de l'UCL en 1977[réf. nécessaire]. L'objet de sa thèse doctorale dirigée par le professeur Michael Aiken de l'université du Wisconsin, porte sur les déséquilibres régionaux en Belgique de 1830 à 1973[réf. souhaitée]. Celle-ci sera publiée en 1978 sous le titre Les causes du déclin wallon (EVO, Bruxelles, 1978) et est actualisée jusqu'en 1980 dans l'ouvrage La Wallonie, l'indispensable autonomie, (Éditions Entente, Paris, 1982)[réf. souhaitée]. Ces deux livres vont jouer un rôle important dans l'orientation de la politique wallonne ainsi que sur le processus de fédéralisation de l'État belge[réf. nécessaire].

Dès le début de sa carrière universitaire[Quand ?], il enseigne le cours de Développement régional à la Faculté Ouverte de Politique Économique et Sociale (FOPES) et ensuite à la Faculté des sciences économiques et sociales de l'UCL, enseignement qu'il assurera pendant plus de deux décennies[réf. nécessaire]. Il sera aussi chargé du cours consacré à la stratégie de l'entreprise enseigné aux classes terminales des ingénieurs au département des sciences et du séminaire relatif aux questions européennes au département des sciences politiques et sociales[réf. souhaitée].

Ses activités ne se sont pas limitées au domaine académique mais vu son itinéraire personnel, elles se sont naturellement orientées vers la sphère du politique. Membre du groupe Bastin-Yerna[réf. souhaitée], il participe aux travaux préparatoires de l'ouvrage : Quelle Wallonie ? Quel socialisme ? publié en 1971 ainsi qu'à la création du mouvement Objectif 72[réf. nécessaire] créé en France par Robert Buron et animé en Belgique par François Martou qui a assuré la coprésidence du Groupe B/Y au décès de Max Bastin. Ensemble, ils participent en 1970 à la première rencontre de la gauche européenne qui s'est tenue à Rome.[réf. souhaitée]

Il devient à cette époque membre du Comité de rédaction de la Revue Nouvelle[réf. souhaitée]. Un de ses tout premiers articles, dans le numéro spécial de la Revue Nouvelle : Faire un pays: l'Europe traite du bilan des politiques régionales de l'UE[réf. souhaitée]. Il y défend deux réformes institutionnelles : la « création d'un Sénat des régions à côté du Parlement européen et la création d'un État confédéral belge »[réf. souhaitée].

En 1978, il accepte la proposition de conseiller indépendant du premier Ministre-Président de l'Exécutif Régional Wallon, Jean-Maurice Dehousse[réf. nécessaire] où il prend une part active[réf. nécessaire] dans l'élaboration d'une politique de restructuration de l'économie wallonne marquée par le déclin de la sidérurgie ainsi que dans la mise en place des premières institutions régionales. Le Ministre Dehousse lui confie[réf. nécessaire], par ailleurs, la mission de négocier avec le français Edgar Faure la création du Conseil des Régions d'Europe et il participe activement[réf. nécessaire] aux travaux relatifs à la convocation de son assemblée constitutive qui s'est tenue à Louvain-la-Neuve en 1980 et qui sera co-présidée par Edgar Faure et Jean-Maurice Dehousse. Cette initiative préfigure l'actuel Comité des Régions mis en place sous la Présidence de la Commission européenne de Jacques Delors[réf. souhaitée]. Il devient[Quand ?] membre du Centre Européen de Développement Régional[réf. nécessaire] (CEDRE) mis en place à Strasbourg afin de servir d'appui intellectuel aux travaux du Conseil des Régions d'Europe.

En 1983, il participera au séminaire[réf. souhaitée] organisé par l'université internationale Menendez Pelayo sur le thème de la « Politica industrial regional en España » (Santander, 18 au 22 juillet) au cours duquel il donnera une communication sur le thème de la « politica industrial de las Comunidades Europeas - relaciones de los diversos niveles de décision : communitarios, nacionales y regionales estudio comparativo ».

En 1983, il est un des initiateurs du Manifeste pour la culture wallonne.[réf. nécessaire]

En 1984, dans le cadre de ses activités scientifiques, il s'intéresse à nouveau aux problèmes institutionnels belges et publiera avec les professeurs Robert Tollet de l'Université Libre de Bruxelles (ULB) et Robert Deschamps des Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix (FUNDP) de Namur un mémorandum intitulé : Vers une réforme de type confédéral de l'État belge dans le cadre du maintien de l'unité monétaire[réf. souhaitée] qui obtient le prix de la SMAP 1984 octroyé par le Conseil Économique et Social de la Région Wallonne[réf. nécessaire] (CESRW) et qui aura un impact sur le contenu des réformes institutionnelles des années 1990[réf. nécessaire].

En 1984, à la demande de Philippe Aydalot[réf. souhaitée], professeur d'économie territoriale à l'université de la Sorbonne, il accepte de participer aux travaux du GREMI (Groupe de Recherche Européen sur les Milieux Innovateurs)[réf. souhaitée]. Le GREMI rassemblera une quinzaine d'équipe de chercheurs pluridisciplinaires qui se pencheront sur la problématique de l'innovation et du développement territorial en Europe[réf. souhaitée]. Au décès prématuré de Philippe Aydalot en 1987, il accepte de faire partie du groupe d'animation du GREMI[réf. souhaitée] composé de Roberto Camagni de la Boconi et de la Politechnico de Milan, de Denis Maillat de l'Université de Neuchâtel, d'Andrée Mattéaccioli de l'Université de la Sorbonne et de Jean-Claude Perrin de l'Université d'Aix-en-Provence. Il assurera cette mission jusqu'en 1999[réf. souhaitée]. Le GREMI sera à l'origine d'une abondante production scientifique dans le domaine du développement territorial et de la problématique des milieux innovateurs en Europe[non neutre].

En 1986, il, participe dans le cadre d'un projet de coopération scientifique entre la Belgique et le Canada à un stage de recherche auprès l'Institut canadien de recherche sur le développement régional (ICRDR)[réf. souhaitée] au Nouveau-Brunswick. De 1985 à 1987, il participera aux travaux du Groupe de travail mis en place par le Conseil de l'Europe sur la « dynamique culturelle dans le développement régional »[réf. souhaitée]. À ce titre, il prendra une part active[réf. nécessaire] dans l'animation du colloque de Namur de 1985 sur le thème « Interdépendance entre culture et économie au niveau régional » ainsi qu'à la réunion de la conférence organisée à Florence en 1986 à l'invitation de la Région Toscane sur le thème « Action culturelle et espace régional »[réf. souhaitée].

De 1978 à 1987, il participera[réf. souhaitée] en qualité d'expert de l'OCDE aux travaux sur le développement rural et plus largement ensuite à ceux consacrés au développement local et régional. Il exécutera à ce titre de nombreuses missions pour le compte de l'OCDE dans des pays membres (Italie, Grèce, Suède, États-Unis, Espagne, Portugal, etc.). Ses travaux auprès de l'OCDE donnent naissance à un nouvel ouvrage : Le pari de l'industrialisation rurale qui sera publié aux Éditions Régionales Européennes (ERESA) en 1986[réf. souhaitée].

Dans le prolongement de ses activités auprès de l'OCDE, il participe sous la houlette de Georges Christophe à la création de la Fondation Rurale de Wallonie[réf. nécessaire], antérieurement appelée Fondation du Sud-Est de la Belgique. Son objectif personnel est d'ouvrir le débat sur le développement rural à l'entièreté du territoire de la Wallonie[réf. nécessaire]. À ce titre, il participe aux travaux du Groupe IRMA[réf. souhaitée] créé et animé par Georges Christophe, qui sont à l'origine de la première politique de développement rural en Wallonie. Celle-ci se concrétisera par le lancement des opérations pilotes de rénovation rurale sur l'ensemble du territoire wallon.

En 1986, il est chargé par la Direction Générale de la Politique Régionale de la Commission des Communautés européennes[réf. nécessaire] de la préparation et de la rédaction du Rapport national belge dans le cadre du Programme communautaire consacré au lien entre les Objectifs de la Communauté en faveur du développement structurel ou de reconversion des régions et les objectifs de la politique européenne de recherche et de développement technologique (RTD)[réf. souhaitée].

De 1990 à 1993, il est expert auprès de la Direction de l’Industrie et de la Science de l’OCDE[réf. nécessaire] sur les problèmes de reconversion régionale dans les pays industrialisés et en 1994, à la suite de la chute des régimes communistes et de l'ouverture des pays de l'Europe de l'Est, l'OCDE le sollicite[réf. nécessaire] pour rédiger une étude sur les problèmes de restructuration régionale dans les Pays d'Europe Centrale et Orientale. Il animera la première rencontre des gouvernements de ces pays qui s'est tenue à Maastricht afin d'examiner les questions relatives aux restructurations économiques et sociales que rencontrent les régions de ces pays[réf. souhaitée].

En 1990, à l'occasion de l'entrée du Portugal dans la Communauté européenne, le gouvernement portugais lui confie[réf. nécessaire] la mission d'élaborer la méthodologie d’évaluation du Cadre Communautaire d’Appui du Portugal, sorte de Plan Marhall dont l'objectif est de contribuer au rattrapage économique et social du pays. Il réalisera cette mission avec la collaboration du Professeur José-Maria Mella Marquez de l’Université Autonome de Madrid[réf. souhaitée].

De 1987 à 1992, il assure la mission de rapporteur général des Congrès de « La Wallonie au futur »[réf. souhaitée] initié par l'Institut Jules Destrée, qui seront à la base d'un véritable mouvement de réflexion sur le développement et l'avenir économique, social et culturel de la Wallonie[réf. nécessaire]. Ces différents congrès aborderont les thématiques suivantes : « le nouveau paradigme de son développement économique » (1987), « le défi de l'éducation » (1991), « les stratégies pour l'emploi » (1995) et « les problématiques de l'évaluation et de la prospective territoriale »(1998)[réf. souhaitée]. À ce titre, il exerce la Présidence du Comité scientifique[réf. nécessaire] chargé de coordonner la programmation de ces différents congrès auquel participe dans une démarche pluraliste des universitaires et des intellectuels issus de la plupart des institutions scientifiques et universitaire de la Communauté française de Belgique.

De 1992 à 2002, il sera désigné par le gouvernement belge membre du Conseil Supérieur de l'Institut universitaire européen de Florence[réf. nécessaire] dont la mission consiste à former des doctorants en histoire, en science économique, en science politique et en droit issus de tous les pays de l'Union Européenne. Il assurera la Présidence du Conseil Supérieur de l'Institut en 1997[réf. nécessaire].

Dès le début des années 1990, il s'implique activement[non neutre] dans la mise en œuvre des politiques de développement territorial dans l'Union européenne initiées par la Commission européenne dans le cadre de la mise en œuvre de la Réforme des Fonds structurels lancée par Jacques Delors[réf. nécessaire]. En 1989, Il participe à la conception du Programme STRIDE[réf. souhaitée] qui est le premier programme européen qui aborde les questions relatives aux politiques de développement scientifique et technologique en faveur des régions en Europe.

Il est aussi chargé avec Jean Houard de l'IRES d'étudier « les conséquences socio-économiques de l'achèvement du marché intérieur pour les régions de tradition industrielle de la Communauté européenne » (RETI).[réf. souhaitée] Cette même approche est ensuite étendue au « développement des régions européennes les plus défavorisées » et cette étude est réalisée dans le cadre du GREMI.

Il crée en 1983 au sein de l'UCL, le RIDER[réf. nécessaire] (Groupe de Recherche Interdisciplinaire en Développement Régional) dont l'objectif principal est de mener des recherches scientifiques et des expertises dans le domaine du développement régional en Europe (voir en annexe un aperçu des travaux du RIDER). Dans le cadre de ses fonctions de directeur du RIDER, il assurera plusieurs missions[Lesquelles ?] auprès de différentes Directions générales de la Commission européenne, notamment auprès de la DG XVI (Politiques Régionales) pour l'élaboration de propositions de création d'emplois dans le cadre des Fonds Structurels (1995), de la DG XII (Science et Technologie) et de la DG XVI (Politique Régionale) pour l’élaboration et l’évaluation du programme communautaire relatif à l’articulation de la Politique de Recherche et de Technologie de la Communauté aux objectifs de reconversion et de développement structurel des Régions, ainsi que de la DG XII - (Science et Technologie) pour l’évaluation des programmes en science et technologie de l'Espagne et de la Grèce dans le cadre du Programme STRIDE 1991)

De 1996 à 1997, il sera membre de la Task Force « Regional Development » du Gouvernement de Pologne[réf. nécessaire]. Dans ce contexte, il traitera des orientations de la politique régionale européenne au cours de séminaires dans les Universités de Poznan, de Lodz ainsi qu'à l'Université Jagelone de Cracovie et à l'Académie économique de Cracovie[réf. souhaitée].

En 1995, la DG XII[Quoi ?] de la politique régionale de la Commission européenne le désignera membre du Comité de Suivi d'E.B.N[réf. nécessaire] (European Business Innovation Centers Network). Ce réseau réunit les centres d'entreprises et d'innovation (BIC) créés sous la houlette de la Direction générale de la politique régionale de la Commission. Il assurera par la suite la fonction de CEO d'EBN de 1998 à 2000[réf. nécessaire]. Il démissionnera volontairement de cette fonction à la suite du rejet par le Conseil d'administration de son plan d'assainissement budgétaire voulant résoudre les problèmes financiers résultant des politiques dispendiaires menées avant son arrivée à cette fonction et dont il avait reçu l'héritage[réf. souhaitée].

En 2001, le Comité des Régions le désigne Rapporteur de son projet d'avis sur « la communication de la Commission européenne relative aux services d'intérêt général ».[réf. nécessaire]

En 2003, la Commission européenne lui confie la rédaction du rapport de prospective sur la politique des Fonds structurels à l'horizon 2007 - 2013[réf. nécessaire] sous la direction du Comité des Régions. Ce rapport définit les lignes directrices de la stratégie européenne de la programmation des Fonds structurels qui inscrira la « coopération transrégionale et interrégionale » comme un des objectifs majeurs de la politique européenne de cohésion économique et sociale au même titre que la compétitivité territoriale et la convergence économique et sociale des régions de l'Union européenne[réf. souhaitée].

De 2003 à 2005, il participe en qualité d'expert[réf. nécessaire] au Programme de coopération de l'UNESCO : « Amérique latine - Europe » centré sur le partage et la diffusion d’expériences et de méthodes innovantes de développement local et régional entre l’Union européenne et l’Amérique Latine auquel participeront des régions de plusieurs pays latino-américains : Brésil, Bolivie, Colombie, Chili, Équateur et Mexique[réf. souhaitée]. Dans ce contexte, il participera notamment au Forum International Europe-Amérique latine de l’UNESCO qui s'est tenu à Puebla, au Mexique, en 2003 et il y fera une communication sur le thème du management territorial : démarche, contenu, fonctionnement et organisation du développement territorial[réf. souhaitée].

Depuis 2005, il s'intéresse tout particulièrement à la problématique de la culture - l'Europe[réf. nécessaire] et les territoires et à une réflexion sur ces enjeux pour le devenir de la construction européenne. Dans ce contexte, il collabore[réf. souhaitée] aux travaux du Relais Culture - Europe créé et présidé par Catherine Lalumiére qui fut ministre de la culture du gouvernement français, Présidente du Conseil de l'Europe et Vice-Présidente du Parlement européen. Dans ce cadre, il a mené un travail de réflexion sur les implications des projets culturels dans la politique des Fonds structurels européens et tout particulièrement dans la mise en œuvre de la Programmation 2007-2013[réf. souhaitée]. Toujours dans le cadre des travaux du Relais Culture Europe, il a donné de nombreuses conférences[Combien ?] et participer à des travaux d'échanges et de réflexion avec les acteurs culturels[réf. nécessaire]. En 2009, il sera un des membres fondateurs de l'Institut pour la coopération culturelle dans l'Union européenne : E.T.C. - Europe Territoire Culture[réf. nécessaire]. Sur un plan plus politique, il est un ardent défenseur[réf. nécessaire] de la reconnaissance de la culture comme compétences à part entière de l'Union Européenne et pour l'inscription de cette compétence dans l'article 2 du Traité Européen[réf. souhaitée].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Officier du Mérite wallon Officier du Mérite wallon (O.M.W.) 2012


Interventions dans le cadre du RIDER[modifier | modifier le code]

Dans l’élaboration et de la mise en œuvre des politiques structurelles de l’Union européenne[modifier | modifier le code]

Direction et coordination du Rapport de prospective sur la mise en œuvre des programmes financés par les Fonds structurels, notamment la gestion de la politique de cohésion après 2006 : rapport confié au Comité des Régions par la Commission européenne (2003) ; direction de l’étude sur les implications de l’élargissement communautaires sur les Fonds structurels et la politique régionale après 2006 : étude réalisée pour le Comité des Régions et présentée à la Réunion du Comité des Régions à Valence (2000) ; direction de l’étude sur l’impact régional de l’achèvement du Marché Intérieur : essais d’adaptation à la problématique des Régions d’objectif ; étude commanditée par la Direction Générale des Politiques Régionales de la Communauté Européennes (DG XVI), 1991 ; codirection avec le Pr R. Camagni de l’Université de Bocconi, de la recherche relative à l’Impact du Marché Intérieur de 1992 sur les Régions en Retard de Développement (Objectif 1), confiée au GREMI pour le compte de la DG XVI de la Commission des Communautés Européennes (1991) ; direction scientifique et coordination de l’étude relative à la mise au point d’une méthodologie d’Évaluation du Cadre Communautaire d’Appui du Portugal lors de son entrée dans l’Union européenne avec la collaboration du Professeur Mella Marquez de l’Université Autonome de Madrid (1990-1991) ; intervention sur le thème : « more cohesion, more cross-border coopération and neighbourhood policy in the Mediterranean lors du séminaire “Solidarity for Development” », organise par le Comité des Régions de l’Union européenne, Bruxelles, (janvier 2005) ; rapporteur-invité sur le thème « Enjeux de l’aménagement du territoire sur le développement durable en Europe » à la deuxième conférence conjointe Conseil de l’Europe / Commission des Communautés Européennes sur l’Aménagement du territoire de la Grande Europe et l’intégration des pays d’Europe Centrale et Orientale — Prague — octobre 1995; intervenant-invité à la 1re Conférence conjointe Conseil de l’Europe/Commission des Communautés Européennes sur l’aménagement du territoire de la Grande Europe et l’intégration des pays de l’Europe Centrale et Orientale — Dresde — 1993 ; intervenant en tant qu’expert à la journée de travail consacrée à la problématique des réseaux de transports européens et de leur incidence régionale, à l’initiative de la DG XVI de la Commission des Communautés Européennes, Bruxelles, octobre 1992.

Dans les stratégies de développement et de coopération entre régions transfrontalières et transrégionales régionales en Europe[modifier | modifier le code]

Conception et élaboration du Programme d’Action Transrégional « Grande r"gion 2010+ » (2008) ; élaboration du projet de coopération transrégionale de la Grande Région (Lorraine, Grand Duché du Luxembourg, Rhénanie-Palatinat, Sarre et Wallonie) sur la coopération en RDT et Innovation dans le cadre du Programme Européen « Régions de la Connaissance » (2005) ; évaluation de la Mission Opérationnelle Transfrontalières (MOT) pour le compte de la Datar et de la Caisse des Dépôts et de Consignations, en partenariat avec le Cabinet MCM Conseil de Metz, Paris, (2003-2004) ; évaluation du programme INTERREG II Wallonie / Lorraine / Luxembourg 1994-1999 pour le compte de la Commission européenne (DG REGIO) (2003) ; élaboration d’un plan stratégique de développement du potentiel touristique du Sud-Hainaut et mise en perspective de coopération touristique transfrontalière avec l’Avernois (recherche commanditée par l’ASBL Tourisme Sans Frontières en coordinations avec la cellule Interreg Pacte-Wallonie (1997)) ; rapport sur les réseaux régionaux transnationaux et la coopération dans les domaines de la science, de la technologie, de l’éducation et la formation, commanditée par la Direction Générale de Science, Recherche et Développement, unité FAST (prospective research de l'UE) (1996) ; évaluation ex-ante du plan de développement régional Meuse-Vesdre dans le cadre de l’objectif no 2 des fonds structurels, effectuée pour la Direction Générale des Politiques Régionales de l'UE (DGXVI), (1996) ; élaboration d’un plan stratégique de développement du potentiel touristique du Sud-Hainaut et mise en perspective de coopération touristique transfrontalière avec l’Avernois (1996) : recherche commanditée par l’ASBL « Tourisme Sans Frontières » dans le cadre du programme européen de coopération transfrontalière INTERREG (étude réalisée en collaboration avec le Centre d’Étude et de Formation Pluridisciplinaire (CEFOP)) ; appui méthodologique et scientifique au plan stratégique de Vigo et de son aire d'influence, étude commanditée par la ville de VIGO, 1993-94 ; évaluation de la faisabilité de mise en place d’un pôle graphique transfrontalier entre l’Agglomération Tourquennoise et les régions de Charleroi et du Hainaut Occidental; recherche réalisée pour le compte des Intercommunales IGRETEC et IDETA, 1993 ; EURES Transfrontalier, exercice d’évaluation de l’exercice 1992-1993 pour les structure-pilotes entre l’Allemagne, la Belgique, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, étude commanditée par la Commission Européenne (D.G.V), 1993 ; bilan du marché de l’emploi en Hainaut. Contribution à la réalisation du Plan de Développement Régional dans le cadre de l’éligibilité du Hainaut à l’Objectif no 1 ; évaluation de la main d’œuvre mobilisable par les actions de relance économique, recherche réalisée pour le compte de la Région Wallonne, 1993 ; étude de désenclavement du Hainaut Occidental et de la métropole lilloise dans le cadre de la coopération transfrontalière Hainaut - Nord-Pas-de-Calais (PACTE) : recherche réalisée pour le compte de l’intercommunale IDETA de la région du Hainaut Occidental, 1992 ; appui à la mise en place d'un dispositif d'information sur les conditions d'emploi dans les régions transfrontalières belges, pour la Commission européenne (DG V), en collaboration avec les acteurs locaux concernés (services de l'emploi, syndicats, représentants patronaux) ; suivi opérationnel des structures-pilotes des EURES Transfrontaliers, commandité par la Commission Européenne (D.G V), 1992-93 ; coordination du Programme de Coopération transfrontalière Wallonie - Champagne - Ardennes pour le compte du Ministère de la Région Wallonne avec la collaboration de la DATAR et du Conseil régional de Champagne-Ardenne (1989-1990) ; élaboration du PACTE, programme d'action et de coopération transfrontalière Hainaut / Nord-Pas-de-Calais, 1988-90 ; coordination du Programme d’Action et de Coopération Transfrontalière Européen (P.A.C.T.E.) pour le compte du Ministère de la Région Wallonne, avec la collaboration de la DATAR et du Conseil Régional du Nord-Pas-de-Calais (1988-1990) ; direction scientifique de l’étude « Harmonisation des normes et Coopération transfrontalière entre le Hainaut et le Nord-Pas-de-Calais » pour le compte du Secrétariat d’État à l’Europe 1992 (1989)

Dans le domaine des impacts de l’innovation et de la technologie sur le développement régional[modifier | modifier le code]

Process consultant du PRAI (Programme Régional d’Actions innovantes) de Madeira (2002-2003) ; évaluation du plan « Estrategia Regional de Innovacion 2001-2006 » de Castilla-Leon, mai 2001 ; rapporteur de la Conférence sur les Régions et la politique de Recherche-Développement et d’innovation : défis et perspectives de la territorialisation, organisée par la CRPM et la Communidad Valenciana – février 2001 ; évaluation du plan « Estrategia Regional de Innovacion « de la Principauté Autonome d’Asturies – janvier 2001 ; coordination méthodologique et process consultant du projet ETTIRSE : RIS entre la Région d’Algarve et la Province de Huelva (2000-2001) ; conception des « Regional innovation systems: designing for the future » ; étude commanditée par la DG XII de la Commission européenne dans le cadre du Quatrième Programme Cadre, 1996-1998 ; coordination méthodologique et scientifique du Régional Innovation Technology Transfer and Infrastructures (RIITS) de la Province de Milan, 1996-1998 ; Estudios de evaluacion de la infrastructura regional y strategias para la transferencia de technologica y apoyo ala innovacion (RITTS); évaluation commanditée par la DG XIII de la Commission Européenne ; cinquième conférence STRIDE - Wallonie 95 - Le management de la science et de la technologie au niveau régional : conception, organisation et suivi de la Conférence pour le compte de la DG XII de la Commission Européenne ; assistance technique dans le cadre du programme Regional Innovation and Technology Transfer Strategies and Infrastructures (RITTS) en Extremadura (Espagne) (1995) ; évaluation du programme STRIDE en France (1994-1995) ; appui à l’élaboration du Plan Régional de Technologie Lorrain (1994, 1995) Programme SPRINT DGXVI ; réalisation de l'enquête communautaire sur l'innovation dans les entreprises Community Innovation Survey (CIS), pour la Wallonie à la demande de la Région Wallonne, 1994 ; étude horizontale du potentiel innovateur des régions et des infrastructures d’innovation (Belgique et France) (1994, 1995) (Programme SPRINT - DGXIII) ; analyse du potentiel innovateur et des infrastructures d'innovation des régions européennes : France - Belgique, étude réalisée pour la Commission Européenne (DG XIII - Programme SPRINT), en collaboration avec des équipes d'experts communautaires, 1994 ; analyse des réseaux de coopération interrégionaux en matière de RDT et de formation, étude commanditée par la Commission Européenne (DG XII - FAST), 1994 ; appui scientifique et méthodologique à la mise en place d'une maîtrise européenne ESST « European Society, Science and Technology » au sein d'un consortium de 15 universités européennes, 1993-1994 ; réflexions préparatoires à la conférence consensus « Science, Technologie et cohésion de la Communauté », Monitor / FAST Programme, pour le compte de la Direction Générale de la Science, Recherche et Développement de la Communauté Européenne (DG XII), 1992 ; préparation scientifique et organisation de la Conférence-Consensus « FAST Science, Technologie et cohésion de la Communauté » à la demande de la Commission Européenne (DG XII - Programme MONITOR/FAST), 1992.

Dans le domaine du développement rural[modifier | modifier le code]

Évaluation des politiques de création d'emplois en zones rurales (rapport réalisé pour le compte de l'OCDE, 1993-1994) ; intervenant en tant qu’expert à la Jornadas de Reflexao : o Programa de Desenvolvimento Regional e o Mundo Rural organisé par le Ministère portugais du Plan et de l’Administration territoriale et le Ministère de l’agriculture (Lisbonne - 15-16 janvier 1993) : « les enjeux futurs du développement des PME dans les zones rurales » ; conférencier-invité par la DG VI - Agriculture - de la Commission des Communautés Européennes à la Conférence sur Rural Development, organisé par Highlands & Islands Enterprise, Inverness, 2-3 juillet 1992 ; professeur-invité au séminaire de printemps de l’École Nationale d'administration (ENA) sur les politiques d’Aménagement de l’espace rural, Paris, juin 1992 ; participation aux travaux de recherche réalisés dans le cadre du programme d’activités « Europe 2000 » portant sur les perspectives de développement du territoire communautaire) : étude sur l’évolution prospective des Régions Intérieures (et des espaces ruraux à faible densité de peuplement dans la Communauté) (recherche commanditée par la Direction Générale des Politiques Régionales de la communauté Européenne, 1993).

Dans le domaine de la culture et le développement territorial[modifier | modifier le code]

  • L’enjeu de la culture dans la future programmation des fonds structurels : Leçons du passé et perspectives à l’horizon 2007 – 2013 : Régions d’Europe, Culture et territoire, Publication Relais Culture Europe, octobre 2005 ;
  • Culture et future programmation des fonds structurels : Leçons du passé et perspectives : quelques réflexions prospectives - Intervention lors des travaux organisés par le Relais Culture Europe - Paris – mai 2005 ;
  • Le développement territorial comme outil de définition de stratégies culturelles : Séminaire organisé dans le cadre du programme européen LEADS - Liège - le 8 novembre 2006 ;
  • L’enjeu de la culture dans la programmation des fonds structurels (2007-2013) : quelle place pour la culture, dans le cadre des Rencontres territoriales de la culture, Nantes, 28 et 29 juin 2007 ;
  • L’enjeu de la culture dans la programmation des fonds structurels (2007-2013) : Méthodes communautaire et orientations stratégiques, travaux réalisés dans le cadre des travaux d’ARTECA (Centre de ressources de la culture en Lorraine et de la Région Lorraine, Nancy, 9 mai 2007) ;
  • L’enjeu de la culture dans la programmation des fonds structurels (2007-2013) : Méthodes communautaire et orientations stratégiques, travaux réalisés dans le cadre des travaux d’ARTECA (Centre de ressources de la culture en Lorraine et de la Région Champagne Ardennes, Reims, juin 2007) ;
  • Programme d’action transrégional « Culture et créativité dans la grande région » - Propositions d’action de coopération transrégionale dans le cadre du Programme « Grande région 2010 », janvier 2008 ;
  • Enjeux européens et numérisation du patrimoine culturel : Contributions à l’historicité du projet européen — travaux réalisés dans le cadre du Programme concerté de numérisation des fonds patrimoniaux en Lorraine, Pont-à-Mousson — juin 2008 ;
  • Transversalité de la culture et enjeux européens — travaux réalisé dans le cadre la Réunion des Points de contact culturels (PCC) des pays membres de l’Union européenne organisée par le Réseau européen des points de contacts culturels avec la participation de la DG Culture de l’Union européenne — juillet 2008 ;
  • Innovation et culture : Définition, évolution du concept d’innovation et implications dans le champ culturel et territorial — travaux de préparation du programme européen transfrontalier (projet de coopération INTERREG IV C Toolquiz) auquel participe plus de 20 régions de l’UE sous la coordination de la Direction régionale de la Culture de la Région Nord Pas de Calais — Lille, septembre 2008 ;
  • Culture - Europe - régions : Un partenariat incontournable du développement territorial européen, réalisé dans le cadre 16th General Assembly Conference of the network : Culture – Action - Europe, The European forum of the Arts and Heritage – on the thematic of “ European Cultural Action across Borders – Marseille - 23-25 octobre 2008.

Collaborations avec des associations européenne de la culture[modifier | modifier le code]

Expert auprès du Conseil de l'Europe et participation au travaux du projet du Conseil de la coopération culturelle centré sur la dynamique culturelle dans le développement régional - 1985-1986 ; expert auprès du Relais Culture Europe sur la problématique Culture, Europe et développement territorial depuis 2005 ; participation au Think Tank sur la culture et les enjeux européens organisé par le Relais Culture Europe avec la participation de la DG Culture de l’Union Européenne – Avignon juillet 2007 ; participation aux travaux sur la « Coopération culturelle et le Développement territorial dans l’espace méditerranéen », organisés par le Relais - Culture - Europe – Paris, 7 novembre 2007 ; participation aux travaux de la Réunion des Points de contact culturels des pays membres de l’Union européenne organisée par le Réseau européen des points de contacts culturels avec la participation de la DG Culture de l’Union européenne - Avignon – juillet 2008 ; participation at the 16th General Assembly Conference of the network : Culture – Action - Europe, The European forum of the Arts and Heritage – on the thematic of European Cultural Action across Border – Marseille - 23-25 octobre 2008.

Équipe du RIDER[modifier | modifier le code]

Ont collaboré en tant que chercheurs aux travaux du RIDER (par ordre alphabétique) : Stefan Bodson, Alain Dangoisse, Hélène Desterbecq-Fobelets, Vincent Lepage, Philippe Mouligneau, Claire Nauwelarts, Alasdair Reid, Charles Tollenare, Patrick Van Bunnen, Pascale Vandoren et Géraldine Faucheux.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages et collaboration d'ouvrage[modifier | modifier le code]

  • Michel Quévit, La Wallonie, l'indispensable autonomie, Paris, Éditions Entente, , 190 p. (ISBN 978-2-7266-0059-7)
  • Michel Quévit, Les causes du déclin wallon, Ed. EVO, Bruxelles, 1978 - (ISBN 2870031238).
  • Michel Quévit, Le pari de l'industrialisation rurale, Éditions Régionales Européenne (ERESA), Genève, 142p. (ISBN 2882170019) édité erroné.
  • Michel Quévit, Impact de 1992 : Les Régions de Tradition Industrielle, en collaboration avec Jean HOUARD, Stéphan BODSON et Alain DANGOISSE, Coll. Ouverture Economique, Ed. DE BOECK - Bruxelles, 650 p. (1991) (ISBN 2-8041-1466-X).
  • Michel Quévit, Regional Development trajectories and the attainment of the internal market, Ed. GREMI, Paris, (ISBN 2-906198-01-3).
  • Roberto Camagni et Michel Quévit, Politique d'innovation au niveau local, Ed. GREMI et Université de Padova - Italie (1992), Ed. du GREMI, Paris.
  • Michel Quévit, Réseaux d'innovation et milieux innovateurs : un pari pour le développement régional, Ed. IRER/EDES, Neuchâtel - 1993- édité avec D. Maillat et L. Seen. .EDES Neuchatel, (ISBN 2 8305 03090). 375p.
  • Michel Quévit et Peter Dicken, Transnational corporation and European Regional restructuring - Netherlandse Geographical Studies - Utrecht - 1994, ISNN 0169-4889,
  • Michel Quévit, Flandre - Wallonie Quelle solidarité ? : De la création de l’État belge à l’Europe des Régions, Charleroi, Belgique, Éditions Couleur livres, , 184 p. (ISBN 978-2-87003-536-8)

Articles dans ouvrages et revues[modifier | modifier le code]

  • La solidarité territoriale entre la Flandre et la Wallonie: les fondements économiques, politiques et culturels de la problématique, in Économies et Sociétés, Série "hors série", Thème "L'après-Belgique", no 44, 11/2011, p. 1927-1966, coordinateur du numéro: Jules Gazon, Cahier de Isméa, 2011.
  • Le Plan B, un projet par précaution, Éléments de réflexion, in Économies et Sociétés, Série "hors série", Thème "L'après- Belgique", op.cit, 2011.
  • Born Global : strumenti e misure per l'internazionalizzazione delle imprese innovative: EUROPEAN REGIONAL POLICIES TODAY? 2009, Provincia de Milano.
  • De economische neergang van Wallonië: oorzaken en remedies, Kultuurleven, 1979.
  • La Grande Région et la problématique des rapports "État-Nation" dans l'Union européenne, Revue internationale de politique comparée: Du local à l'international:nouveaux acteurs, nouvelle diplomatie, Vol.12, no 2, 2005.
  • De staatshervorming van 1980 en 1990 - La réforme de l'État de 1980 et de 1990: Une confederation belge : solution institutionnelle pour la Flandre, la Wallonie et Bruxelles, Rapport du Troisième Congrès du Politologish Instituut - Revue RES PUBLICA, Volume XXVI, no 3, 1984.
  • L'année economique en Wallonie 1978: des perspectives inquiétantes pour l'avenir de l'économie wallonne, Revue RES PUBLICA, Volume XXI, no 2, 1979.
  • Dynamique culturelle et développement régional: Rapport thématique dans le cadre du séminaire organisé en collaboration par le Conseil de l'Europe et la Communauté Wallonie-Bruxelles, décembre 1985.
  • Le financement de l'investissement productif régional, dans "O financiamento do desenvolvimento regional e local", OCDE et Ed.Comissao de coordenacao de Regiao Centro, Coimbra 1986, p. 221-230.
  • L'industrialisation rurale dans le cadre d'une économie ouverte, dans Industrializacao em meios rurais e competitividade internacional, Ed.Comissao de coordenacao de Regiao Centro, Coimbra, 1990.
  • Inversion productiva en las regiones de tradicion industrial: instrumentos comunitarios y financiacion de politicas industriales, EKONOMIAZ, Revista de economia vasca, no 7-8, 1987.
  • Crise économique et politiques régionales en Europe, Revue Architecture&Comportement, Geargi Publishing Company, St Saphorien, Suisse, p. 251-270, 1982.
  • Économie multinationale et contrôle gouvernemental: le cas de la Belgique, dans Les multinationales et l'État, sous la direction de Jorge Niosi, Numéro spécial, Études internationales, Centre québécois de relations internationales, Institut canadien des Affaires internationales, Université Laval, Québec, Canada, Volume XVI, no 2,p. 323-342, juin 1985.
  • Analyse sectorielle et croissance régionale : Étude comparative du développment des régions en Belgique, en Espagne et en Italie, en collaboration avec José Maria Mella Marquez, Revue Estudios de economia, Instituto superior de economia, p. 177-190, Vol. VII, no 2 Jan.-Mar., 1987.
  • Some institutional and financial dilemnas for endogeneous development strategies, in Bassand, M., Brugger, E.A et all., dans Self-Reliant Development in Europe: Theory, Problems-Actions, Berne, 1985.
  • Les relations financières entre l'État Central, les Régions et les Communes en Belgique : scenarios d'adaptation au système fédéral allemand et au système confédéral suisse, Revue Wallonie, no 1, 1985.
  • Stratégies d'innovation et référents territoriaux, en collaboration avec Pascale Vandoren, UCL., dans Revue d'économie industrielle, no 64, 2e trimestre 1993.
  • Innovative environments and local/international linkages in enterprise strategy : framework for analysis, dans "Innovation networks, spatial perspectives, GREMI, Belhaven Press London and New York Ed.London and New York, 1991.
  • Entreprises de haute technologie et milieu de tradition industrielle: la région de Liège, en collaboration avec Stephan Bodson, dans " Entreprises innovatrices et développement territorial", GREMI, Ed. EDES Neuchatel, 1992.
  • The problem of Innovative Milieux and Territorial Structural Adjustments Policies, en collaboration avec Pascale Van Doren, dans The Dynamics of Innovative Regions: the GREMI Approach, Ashgate ed. Aldersot-Brookfield USA-Singapore-Sydney, 1997.
  • Regional technology trajectories and European research and technology development policies, dans Technological Change in a spatial context : Theory, Empirical Evidence and Policy, Ed. E. Ciciotti, N. Alderman and A. Thwaites, Springer- Verlag Berlin Heidelberg New York Tokyo, 1990.
  • Stratégies de politique d'innovation dans une dynamique de développment local pour les régions périphériques de l'Union européenne, en collaboration avec Pascale Vandoren, in Politicas de innovaçao e desenvolvimento regional et local, Coordenaçiao: Joao Ferrao, Ediçoes do Instituto de ciencias sociais de Universidade de Lisboa, 1995.
  • European options for supporting technological innovation in the regions, dans Managing Science & Technology in the Regions: proceeding of the Fifth STRIDE Conference, European Commission - DirectoratGeneral for Science, Research and Delopment ( DGXII), November 1995.

Documents de travail[modifier | modifier le code]

  • Du Plan A au Plan B Belgique : Eléménts de réflexion et d'esquisse générale, novembre 2010.
  • Bruxelles : une région-métropole ou la composante d'une nouvelle région : le Brabant ? essai de clarification, janvier 2011.
  • Fédéralisme et confédéralisme : état des lieux en Belgique et perspectives dans la conjoncture politique actuelle, mai 2010.
  • Le Brabant, une Région à part entière dans l'État fédéral belge : une fausse bonne idée? janvier 2011.
  • Le management territorial : "démarche, contenu, fonctionnement et organisation" : propositions pour un cadre de référence d'action territoriale, juillet 2009.
  • Programme d'action transrégional "Grande Région 2010 +", rapport d'étude, janvier 2008.
  • Politique d'innovation et compétitivité territoriale en Région wallonne, rapport d'étude, août 2006.
  • Territoires innovants et compétitivité territoriale : de nouveaux enjeux pour le développmement territorial de la Wallonie,
  • Communication dans le cadre de la Chaire CPDT de la Région wallonne : "De la compétitivité à la compétence des territoires - comment promouvoir le développement économique ?, janvier 2007.
  • Options européennes pour le soutien au développmement de l'innovation des régions : de la nécessité d'une insertion des politiques d'innovation dans les tratégies régionales de développement, 2007.
  • Quelle politique de cohésion de l'Union européenne élargie après 2006 ?, août 2001.


  1. « Michel Quévit: "Les Wallons ont trop tendance à se sous-estimer" », RTBF Info,‎ (lire en ligne, consulté le )