Utilisateur:Fagmt/Alberto Trèves de Bonfili

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en-tête (cf. convention de plan)[modifier | modifier le code]

Ébauche | personnalité politique

hors conventions[modifier | modifier le code]

Traduit de l'italien :

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Introduction (cf. conventions de plan) / Carrière[modifier | modifier le code]

Alberto (Isaac) Trèves de Bonfili, né à Padoue le , décédé à Venise le , était un homme politique et banquier italien.

Il était Juriste, Diplomé en Droit de l'Université de Padoue en jurisprudence, Diplomate à Berne et Constantinople de 1878 à 1879, puis banquier, avant de poursuivre une carrière d'homme politique, prenant des charges administratives de Conseiller municipal de Venise et Conseiller provincial de Padoue, il devient Député de Vénétie dés 1890 durant trois législatures sous le règne de Humbert Ier (roi d'Italie) et Sénateur du royaume d'Italie dés 1904, nommé par Victor-Emmanuel III d'Italie. [1]

Il était propriétaire de l'importante Maison bancaire vénitienne Alberto Treves, successeur de la maison bancaire tout aussi importante, Giacomo Treves, son grand-père, qui avait un rôle important dans le développement industriel italien.

Rédaction de l'introduction[modifier | modifier le code]

Il est Diplômé en Droit de l'Université de Padoue en jurisprudence, à l'âge de vingt deux ans, il accède à un poste d'attaché de légation [2] le 16 février 1878, d'abord attaché de légation à Berne le 20 mars 1878, puis à Constantinople le 17 septembre 1878, jusqu'au 29 avril 1879 «date de mise en retraite» [3], sans doute pour obligations familiales, en effet il doit se préparer à succéder à son grand-père Giacomo Treves (décédé en 1885), propriétaire de l'importante Maison bancaire vénitienne du même nom, qui avait joué un rôle important dans le développement industriel italien, avant de poursuivre une carrière d'homme politique, assumant les charges administratives de Conseiller Municipal de Venise et de Conseiller Provincial de Padoue, il devient Député de Vénétie dés 1890, âgé de trente cinq ans, durant trois législatures sous le règne de Humbert Ier (roi d'Italie) et Sénateur du Royaume d'Italie dés 1904, âgé de quarante neuf ans, nommé par Victor-Emmanuel III d'Italie.

Infobox[modifier | modifier le code]

Infobox Politicien[modifier | modifier le code]

Infobox Politicien (Sénat du Royaume)[modifier | modifier le code]

Sénateur du Royaume
Alberto Trèves de Bonfili
Illustration.
Fonctions
Parlement du royaume d'Italie
Sénat du royaume d'Italie
Sénateur du royaume
nommé par le roi
nomination à vie

(17 ans, 2 mois et 7 jours)
Élection nommé par le roi
le 4 mars 1904
Président le roi Victor-Emmanuel III
(1869-1947)
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
(1900-1946)
Premier ministre présidents du conseil
des ministres
Giovanni Giolitti
...
Gouvernement gouvernements
Gouvernement Giolitti II
(1903-1905)
...
Législature législatures


XXIe - 18 octobre 1904
XXIIe - 8 février 1909
XXIIIe - 29 septembre 1913
XXIVe - 29 septembre 1919
XXVe - 7 avril 1921
XXVIe - 25 janvier 1924

Groupe politique Droit
Coalition -
Prédécesseur -
Successeur -
Biographie
Site web Archives du Sénat

Infobox Politicien (Chambre des députés)[modifier | modifier le code]

Député
Alberto Trèves de Bonfili
Illustration.
Fonctions


XVII, Venezia I, 23-11-1890, Destra
XVIII, Venezia II, 6-11-1892*, Destra,
Ballottaggio il 13 novembre 1892
XIX, Venezia II, 26-5-1895**, Destra,
Ballottaggio il 2 giugno 1895


Député de Vénétie Vénétie
7e circonscription
Parlement du Royaume d'Italie


Chambre des Députés
sous la présidence de
it:Giuseppe Biancheri
du 7 aprile 1884 au 27 settembre 1892
it:Giuseppe Zanardelli


du 23 novembre 1892 au 20 febbraio 1894
(?) –
(1 an, 10 mois et 4 jours)
Élection 23 novembre 1890 (?)
Président Humbert Ier (roi d'Italie)
(1844-1900)
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
(1878-1900)
Gouvernement gouvernements


Gouvernement Crispi II
Gouvernement di Rudinì I

Législature XVII, Venezia I, 23-11-1890, Destra


La XVIIe législature du royaume d'Italie (en italien : La XVII Legislatura del Regno d'Italia) est la législature du Royaume d'Italie qui a été ouverte le 10 décembre 1890 et qui s'est fermée le 27 septembre 1892.
La XVII legislatura del Regno d'Italia ebbe inizio il 10 dicembre 1890 e si concluse il 27 settembre 1892.
entre le 9 mars 1889 et le 6 février 1891, durant la XVIIe législature.
entre le 6 février 1891 et le 15 mai 1892, durant la XVIIe législature.
entre le 15 mai 1892 et le 15 décembre 1893, durant la XVIIe législature.

Groupe politique Droit
Coalition -
Prédécesseur -
Successeur -

Député de Vénétie Vénétie
7e circonscription


chambre des députés
sous la présidence de
it:Giuseppe Zanardelli
du 23 novembre 1892 au 20 febbraio 1894
it:Giuseppe Biancheri


du 22 febbraio 1894 au 13 gennaio 1895

(2 ans, 6 mois et 2 jours)
Élection 6 novembre 1892
Président Humbert Ier (roi d'Italie)
(1844-1900)
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
(1878-1900)
Gouvernement gouvernements


Gouvernement Giolitti I
Gouvernement Crispi III

Législature XVIIIe législature du royaume d'Italie

XVIII, Venezia II, 6-11-1892*, Destra, Ballottaggio il 13 novembre 1892
La XVIIIe législature du royaume d'Italie (en italien : La XVIII Legislatura del Regno d'Italia) est la législature du Royaume d'Italie qui a été ouverte le 23 novembre 1892 et qui s'est fermée le 8 mai 1895.
La XVIII legislatura del Regno d'Italia ebbe inizio il 23 novembre 1892 e si concluse l'8 maggio 1895.
entre le 15 décembre 1893 et le 10 mars 1896, durant la XVIIIe législature. ???

Groupe politique Droit
Coalition -
Prédécesseur -
Successeur -

Député de Vénétie Vénétie
7e circonscription


chambre des députés
sous la présidence de
it:Giuseppe Biancheri
du 22 febbraio 1894 au 13 gennaio 1895
it:Tommaso Villa


du 10 giugno 1895 au 2 marzo 1897

(1 an, 9 mois et 4 jours)
Élection 26 mai 1895
Président Humbert Ier (roi d'Italie)
(1844-1900)
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
(1878-1900)
Gouvernement gouvernements


Gouvernement Crispi III
Gouvernement di Rudinì II
Gouvernement di Rudinì III

Législature XIXe législature du royaume d'Italie


XIX, Venezia II, 26-5-1895**, Destra, Ballottaggio il 2 giugno 1895
La XIXe législature du royaume d'Italie (en italien : La XIX Legislatura del Regno d'Italia) est la législature du Royaume d'Italie qui a été ouverte le 10 juin 1895 et qui s'est fermée le 2 mars 1897.
La XIX legislatura del Regno d'Italia ebbe inizio il 10 giugno 1895 e si concluse il 2 marzo 1897.
entre le 10 mars 1896 et le 11 juillet 1896, durant la XIXe législature.
entre le 11 juillet 1896 et le 14 décembre 1897, durant la XIXe législature.

Groupe politique Droit
Coalition -
Prédécesseur -
Successeur -
Biographie
Site web Archives du Sénat

Infobox Politicien (état civil)[modifier | modifier le code]

Alberto Trèves de Bonfili
Illustration.
Biographie
Lieu de naissance Padoue
Lieu de décès Venise
Père Giuseppe Trèves de Bonfili
Mère Bella Adelle Todros
Fratrie Jacques Trèves de Bonfili
Conjoint Ortensia Vicentini
Diplômé de Droit en jurisprudence
Université de Padoue
Profession Juriste, Diplomate, Banquier
Religion hébraïque
Résidence Vénétie Vénétie
Site web Archives du Sénat

Infobox Rôle monarchique (personne)[modifier | modifier le code]

Baron
Alberto Treves de Bonfili
Description de l'image Great coat of arms of the king of italy (1890-1946).svg.

Titres



Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1878 - 1900
Baron du Royaume
en 1894 par décret du Roi
Humbert Ier (roi d'Italie)
1844 - 1900
Maison de Savoie

Prédécesseur Giuseppe Treves de Bonfili
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1878 - 1900
Successeur Emanuele Treves de Bonfili
Biographie
Dynastie

Vénétie Vénétie


Drapeau de l'Empire français Empire français
Noblesse du Royaume d'Italie (1805-1814)
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie


Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
Royaume Lombardo-Vénitien
Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie
1815 - 1866


Flag of the Republic of Venice 1848–49 République de Saint-Marc

1848 - 1849

Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie


Distinctions Commandeur de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare
Autres fonctions Juriste, Diplomate, Banquier, Conseiller Municipal, Député, Sénateur
Nom de naissance Treves de Bonfili
Surnom
Naissance


Padoue
Vénétie Vénétie
Royaume Lombardo-Vénitien
Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie
1815 - 1866
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche


Décès

(à 65 ans)
Venise
Vénétie Vénétie
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1900 - 1946


Père

Giuseppe Treves de Bonfili
1818 - 1893
Vénétie Vénétie
Royaume Lombardo-Vénitien
Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie
1815 - 1866
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche


Mère

Bella Adele Todros
1824 - 1898
Turin, Province de Turin
Drapeau du Piémont Piémont
Piémont-Sardaigne
Royaume de Sardaigne Royaume de Sardaigne
1720 - 1861
Maison de Savoie


Conjoint Ortensia Vicentini
Enfants

Giuseppe
Giacomo
Emanuele
Elsa
Lidia


Résidence


Padoue
Venise
Vénétie Vénétie


Religion hébraïque

Infobox Rôle monarchique (famille)[modifier | modifier le code]

Famille Treves
Description de cette image, également commentée ci-après
la colombe et le rameau d'olivier


en filigrane des siècles
jalons
-
---
-
ANTE ROMAM TREVIRIS STETIT ANNIS MILLE TRECENTIS.
PERSTET ET ÆTERNA PACE FRVATVR. AMEN.
Treviris érigée Trois Mille Ans Avant Rome.
Quelle puisse continuer d'exister et de jouir de la paix éternelle.
-
Treviris capitale du peuple celte des Trevires
-
---
-
la fondation de Rome par Romulus et Rémus en l'an 753 av. J.-C.
She-wolf suckles Romulus and Remus
Royauté romaine
753 av. J.-C. – 509 av. J.-C.
-
 République romaine
509 av. J.-C. – 27 av. J.-C.
en province de Gaulle Belgique, Gallia Belgica, Gallica, 50 av. J.-C.
les Trévires sont mentionnés à de nombreuses reprises dans les Commentaires sur la Guerre des Gaules de Jules César.
Treviris est le point de contact entre les civilisations celtique, germanique et romaine [4]
nommée Augusta Treverorum vers 16 av. J.-C. par et en l'honneur de l'Imperator Iulius Caesar Filius Augustus Gaius Octavius
-
Drapeau de l'Empire romain Empire romain
[ -27 – 395 / 476 / 1453 ]
-
Vexilloid of the Roman Empire Empire romain d'Occident
[ 286 / 395 - 476 ]
Treves, Milan, Rome
-
le 11 mai 330,
Constantin Ier choisit Byzance, ancienne cité grecque, capitale de la Thrace, [5]
renommée Constantinople, nouvelle capitale de l'empire romain,
au détriment de Treves (Augusta Trevirorum)
-
Flag of PalaeologusEmperor Empire byzantin
[ 330 / 610 – 1204 ] [ 1261 – 1453 ]
-
Ostrogothic Kingdom.png Royaume ostrogoth
[ 493 - 553 ]
-
Flag of PalaeologusEmperor Empire romain d'Orient
-
Modèle:Regno longobardo (it)
Modèle:Regnum Langobardorum
Regno longobardo - Stemma Royaume lombard (Regnum Langobardorum)
[ 568 - 774 ]
-
Charlemagne autograph Empire carolingien
[ 751 - 843 / 987 ]
-
---
-
Coat of Arms of the Republic of Venice Drapeau de la République de Venise République de Venise
[ 697 - mai 1797 ]
-
---
-
au XIVe siècle résidents
en Marche Trévisane
Province de Trévise
dés le XVIe siècle
à Venise
en Vénétie Vénétie
Armateurs à Venise
battant Pavillon Marciana
Marciana en Toscane Toscane
-
---
-
de 1797 à 1805
Drapeau de l'Empire français Empire français vs Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
-
Flag of France Coccarda Coppa Italia République bresciane
Modèle:République bresciane
mars 1797 - oct 1797
-
Province vénitienne d'Autriche
Modèle:Province vénitienne d'Autriche
oct 1797 - déc 1805
-
Drapeau de la République transpadane République transpadane nov 1796 - juin 1797
(Drapeau de la République cispadane République cispadane) déc 1796 - juin 1797
-
Drapeau de la Répbulique cisalpine République cisalpine
1797 - 1802
juin 1797 - avril 1799
occupée par l'Autriche
restaurée par la France
juin 1800 - fév 1802
-
Drapeau de la République italienne République italienne
jan 1802 - 1805
---
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1805-1814
---
Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche
Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie
1814-1866
-
Flag of the Republic of Venice 1848–49 République de Saint-Marc
1848-1849
-
---
-
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1861-1946
-
---


-

Titres


Premier Empire
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
Baron du Royaume
Giuseppe Treves
-
né en 1759
(sans doute à Padoue)
sous la Drapeau de la République de Venise République de Venise
décédé le 19 novembre 1825
(Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie)
-
époux de Benetta Bonfili
née en 1766, décédée en 1800 à l’âge de 34 ans
-
Baron du Royaume par décret du Roi d'Italie le 17 septembre 1811
Napoléon Ier
Roi d'Italie

Prédécesseur -
Successeur -


Drapeau de l'Autriche Empire d'Autriche

Drapeau du Royaume de Lombardie-Vénétie Royaume de Lombardie-Vénétie
prédicat de Bonfili
Noble Chevalier d'Empire
Ordre impérial de Léopold
«noble Chevalier Impérial accordé par le gouvernement autrichien»
Giacomo Treves
né le 29 juillet 1788 (mardi) et décédé le 7 août 1885 (vendredi) à Venise, à l’âge de 97 ans
Vénétie Vénétie
époux de Enrichetta Treves
née le 1er septembre 1790 (mercredi), décédée le 6 février 1858 (samedi) à l’âge de 67 ans
par décret de début de règne de François Ier
François Ier d'Autriche
Marie-Louise de Habsbourg-Lorraine-Este
Caroline-Auguste de Bavière
Roi et Reine de Lombardie-Vénétie (Lombardo-Veneto)
7 avril 1815 – 2 mars 1835


(~ 70 ans)

Prédécesseur (Giuseppe Treves - Benetta Bonfili)
Successeur (Giuseppe Treves de Bonfili - Adele Todros)


Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
Maison de Savoie
(1861-1878)
Baron du Royaume
(Chevalier de l'Ordre des Saints Maurice-et-Lazare)
Giuseppe Treves de Bonfili
Vénétie Vénétie
époux de Bella Adele Todros
Turin, Province de Turin
Drapeau du Piémont Piémont
Maison de Savoie
Piémont-Sardaigne Royaume de Sardaigne Royaume de Sardaigne
(1720-1861)
par décret du Roi d'Italie en 1866
Victor-Emmanuel II
Maison de Savoie
Roi d'Italie
17 mars 1861 – 9 janvier 1878

Prédécesseur (Giuseppe Treves & Benetta Bonfili)
Successeur Alberto Trèves de Bonfili & Ortensia Vicentini
Vénétie Vénétie
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
Maison de Savoie


Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
Maison de Savoie
(1878-1900)
Baron du Royaume
(Commandeur de l'Ordre des Saints Maurice-et-Lazare)
Alberto Treves de Bonfili
Vénétie Vénétie
époux de Ortensia Vicentini
par décret du Roi d'Italie en 1894
Humbert Ier (roi d'Italie)
Maison de Savoie
Roi d'Italie
9 janvier 1878 – 29 juillet 1900

Prédécesseur Giuseppe Trèves de Bonfili - Adele Todros 1866
Vénétie Vénétie
Drapeau du Royaume d'Italie Royaume d'Italie
1861-1900
Successeur Emanuele Trèves de Bonfili
Vénétie Vénétie
Biographie
Résidence

-
au XIVe et XVe siècle résidents
en Marche Trévisane
Province de Trévise
dés le XVIe siècle résidents
à Venise
Armateurs à Venise (XVIIe)
en Vénétie Vénétie
battant Pavillon Marciana
Marciana en Toscane Toscane
au XVIIIe et XIXe siècle résidents
à Padoue et Venise


en Vénétie Vénétie
Religion hébraïque

Biographie[modifier | modifier le code]

Alliance des familles Treves Bonfili et Todros[modifier | modifier le code]

Alberto est le deuxième fils d'une famille de religion Hébraïque de dix enfants, l'aîné étant Jacques, le cadet Baldo étant décédé à l'âge de trois mois, fils du Baron vénitien Giuseppe Treves de Bonfili et de la turinoise Bella Adele Todros (mariés en 1844)[a 1] elle-même fille du baron Leone Todros, dont le titre fut concédé par le roi de Sardaigne. Comme le rappelle le dictionnaire encyclopédique de Giovanni Treccani[a 2], c'était un agronome, banquier et philanthrope.[a 3] [a 4]

  1. notes à propos du Mariage Treves de Bonfili - Todros en 1844 :
  2. notes à propos du dictionnaire Treccani, Giovanni (1877-1961) :
    (it) Istituto della enciclopedia italiana, Enciclopedia italiana di scienze, lettere ed arti [Texte imprimé] / Istituto della Enciclopedia italiana, Roma : Istituto della Enciclopedia italiana, 1929 - ., (BNF 34307954)
    • sur le site VIAF : Dizionario enciclopedico italiano RERO (Suisse)
    http://viaf.org/viaf/sourceID/RERO%7Cvtls000163566
  3. notes à propos du terme Agronome :
    «Le mot vient du grec agrònomo ἀγρός (agròs, champ, campagne) et νόμος (nòmos, Loi, règle).»
  4. notes à propos de Bonfili dans l'enciclopedia Treccani
    http://www.treccani.it/enciclopedia/ricerca/bonfili/
    • 1/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/l-ottocento-e-il-novecento-1-venezia-citta-italiana-istituzioni-associazioni-e-classi-dirigenti-dall-unita-alla-grande-gu_(Storia-di-Venezia)/ Alberto Treves de Bonfili
    • 2/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/l-ottocento-e-il-novecento-2-la-societa-veneziana-gli-uomini-capitali-il_(Storia-di-Venezia)/
    1/3) Alberto e Mario Treves de Bonfili
    «Tempi diversi nell'avvio della costruzione delle proprie fortune, ma confluenze comuni, che portarono nell'immediato primo dopoguerra a individuare in modo unanime un nucleo finanziario, industriale, imprenditoriale che venne denominato appunto il "gruppo veneziano". È indubbio che tale gruppo non si esauriva nelle figure di Volpi e Cini, che senz'altro ne costituirono il midollo generatore e la linfa vitale. Basti pensare per esempio ad una figura come Achille Gaggia, entrato nell'entourage di Volpi nel 1905(20), ritenuto comunemente persona di "fedele servizio", "autentico braccio destro", verace "alter ego", considerato cioè sempre ligio esecutore delle direttive impostegli dal "capo" come non avrebbe mancato di notare Toeplitz(21); oppure a tecnici e amministratori di alta qualità e competenza come Antonio Pitter, Vincenzo Ferniani, Carlo Semenza, Ottaviano Ghetti, Giorgio Dal Piaz, Guido e Antonio Rossi, Paolo Milani, Francesco Villabruna, Mario Mainardis, Alessandro Croce, Nicolò Spada, Mario Alverà, Giovanni Venuti, Angelo Sperti, Aurelio Fracca, Silvio Pellas, Alberto Cottica, Vittore Antonello; ma soprattutto a diversi esponenti che assicuravano coperture molteplici e multiformi in vari ambiti economici e finanziari, come Antonio Revedin, Nicolò Papadopoli Aldobrandini, Alberto e Mario Treves de' Bonfili, Piero Foscari, Giancarlo Stucky, Amedeo ed Edoardo Corinaldi, Nicola e Tito Braida, Carlo ed Enrico Ratti, Gino Toso, Giuseppe Da Zara, Luigi Ceresa, Mario Nani Mocenigo, Giulio Coen. Si costituirono quindi un intreccio e una saldatura tra nuovi ceti finanziari, industriali, imprenditoriali emergenti e vecchie categorie di aristocrazia, proprietà fondiaria, settori mercantili(22).»
    «Des moments différents pour le lancement de la construction de leur fortune, mais la commune, qui a conduit le confluences dans la guerre mondiale immédiate, je m'identifie à l'unanimité un cœur de métier, industriel et financier qui a été appelé le "groupe de Venise". Il n'y a aucun doute que ce groupe s'épuise pas dans des formes de renards et Cini, qui constituerait certainement le générateur du cœur et l'âme. Il suffit de penser, par exemple, un personnage comme Achille Gaggia, entré dans l'entourage de renards en 1905 (20), généralement considéré comme la personne du « service fidèle », « authentique », vrai homme « alter ego », c'est-à-dire interprète toujours discipliné exercée directives de « Chef » telle qu'elle n'aurait pas manqué de remarquer Toeplitz (21) ; ou des directeurs techniques de haute qualité et de compétence comme Antonio Pitter, Vincenzo Ferniani, Carlo Semenza, ghettos Octavian, Giorgio Dal Piaz, Guido et Antonio Rossi, Paolo Milani, Francesco Villabruna, Mario Mainardi, Alessandro Nicolò Cross épée, Mario Alverà, John Venuti, Angelo Sperti, Aurelio Fernandes, Silvio Pellas et Alberto Cottica, Victor Antonello ; mais surtout aux différents exposants qui couvre de multiples et multiformes assurée dans divers domaines économiques et financiers, tels que Antonio Revedin, Nicolò Papadopoli Aldobrandini, Alberto e Mario Treves de Bonfili, Piero Foscari, Giancarlo Stucky, Abdallah et Edward Corinaldi, Nicholas et Tito Braida, Carlo et Enrico Ratti, Gino Toso, Giuseppe de Zara, Louis Ceresa, Mario Nani Mocenigo, John Coen. Vous étiez alors un complot et une soudure entre les nouveaux groupes industriels financiers, des entreprises émergentes et catégories plus âgés de l'aristocratie, la propriété foncière, les secteurs commerciaux (22).»
    2/3)
    cit. «Una funzione trainante in questa linea era stata assunta per un verso dalla Banca veneta di depositi e conti correnti - sorta a Padova nel 1871, ma ben presto trasferitasi a Venezia dopo l'incorporamento della banca Stabilimento mercantile con principali esponenti i Treves de' Bonfili -, che aveva saputo cementare un coacervo di affari all'apparenza contraddittori con il predominio di una tendenza di investimenti facente riferimento alla forte comunità ebraica veneta, tanto da venire definita giustamente il "'Gotha' della nobiltà e degli israeliti veneziani"(27); e per l'altro dalla Società veneta per imprese e costruzioni pubbliche, fondata a Padova nel 1872 e trasformatasi in Società veneta per costruzione ed esercizio di ferrovie secondarie (Veneta) nel 1899, braccio forte della realizzazione di alcuni principali tronchi ferroviari italiani, della edificazione di opere pubbliche, edilizie, infrastrutturali a Roma, Napoli, Cadice, e ancor più, attraverso Breda, della nascita della Società degli altiforni, acciaierie e fonderie di Terni(28). Da notare che la Veneta si inserì nella cantieristica veneziana con un proprio stabilimento sin dal 1881(29).»
    Trd. «Une fonction de premier plan dans cette ligne avait été prise à un verset de la Banque de Venise de dépôts et comptes courants - sort à Padoue en 1871, mais bientôt s'installe à Venise après incorporation établissement mercantile Bank avec les principaux représentants de Treves de' Bonfili -,qui avait été capable de cimenter une accumulation d'apparemment contradictoires s'occupe avec la prédominance des tendances de l'investissement en référence à la forte communauté juive vénitienne , afin d'être à juste titre défini "" Gotha "de la noblesse vénitienne et des Israélites" (27) ; et l'autre de la société vénitienne pour les entreprises et les bâtiments publics, fondée à Padoue en 1872 et transformée en société vénitienne pour la construction et le fonctionnement des chemins de fer secondaires (Veneta) en 1899, le bras fort de la réalisation de quelques troncs principaux chemins de fer italiens, la construction de travaux publics, construction d'infrastructures à Rome, Naples, Cadix et même plus, par le biais de Breda, la naissance de la société des hauts fourneaux , aciéries et fonderies de Terni (28) en acier. Il est à noter que la Veneta, se jeta dans la construction navale vénitienne avec son usine depuis 1881 (29).»
    3/3)
    «L'operazione in cui più di ogni altra emerse la rendita politica e finanziaria ormai conquistata fu senz'altro quella che vide protagonisti, oltre a Volpi e alla società appositamente costituita per l'occasione - la Società Porto industriale di Venezia, in cui si ritrovavano i consueti nomi (Volpi, Papadopoli Aldobrandini, Treves de' Bonfili, Revedin, Stucky, Ratti, Toso) e le solite società (S.A.D.E., Cellina, Veneta) -, lo Stato, nella persona del presidente del Consiglio Paolo Boselli e del ministro dei Lavori pubblici, Ivanoe Bonomi, e il Comune di Venezia nella figura del sindaco Francesco Grimani: si tratta della convenzione stipulata il 23 luglio 1917 - il "capolavoro di Volpi", come è stata definita(73) -, ratificata a spron battuto dopo soli tre giorni con d.l. 26 luglio, pubblicato nella "Gazzetta Ufficiale" di lì a poco il 2 agosto, con cui si diede avvio all'impresa della "zona industriale" di Marghera. "Lo Stato concede […] alla Società Anonima […] [si diceva nella convenzione] denominata 'Porto industriale di Venezia', la costruzione delle opere del nuovo porto di Venezia, in regione di Marghera" e "cederà alla 'Società Porto industriale di Venezia' a semplice rimborso di spesa, le aree comprese nei confini della detta zona, da esso già espropriati per i lavori […], e quelle che si dovranno ulteriormente espropriare per la esecuzione ed a carico delle opere portuali concesse"(74).»
    «L'opération dans laquelle, plus que tout autre a émergé le revenu politique et financier maintenant conquis s'est certainement celui qui a vu les protagonistes, mais aussi de renards et de la société spécialement constituée pour l'occasion-la société industrielle port de Venise, où l'on rencontre les noms usuels (renards, Papadopoli Aldobrandini, Treves de Bonfili, Revedin, Stucky, rats, Tan) et la compagnie habituelle (S.A.D.E. Cellina, Veneta)-, l'État, en la personne du Président du Conseil et Paolo Boselli, du ministre des travaux publics, Ivanoe Bonomi et la municipalité de Venise, en la personne du maire Francesco Grimani : il s'agit de l'accord sur les 23 juillet 1917 - le « chef-d'œuvre de renards", comme il a été défini (73)-, ratifiées à galoper après seulement trois jours avec d.l. 26 juillet publié dans le « Journal officiel » peu de temps après le 2 août, ce qui a donné le lancement de l'entreprise de la zone « industrielle » de Marghera. « Les subventions de l'État [...] la société anonyme [...] [ladite Convention] appelé « industrial port de Venise », la construction de la nouvelle région du port de Marghera Venise « et » le transfert vers port industriel de Venise son ' un simple remboursement des dépenses, y compris dans le périmètre de cette zone, puisqu'il a déjà dépossédé pour emplois [...] et ceux qui auront à autre expropriation pour l'exécution et les travaux du port a donné "(74).»
    • 3/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/l-ottocento-e-il-novecento-1-venezia-citta-suddita-1797-1866-il-1848-e-dopo_(Storia-di-Venezia)/
    1/5)
    ... Jacopo Treves de Bonfili (congrés de 1840) ...
    2/5)
    «De 1841 à 1845, Mocenigo fut, le principal point de référence, le composant, vénitien, du parti de Treviglio, déploiement, « national », soutenu par Manin. À la fin de 1841, le comte a pu obtenir, la municipalité de Venise, d'approuver l'achat d'actions, Ferdinandea, promu l'occasion de « entreprise nationale »: même si la résolution n'avait aucune conséquence pratique (le gouvernement a annulé parce qu'il avait été approuvé par les conseillers qui étaient également actionnaires de Ferdinandea), il est évident la signification symbolique de la mesure. Lors du Congrès de la société de 1842 le « parti de Treviglio » a signalé une nette victoire grâce à l'absence de gros capitalistes étrangers. La nouvelle direction de la section vénitienne, toujours dominante durant toutes ces années contre le Lombard, a été confiée à un accord sans précédent entre les élites « représentant » et deux composants étrangers, en fait ou en droit, à l'espace de représentation.Ont été élus en haut de la section deux comptes ancien patrizi, Mocenigo et Pietro Francesco Giovanelli (en 1847 est promu par l'empereur au rang de Prince, un titre qui a reconnu la position de leader de la maison au sein de la noblesse vénitienne), deux « traders » Israélites, y compris les trêves et Lodovico Pasini, un frère de Valentino, qui était le fils d'un industriel mais c'était aussi un géologue et le Secrétaire de l'Istituto Veneto, puis le premier homme « de la science"cooptés par les"performants".»
    3/5)
    «IX Congrès de scientifiques, consacré Manin, aux yeux de la police autrichienne, qui lui a gardé un œil et qui ont poussé le gouverneur de Vénétie Aloys Pálffy von Erdöd d'intervenir pour éviter qu'un avocat, faire un discours, à l'occasion d'un banquet en l'honneur de Cobden, ce qui est dangereux, "champion des intérêts nationaux italiens" (87). Et, en fait, "attentif à ne pas laisser échapper une occasion, l'orateur populaire de Venise demandait la parole sur toutes les questions de bienfaisance, de douanes, de commerce ou d'économie, afin d'enflammer la discussion". Derrière, Manin, second, « The Forge », "le comte de Thun, gentilhomme du Tyrol italien et le comte Mocenigo formaient le principal corps de bataille" (88). Ce qui est certain, c'est qu'en agronomie, le seul sujet qui permettrait un débat sur les questions économiques, Manin s'est retrouvé en compagnie de Treves, Papadopoli, « Reali » et Valentino Pasini (89). Entre autres choses, l'avocat a proposé "la création à Venise Association de parrainage de l'agriculture et l'industrie manufacturière esperluette « et a insisté » sur l'importance de traduire en un point commun l'action des associations agricoles "(90). L'objectif de « la prospérité matérielle de ce pays », la bannière sous laquelle, Manin, serait réduit ses interventions publiques de 1840 (91), a entraîné la création et la consolidation d'un réseau associatif une valeur économique et sociale parallèle à qui issus des institutions officielles et, contrairement à ce dernier, capable de converger vers un front commun des élites de la société vénitienne.»
    4/5)
    «En outre, lorsque, le 27 janvier, Teresa Manin, a été présenté au directeur général de police, la demande d'accorder la liberté provisoire à son mari, elle pourrait l'accompagner avec un certificat, signé, "nonentaine" de personnages éminents, qui a veillé à ce que l'avocat "au lieu de cela il est libre, vous ne serez pas loin de Venise, ou à garder caché, jusqu'à ce que des enquêtes de position ultime contre lui ". Parmi les signataires ont été, au premier plan, les membres de la salle de la Congrégation, à pleine puissance, suivies d'une douzaine de patriciens anciens de rang (à partir de Mocenigo à Pietro Francesco Giovanelli, par les frères Martinengo Vincenzo Girolamo Gradenigo, par Nicholas Bentivoglio à Sagredo, par Morosini à Minotto), d'un groupe d'avocats et de notaires (pour une couple d'années avait organisés en une société de secours mutuel), des représentants qualifiés des conseillers «concessionnaires» (entre autres : real, Zucchelli, Spiridon Papadopoli, Antonio Missiaglia, Antonio Luigi Ivancich) et d'un groupe d'Israélites (parmi eux : Treves, Abram Errera, Samuele Della Vida) (117): en résumé, peut-être pas "tous les hommes les plus estimés de la ville", comme il le prétendait The Forge, qui serait en tout cas fait remarquer, le refus du patriarche, Jacopo Monico, de donner son nom, mais certainement l'élite «constitutionnel» et aux activités sociales, de Venise (119).»
    5/5)
    «Mais l'illusion que la paix serait retourné à la prospérité que la ville avait joui avant la révolution serait bientôt disparu, et c'est pourquoi il serait être naufragé, au-delà de quelques réalisations, quotas de même tenter de raccommoder des relations entre Vienne et les classes dirigeantes locales. Quand, en septembre, une délégation comprenant le patriarche vénitien, le podestat, les deux anciens patriciens Andrea Garcia et Priuli et pour le commerce Treves et Edward Becker, se rendirent à Vienne pour demander qu'ils conservent le port-franc (378), l'empereur les a invités à unir tous leurs « efforts » pour elle, "afin de faire revivre votre ancienne prospérité, ensemble la plupart de la "colla più specchiata" votre fidélité ". Le budget décevant de ces « efforts » l'a appelé en juillet 1850 Priuli dans une lettre à François Joseph, qui lui rappelait la précédente déclaration d'intention : Venise est dévastée dans un "état déplorable de la dejezione et avilissant dépouillé de son libre-échange [le portofranco se limitait à l'île de s. Giorgio], privés des principaux centraux transloqués à Vérone [la nouvelle capitale du Royaume lombard-vénitien] et à Trieste [depuis mars 1848 siège marine], abandonnée dans son arsenal, décharnée de passés et présents des hommages exorbitants, abandonnés par les commerçants Dennis, désertées par des milliers d'habitants, vedovata de nombreux chefs de ménages touchés par hors la loi "; la ville a été le "pauvre Eve, mais à coup sûr, la prochaine sa destruction".»
    • 4/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/l-ottocento-e-il-novecento-2-la-societa-veneziana-la-classe-politica-nazionalfascista_(Storia-di-Venezia)/
    Trd. 1) «Pendant la guerre l'entrepreneur âgé de quarante ans et financier vénitien avaient déjà consolidé sa présence dans des domaines clés de la ville et l'économie régionale. Son nom est apparu sur les conseils d'administration de steam navigation company, société vénitienne pour la construction et l'exploitation des chemins de fer secondaires, dans les ateliers de la bataille, dans l'usine de papier de réelles de Trévise, dans Società di navigazione libera triestina, dans Assicurazioni Generali, dans la société de remise en état de la station d'accueil II s. Michele al Tagliamento en outre ceux déjà cités. Les propriétaires de ces entreprises ont été Alberto Treves de Bonfili, Nicolò Papadopoli Aldobrandini, Marco Besso, Giulio Coen, Luigi Antonio Ceresa, Revedin, Giancarlo Stucky, Piero Foscari, Gino Tan et coll. (53). L'épine dorsale de la nouvelle entreprise apparaît donc bien implanté dans le corps de l'économie vénitienne ; Aucune des grandes familles des entrepreneurs vénitiennes n'avait pas d'appel. Tout ce que nous estimons rend plus claire la signification de « Résurrection » Fradeletto politique. C'est à ce grand projet politico-économique, a servi de garantir une couverture pour la partie du citoyen du monde politique qui, jusque-là, avait reconnu dans la tradition libérale moderato. Fradeletto était le seul en mesure de tirer le Venise vers le nouveau. Dans l'un de ses premiers discours parlementaires après la fin de la guerre, 25 novembre 1918, il a demandé de Venise comme "coordination technique et économique entre les différents ports de l'Adriatique" (54).»
    Trd. 2) «La guerre contre le fief « rouge » et ses coopératives ont contribué à aggraver les divisions existantes dans les organisations les dockers (265) et la chambre du travail, où, après la scission de la communiste janvier 1921, les tensions ont augmenté avec les socialistes. Les divisions au sein du parti socialiste entre les réformateurs et maximalistes--qui a culminé après le Congrès de Rome, du 1er octobre 1922 dans la naissance de l'Uni de parti socialiste de Turati, Matteotti, Treves-a donné un coup décisif à précariser la situation interne des syndicats. Les étapes de la défaite sont résumées comme suit : le 4 octobre ont été enchâssés dans la dissolution et la liquidation de la coopérative maison du peuple, le 31 octobre les fascistes occupent la Camera del lavoro, ce même jour a été publié le dernier numéro du « Nouveau siècle » ; a l'entrée plus importantes del movimento operaio veneziano (266).»
    • 5/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/marche_(Enciclopedia-dell'-Arte-Medievale)/ A. Bonfili
    «A. Bonfili, Il comune di Camerino: costituzione e vicende fino al 1240, ivi, pp. 57-72;»
    • 6/6)
    http://www.treccani.it/enciclopedia/umbria_(Enciclopedia-Italiana)/ Benedetto Bonfili

Référence Dictionnaire[modifier | modifier le code]

it:Dizionario [6]

Références Todros[modifier | modifier le code]

Auteur Todros[modifier | modifier le code]

Ouvrages Todros [7]

  • Nella occasione delle faustissime nozze di Elia Todros di Torino con Amalia Treves, nob. de Bonfili di Venezia, e di Giuseppe cav. Treves, nob. de Bonfili di Venezia con Adele Todros di Torino. [8]
  • Per le duplici auspicatissime nozze Treves dei Bonfil - Todros [9]
Auteur Léon Todros[modifier | modifier le code]

Ouvrages de Léon Todros [10]

  • Cercles financiers ; projet d'une institution générale de crédit en France, par Léon Todros [11]

Références Dictionnaire encyclopédique de Treccani[modifier | modifier le code]

Dictionnaire encyclopédique de Treccani [12]

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Député siégeant à la Chambre des députés du Parlement du Royaume d'Italie, sous le règne de Humbert Ier, durant les 17e, 18e et 19e législatures, en tant que rapporteur (questeur, secrétaire) auprès de Antonio di Prampero, Treves fut nommé par la suite sénateur du Royaume au Parlement du Royaume d'Italie par le roi Victor Emmanuel III le 4 mars 1904, la nomination a été confirmée le 23 mars et la prestation de serment s'est déroulée le 10 mai. [13]

La Vénétie, conservatrice et catholique, a confié ses propres instances de renouvellement à deux membres de tradition hébraïque, Alberto Treves et it:Leone Wollemborg [14]. Treves, connu aussi pour ses activités de bienfaisance, avait également des liens d'amitié avec les patriarches de Venise, l'un d'eux se vit offrir un voyage pour le Conclave de 1903 payé par le sénateur et devint Pape, le pape Pius X soit Pie X et plus tard saint Pie X, le Cardinal Sarto.

En 1915, le sénateur a été parmi les 300 députés qui ont laissé à la porte de Giolitti leurs billets en signe de solidarité avec l'action du politicien de Dronero (Giolitti) [15] en faveur d'un accord diplomatique avec l'Empire austro-hongrois et en opposition à la guerre pour laquelle complotait Antonio Salandra («per cui tramava Salandra») [16]

La figure d'Alberto Isaac Treves de Bonfili [17] est significative d'une pleine intégration des représentants de la tradition hébraïque dans le Royaume de Umbertino et dans la période libérale de Victor Emmanuel III. Les dirigeants des communautés hébraïques sont maintenant intégrés à différents niveaux dans la haute bourgeoisie financière, commercialle et agraire et ont eu accès à la noblesse, dont ils étaient exclus dans les siècles précédents pour des raisons religieuses.

Les Treves[modifier | modifier le code]

la colombe et le rameau d'olivier

Les Treves, par ailleurs, avait déjà atteint une position influente au cours de la République de Venise [18]. Cette dernière leur accorda d'habiter dans un palais patricien adapté à leurs activités d'armateur, et d'étendre à dessein le Ghetto avec le « Ghetto novissimo ». Les Treves sont présents dans la Province de Trévise dite «Marca Trevigiana» soit la Marche Trévisane, dés le XIVe siècle, en effet sur leurs pierres tombales apparaît au XIVe siècle la colombe avec le rameau d'Olivier, Symboles de la paix, qui feront toujours partie de leurs armoiries , et dans la Dominante, la Sérénissime depuis le XVIe siècle, au XVIIe siècle ils sont devenus les principaux armateurs battant pavillon Marciana (Province de Livourne en Toscane), avec plus de trente navires, qui furent saisis par Napoléon Ier, après la chute de la République et utilisés durant la campagne d'Égypte où ils ont été détruits par les britanniques [19].

Comme appartenant à la communauté hébraïque ils n'auraient pas théoriquement le droit, mais cela a été accordé permettant la création de plusieurs sociétés (par exemple la « Compagnie Vénitienne de la Baltique ») qui étaient « parcellonisti » de la majorité Tandis que leurs capitaines, comme Adorno [20], avait des parts minoritaires. Notez que l'un des motifs juridiques pris par les Espagnols comme prétexte pour la guerre déclarée contre Venise au XVIIe siècle était le paiement aux hébraïques de la protection commerciale garantie par la bannière Vénétienne. [21]

Les Treves étaient «exonérés pour leur patrimoine conformément aux lois limitant les activités des hébreux» adoptées sous l'inspiration de Andrea Tron (1712-1785) dit « le parain » [at 1] [at 2] [at 3]; peu de temps après ils ont financé l'élection du doge de Venise (l'avant-dernier) Paolo Renier avec lequel ils ont toujours été liés. Renier poussa un Treves à épouser la seule héritière de l'autre puissante famille israélite vénitienne, la Bonfili; les liquidités acquises avec ce mariage furent par la suite la base de la fortune du XIXème siècle de la famille après le désastre, la catastrophe de la perte de la flotte. [22]

    • Andrea Tron
    http://livre.fnac.com/a2183765/A-Queruel-Andrea-Tron-le-maitre-de-Venise#/a2183765/A-Queruel-Andrea-Tron-le-maitre-de-Venise
    • Le Mot de l'éditeur : Andréa Tron, le maitre de Venise
    Lorsque naquit Andréa Tron en 1712, Venise se remettait avec difficulté de deux siècles de guerres incessantes contre l'ennemi turc. Son trésor était vide, son empire avait disparu. Enveloppée dans un magnifique isolement, elle s'éloignait doucement de la réalité, remplaçant le goût du risque et les victoires maritimes par l'attrait du jeu et la poursuite effrénée des plaisirs.
    La formation particulièrement poussée du jeune patricien, son sens aigu de l'Etat, sa compétence acquise au cours de missions diplomatiques en Europe, lui firent appréhender très jeune les problèmes économiques et politiques qui paralysaient la Sérénissime. Gentilhomme des Lumières, ami et admirateur de Montesquieu, il fut soutenu par sa femme Caterina qui animait un salon littéraire de haute volée, fréquenté entre autres par Goldoni et les frères Gozzi.
    Devenu procurateur de Saint-Marc, il s'attacha à restaurer la confiance financière et à moderniser les institutions et l'université tout en combattant avec force les tentatives de rébellion contre la puissance du Conseil des Dix, seul garant à ses yeux de la primauté de l'État.
    Andréa Tron mourut en 1785, douze ans avant la fin de la République de Venise, une fin programmée dont il pressentait dès le milieu du siècle, l'arrivée inéluctable. Toute son action politique, même dans ses aléas les plus contestables, n'eut qu'un but : permettre à Venise de durer.
    • Anne Quéruel, diplômée d'histoire, est passionnée par le XVIIIe siècle et les personnages hors du commun, souvent méconnus, qui le traversent. Elle est l'auteur d'un ouvrage consacré au général-baron Jean-Marie Vergez, Le Bigourdan oublié (Le Capucin, 2004) et d'une biographie romancée de Louis-Hector de Ségure (Loubatières, 2007), sorte de Cyrano pyrénéen, espion du roi Louis XV.
    • Extrait du livre :
    1712 - 1741 Enfance et premières armes
    «On chante dans les places, dans les rues, dans les canaux. Le fond du caractère de la nation est la gaieté» (Mémoires)
    Le Grand Canal amorçait à cet endroit un tournant. Juste après le Fondaco dei Turchi, l'hôtellerie-entrepôt des marchands turcs, la façade en pierre d'Istrie d'un petit palais vénéto-byzantin, inspirée des oeuvres de Sansovino, faisait face au palais Marcello et au palais Grimani-Calergi, de l'autre côté de l'eau. Au-dessus de la traditionnelle porte d'eau par où pénétraient autrefois les marchandises, une loggia aux quatre baies géminées, séparées par de fines colonnes surmontées de chapiteaux ioniques, marquait l'étage noble. Au deuxième étage, on trouvait les mêmes baies bordées d'une simple balustrade de pierre. Une façade élégante d'une remarquable sobriété. L'arrière donnait sur un joli jardin autour d'un puits à margelle de pierre.
    C'est dans ce charmant palais vénitien, par une belle journée d'octobre 1712, qu'Andréa Tron vit le jour, à proximité du pont du Rialto, le coeur marchand de la République.
    Octobre est un mois merveilleux à Venise, une sorte d'été indien avant l'arrivée de l'humidité glaciale et embrumée de novembre. Une lumière toute particulière éclairait les palais recouverts alors de fresques de Véronèse ou de Pordenone, peintes aux siècles précédents, mirant leurs chaudes couleurs dans l'eau glauque du Grand Canal. Sur l'autre rive, on pouvait admirer les dentelles de pierre peintes au XVIe siècle à la feuille d'or sur fond outremer de la Ca d'Oro, la Maison d'Or, une des manifestations les plus somptueuses de l'architecture gothique vénitienne, construite pour servir d'écrin aux amours de la belle Soradamor Zen et de son mari, Marino Contarini.
    • Fiche détaillée : Andréa Tron, le maitre de Venise
    Auteur A. Queruel Editeur Loubatieres Eds Date de parution 10/01/2008 (ISBN 2862665517) EAN 978-2862665511
    • Andrea Tron (1712-1785) : le maître de Venise, Portet-sur-Garonne, Loubatières, (OCLC 192122287)
    • Worldcat
    Genre/forme : Biography biographie Personne nommée : Andrea Tron; Andrea Tron; Andrea Tron; Andrea Tron; Andrea Tron Type d’ouvrage : Biographie Format : Livre Tous les auteurs / collaborateurs : Anne Queruel (ISBN 9782862665511 et 2862665517) Numéro OCLC : 192122287 Description : 253 pages ; 21 cm Responsabilité : Anne Queruel ; préface de François de Crécy.
    • VIAF
    Autorité
    • Bnf
    http://data.bnf.fr/15612699/andrea_tron/
    Pays : Italie, Langue : italien, Sexe : masculin, Naissance : 1712, Mort : 25-06-1785, Note : Ambassadeur puis procurateur de Saint-Marc (République de Venise), Domaines : Administration publique, Histoire de l'Europe

La Famille Trèves[modifier | modifier le code]

Titres de noblesse et Ordres honorifiques[modifier | modifier le code]

La Famille Trèves possède un titre baronnial accordé en 1811 à Giuseppe Treves par Napoléon Ier alors roi d'Italie, et confirmé en 1812. [23]

Tandis que le prédicat « de Bonfili » a été accordé par le gouvernement autrichien à Giacomo Treves en tant que fils de Giuseppe Treves et Benetta Bonfili, accompagné d'un titre de noble chevalier impérial, en effet, ce que ne précise pas la page italienne c'est que, à cette époque, c'est l'Empire d'Autriche qui gouverne le Royaume lombard-vénitien et qui peut décerner ou attribuer le titre de chevalier de l'Ordre impérial autrichien de Léopold à moins qu'il ne s'agisse de l'Ordre de l'Empire d'Autriche de François-Joseph ou encore l'Ordre de la Couronne de fer comme le précise l'article à propos de l'ordre de François-Joseph, «Dans les milieux d'affaires parfois, le crédit d'un chef d'entreprise était mesuré à l'aune de sa décoration : les titulaires de l'Ordre de la Couronne de fer étaient alors mieux considérés que ceux titulaire "seulement" de l'Ordre de François-Joseph.» [24]

Par la suite, Giacomo fut membre du nouveau gouvernement vénitien en 1848-1849, « nouveau gouvernement provisoire proclamé le 22 mars, dont Daniele Manin devient le président. Cette "nouvelle" république, qui fait appel au nom historique, illustre, de la République de Venise, la sérénissime, celle de 697 à 1797, n'eut qu'une durée brève, éphémère, Venise étant réoccupée par l'armée autrichienne le 22 août 1849, après une résistance héroïque qui dura 17 mois. » [25].

À propos du titre de baron, Giacomo aimait à répéter, dans le dialecte vénitien: « mi so fiol de baron, pare de baron, ma no so baron » qui peut se traduire par « je suis fils de baron, père de baron, mais je ne suis pas baron ». En effet «les deux Joseph» Giuseppe Treves et Giuseppe Treves de Bonfili [26], le père et le fils de Giacomo, avaient obtenu leurs titres respectivement du Royaume d'Italie en 1811 par Napoléon Ier, non transmissible aux descendants, et par la Maison de Savoie qui gouverne le Royaume d'Italie après 1861. [27]

La Maison de Savoie avait reconnu à Giuseppe Treves de Bonfili, petit-fils [28] de Giuseppe Treves, fils de Giacomo Treves et père d'Alberto, le titre baronnial en 1866 lors de l'annexion de Venise au Royaume d'Italie, et en 1894 elle avait accordé une reconnaissance baronniale supplémentaire à Alberto qui comme second fils de baron n'y aurait pas eu droit.

D'après Schaerf [29] ce fut le même senateur Alberto Trèves de Bonfili qui ironisa sur ces reconnaissances parce qu'en réponse à un juif polonais sur «comment ce fait-il que bien qu'il soit un Israélite, il ait pu obtenir un titre de noblesse», il présenta son propre partenaire Coen, indiquant qu'il était noble depuis 4 000 ans, parce que les Coen sont de la caste sacerdotale. [30] [31] [32]

Selon l'Encyclopaedia Judaïque Treves (Dreyfus en allemand [33]) peut également se vanter d'une tradition exceptionnelle : dans leur ascendance est énumérée une fille de Rachi [34] , le sage Viticulteur de Troyes dont les commentaires de la Bible sont le fondement non seulement des œuvres de Maïmonide, mais aussi, en partie, de celle de Saint Thomas d'Aquin.

Les couleurs de la Familles, rouge et bleu, « rimanderebbero » selon une ancienne légende de la Lignée Davidique. De même l'église catholique qui même pendant le moyen âge était extrêmement attentive au symbolisme, et obligeait les artistes à peindre en rouge et bleue les vêtements de Jésus et de Marie afin de souligner leur appartenance à la maison royale d'Israël; dans l'école vénitienne de San Giorgio de Dalmatie, orné de Vittore Carpaccio, à côté du Christ sur le Mont des oliviers est représenté un manteau rouge et bleu pour mettre en évidence, dans le moment les plus sombres, la royauté messianique. Il semble que, comme la famille d'Espagne Abravanel, les Treves aient fait remonter leurs origines anciennes à une souche princière davidique.

Origines antiques[modifier | modifier le code]

De David à Noé, Noé père de Cham lui même père Koush lui-même père de Nimrod identifié à Marduk père de Nabû. Nimrod, «Puisque le dieu Mardouk (Merodak) était tenu pour le fondateur de Babylone, Hislop a émis l'hypothèse que Mardouk représente Nimrod déifié.» Nabû «est le dieu mésopotamien du savoir et de l'écriture. Selon la mythologie babylonienne, c'est le fils de Mardouk et de Sarpanitu.» Ninos, «Une version le donne comme fils de Belus ou Bēl (nom signifiant « seigneur »), identifié à Cronos, il aurait conquis l'Asie occidentale en 17 ans avec l'aide d'Ariaeus, roi d'Arabie, et fondé le premier empire Mésopotamien.» «parfois identifié au Nimrod de la Bible, fils de Koush (Genèse 10).» Bélus, «Bélus est un roi légendaire d'Assyrie, qui apparaît dans les sources latines ou grecques. Son nom est dérivé de Bēl, l'épithète du dieu Marduk de Babylone. Son fils tout aussi légendaire est Ninus.» Bēl «est progressivement devenu le titre personnel du dieu Babylonien Marduk. De même, Bēlit renvoie à la femme de Marduk, Zarpanitu.» «Les grecs reprirent un temps cette particule, appelant alors leur principal dieu Zeus : Belos (Ζευς Βελος).» Trebote - «Trebeta was the legendary founder of Trier according to the Gesta Treverorum. He was said to be the son of Ninus, King of Assyria, by a wife prior to his marriage to Queen Semiramis.» - «Trebote était le légendaire fondateur de Trèves d'après la Geste des Trévires (Gesta Treverorum). Il a été dit être le fils de Ninus, Roi d'Assyrie, par une première épouse [35] avant son mariage avec la reine Sémiramis.»

Palettes[modifier | modifier le code]
en:Sumerian King List
Liste des souverains d'Assyrie

Petits-enfants militaires[modifier | modifier le code]

Alberto et Adolfo Baldissera[modifier | modifier le code]

I nipoti militari[modifier | modifier le code]

Il 22 dicembre 1914 nacque a Milano un nipote anch'egli chiamato Alberto.

Il 26 luglio 1934, con un gruppo di cavalieri di Pinerolo, in tre giorni ottempera all'ordine di raggiungere a cavallo il Brennero per segnalare alla Germania di non annettere l'Austria in seguito all'assassinio di Dollfuss.

Ufficiale di carriera (così come il fratello Adolfo, volontario sul fronte greco-albanese) Alberto Treves de Bonfili combatté in Africa Settentrionale tra il 1941 e il maggio 1943, dopo aver assunto il cognome della nonna Baldissera in base alla legge numero 1055 del 13-7-1939.

Ebbe tra l'altro funzioni di collegamento tra il comando italiano e il feldmaresciallo Rommel a El Alamein nell'estate 1942, come risulta da documentazione fotografica presso il Museo della Cavalleria di Pinerolo. Insignito della Croce di Ferro germanica.

Al comando di uno squadrone del quinto gruppo corazzato "Nizza Cavalleria", in Tunisia, a sud di El Hamma, il capitano Alberto Baldissera nel gennaio 1943 cattura il Tenente Colonnello David Sterling, comandante del leggendario Long Range Desert Group, in abito arabo, e ottiene da Roma l'autorizzazione a non fucilarlo.

Solamente, l'11 maggio, i dragoni si arrendono dopo un'ultima resistenza a Ras et-Tib (Capo Bon), rendendo poi gli onori agli ufficiali Battistini e Baldissera con un "attenti a destra", non comandato da alcuno che suscita l'ammirazione dei militari britannici.[1]).

Traduction[modifier | modifier le code]

Le 22 décembre 1914 est né à Milan un de ses petit-fils [36] également prénommé Alberto.

Le 26 juillet 1934, avec un groupe de chevaliers de Pinerolo (Turin), il obtempère l'ordre de rejoindre à cheval dans les trois jours Brennero (Autriche) pour signifier (pour que l'Autriche signifie) à l'Allemagne de ne pas annexer l'Autriche après l'assassinat de Dollfuss.

Officier de carrière, comme son frère Adolfo bénévole sur le front gréco-albanais, Alberto Treves de Bonfili a combattu en Afrique du Nord (Afrique septentrionale) entre 1941 et mai 1943, après avoir assumé (pris) le nom de famille de la grand-mère Baldissera (Virginia) selon la loi numéro 1055 du 13/07/1939.

Il avait entre autres des fonctions de liaison entre le commandement italien et le maréchal Rommel à El Alamein à l'été 1942, comme en témoignent les photographies au Musée de la cavalerie de Pinerolo et l'insigne de la croix de fer allemande.

Aux commandes d'un escadron de la 5ème Division Blindée « Nizza Cavalleria » en Tunisie, au sud de El Hamma, Le capitaine Alberto Baldissera en janvier 1943 capture Le lieutenant-colonel David Sterling, Commandant de la légendaire Long Range Desert Group, en tenue arabe, et obtient l'autorisation de Rome de ne pas le fusillé.

Seulement le 11 mai, les Dragons vont renoncer (se rendre) après un dernier combat (une ultime résistance, un baroud d'honneur) à Ras et-Tib (Cap Bon), rendant ensuite les honneurs aux officiers Battistini et Baldissera avec un « regard droit », sans être commandés par personne, ce qui suscita l'admiration des militaires britanniques. [37]

Premier mariage avec Virginia Baldissera[modifier | modifier le code]

Leur fils Giacomo Baldissera, baron Treves de Bonfili[modifier | modifier le code]

Alliance de Giacomo Baldissera Treves de Bonfili et Anna Maria Mordo[modifier | modifier le code]

de cette union naîtront Alberto et Adolfo Baldissera Treves de Bonfili

Giacomo Baldissera baron Treves de Bonfili propriétaire du futur Théâtre Goldoni (1937-1957)[modifier | modifier le code]

Propriétaires du futur Théâtre Goldoni[modifier | modifier le code]

Il teatro Carlo Goldoni è il più antico teatro di Venezia ancora oggi esistente ed è il quarto più antico in assoluto della città, dopo il Teatro Michiel, il Teatro Tron (1581) e il Teatro di San Moisè (1613). Venne costruito dalla famiglia Vendramin nel 1622, di cui prese il nome. L’inaugurazione del teatro, chiamato anche di San Salvador e di San Luca, avvenne nell’autunno di quell’anno, con uno spettacolo della Compagnia “Gli Accesi”. Per i primi 30 anni andarono in scena solamente spettacoli comici. Nel 1653 il teatro fu distrutto da un violento incendio; i nuovi proprietari, Andrea e Zanetta Vendramin, decisero di ricostruirlo all’interno delle vecchie mura rimaste intatte e di affidarlo a conduttori esterni, beneficiari di tutti gli introiti, ma tenuti a corrispondere ai Vendramin un reddito annuo di 1.000 ducati, oltre a essere responsabili di tutte le spese. Andrea e Zanetta tennero il teatro per quarant’anni continuando a servirsi di impresari conduttori esterni. Merita menzione l’investitura dell’impresario Gaspare Torelli, figura eminente nel panorama della cultura veneziana dell’epoca. Librettista, costumista, impresario e all’occorrenza anche scenografo, Torelli firmò il suo primo contratto coi Vendamin nel 1681 e lo rinnovò per due volte (cosa mai accaduta prima). In questi pochi anni lasciò di sé un’impronta importante sia per il livello della programmazione, sia per le migliorie strutturali: restaurò e ingrandì la sala e il palcoscenico, rinnovò la dotazione e consegnò al pubblico veneziano del San Salvador splendide stagioni teatrali. Il successo dovuto alla presenza intraprendente di Gaspare Torelli venne contrastato dall’interferenza della famiglia Grimani, proprietaria nel frattempo di tre teatri: il San Samuele, il SS. Giovanni e Paolo e il San Giovanni Grisostomo. Nel 1687 Torelli aveva rinnovato il suo impegno coi Vendramin per altri dieci anni; i Grimani, preoccupati del costante successo del teatro rivale, convinsero o forzarono l’impresario ad accettare l’invito dei Farnese a trasferirsi alla corte di Parma e a cedere loro in subaffitto il contratto coi Vendramin più la proprietà di alcuni palchi di sua pertinenza al San Salvador. Si trattò ovviamente di un’ingerenza al di là dei limiti della legalità che non poteva lasciare indifferente la famiglia Vendramin. Infatti, dopo la morte di Andrea nel 1685, Zanetta e i figli Alvise, Francesco, Andrea e Antonio ricorsero in tribunale, vinsero la causa e nel 1689 ripresero la conduzione del teatro. La rivalità fra le due famiglie proprietarie di teatri veneziani s’interruppe all’alba del XVIII secolo: nel 1703, per la prima volta nella loro storia teatrale, vennero a patti e firmarono un contratto che regolava, per cinque anni, l’attività comica dei teatri San Samuele e San Salvador (che da questo periodo compare sempre più frequentemente nei documenti con il nome San Luca). Al termine di tale accordo il contratto non fu rinnovato. Antonio e Francesco Vendramin, succeduti ad Alvise, continuarono autonomamente la conduzione fino ad approdare alla stagione 1752-1753, decisiva per via dell’ingaggio di Carlo Goldoni al teatro San Luca.

La prima apparizione di Goldoni in un teatro veneziano avvenne nell’anno 1734, a partire dal quale ricevette gli incarichi dalla famiglia Grimani per il teatro di San Samuele. Dopo essere passato al teatro Sant’Angelo sotto le direttive del capocomico Girolamo Medebach (per il quale compose e fece rappresentare 40 commedie), in seguito alla scadenza del contratto (1753) oltre che per questioni personali con il Medebach, Goldoni arrivò ai Vendramin, che non si fecero sfuggire l’occasione e offrirono un vantaggioso contratto al già famoso Goldoni, in base al quale egli trattava direttamente col proprietario e a lui consegnava le sue commedie che gli venivano pagate subito, prima ancora di esser lette. La fiducia sulla capacità di Goldoni di comporre opere di successo e di sicuro richiamo era pressoché illimitata. Proprio per questo le sue entrate erano quasi raddoppiate e di particolare rilevanza era il fatto di essere libero di stampare le sue opere dove volesse o con quale editore gli fosse gradito. Anche in virtù di questo atteggiamento culturale e sociale dell’intera città di Venezia oltreché dei suoi maggiorenti, Carlo Goldoni poté intraprendere quella riforma del Teatro che lo portò a creare opere e personaggi immortali, che da sempre risuonano nei palcoscenici di tutto il mondo e in moltissime lingue. Di quel periodo infatti sono alcune opere quali Il campiello, Gl’innamorati, I rusteghi. Particolarmente vitale fu l’ultima stagione di Goldoni al teatro San Luca nell’anno 1761, quando produsse commedie quali La trilogia della villeggiatura, Sior Todero brontolon, Le baruffe chiozzotte e Una delle ultime sere di carnovale. Partito Carlo Goldoni per Parigi, Francesco Vendramin proseguì l’attività del teatro in forma impresariale, finché nel 1775 la commissione di vigilanza dei Provveditori de Comun giudicò il teatro di San Luca poco sicuro e chiese un restauro radicale. Ciò è motivato anche dal fatto che il passaggio dalla conduzione impresariale del Seicento a quella diretta dei Vendramin aveva interrotto il proficuo sistema d’affitto che imponeva ai locatari oltre all’organizzazione degli spettacoli anche la manutenzione e il restauro di tutte le strutture del teatro, e il San Luca era oramai un vecchio edificio pericoloso. Nell’autunno del 1776 il teatro riaprì e riprese la sua attività con la compagnia di Antonio Sacchi, ma il pubblico non rispose subito alla speranze dei Vendramin, che nel restauro avevano tra l’altro apportato una serie di modifiche strutturali e di ampliamenti tra cui lo spostamento dell’ingresso in Calle Berizi (l’attuale Calle del Teatro), la creazione di un atrio e l’aumento del numero dei palchi (ne furono aggiunti 17 di cui 5 al pepiano e 4 a ognuno dei tre ordini successivi). L’attività del teatro procedette con un livello medio fino alla caduta della Repubblica Serenissima nel 1797, anche a causa della crisi economica che coinvolse i Vendramin sul piano familiare. Il 18 gennaio 1798 gli austriaci entrarono a Venezia secondo quanto previsto dal trattato di Campoformio con cui Napoleone cedeva Venezia all’Austria. Durante la breve pausa della dominazione francese ci fu nel 1807 la spiacevole notizia secondo la quale il Ministero dell’Interno riduceva nelle città le sale di teatro agibili in misura proporzionale alla densità della popolazione. I teatri veneziani furono ridotti a quattro e il San Luca fu tra quelli chiusi. Era una sala grande, in posizione centrale, e in condizioni statiche non peggiori delle altre, ed è quindi legittima l’ipotesi secondo cui la decisione di chiuderla dipendesse soprattutto da motivazioni politiche, essendo i Vendramin in sospetto di simpatie austriacanti. Nel 1815, al rientro degli austriaci, un decreto imperiale restituì l’agibilità al teatro San Luca. La riapertura ufficiale avvenne nel 1817 dopo un radicale intervento sulle strutture. Particolare attenzione fu dedicata alla manutenzione della sala e delle attinenze, così come all’ammodernamento delle apparecchiature illuminotecniche e scenotecniche, anche perché la concorrenza delle altre sale presenti a Venezia e soprattutto della neonata Fenice era sempre accesa e pressante. Nel 1833 venne ingrandito l’atrio, allungato il palcoscenico e modificata la curva della sala. Il 28 settembre l’antico teatro dei Vendramin a San Luca cambiò nome per diventare Teatro Apollo. Nel 1836, nella notte tra il 12 e il 13 dicembre, il teatro la Fenice fu distrutto da un violentissimo incendio e con i Vendramin si raggiunse presto l’accordo per trasferire all’Apollo gli spettacoli già predisposti per l’imminente Carnevale. Fu una stagione straordinaria, in cui tra l’altro fu rappresentata per la prima volta l’opera Pia de’ Tolomei di Gaetano Donizetti. Nessuna riduzione fu fatta al programma, salvo che per un ballo, che non si poté dare per la limitatezza del palcoscenico. Per questo carnevale e per dare maggiore comodità ai palchettisti della Fenice, Domenico Vendramin fece predisporre un adeguato pontile di approdo sulla riva del Carbon in diretta comunicazione con una strada coperta che conduceva sino alla porta del corridoio del teatro. Nel 1844, quando già si pensa a un nuovo e importante restauro, Domenico Vendramin muore prematuramente e la conduzione viene assunta dalla vedova Regina De Marchi, la quale come prima cosa provvide affinché il progetto del marito venisse realizzato. Il teatro Apollo fu il primo in Italia ad avere l’illuminazione a gas e l’illuminazione completa della sala. Nella primavera del 1853 fu dato incarico al pittore Ferrari Bravo di rimodernare il teatro. Fu un restauro importante, in stile neogotico fiorito, che diede all’Apollo quel nuovo aspetto che sostanzialmente lo caratterizzò fino alla fine. Fu un periodo, la seconda metà del XIX secolo, molto particolare e travagliato; Regina De Marchi, intelligente e di carattere, pilotò il teatro per quasi quarant’anni. Affrontò positivamente tutti i problemi che le vicende storiche imposero a un luogo di pubblica rappresentanza qual era un antico teatro cittadino. Ospitò le celebrazioni dei moti irredentisti del Quarantotto e la breve Libertà della nuova repubblica, affrontò con dignità il pesante regime di Radetzky, la delusione della seconda guerra d’indipendenza, le censure e le difficoltà economiche, ed era ancora lei a condurre il teatro quando il 19 ottobre 1866 le truppe italiane entrarono a Venezia. Da qui iniziò un periodo di ripresa dell’attività teatrale, che prese quota e accompagnò l’ultimo decennio del teatro Apollo. Da ricordare l’affermazione definitiva su queste scene, dal 1871, della nuova compagnia “veneziana” di Angelo Moro Lin e del suo autore e poeta Giacinto Gallina con le commedie Le barufe in famegia e La famegia in rovina. Nel 1874 ci fu un altro intervento di ristrutturazione che portò alla ripulitura delle decorazioni e al rinforzo delle strutture. Allora il teatro aveva 5 ordini di gallerie e 162 palchi; la platea aveva 560 posti e la capienza complessiva arrivava a circa 1.250 posti con 5 uscite sulla pubblica via (3 in platea di cui una verso l’atrio e 2 vicino l’orchestra); dalla scena a sinistra c’era un’ulteriore uscita nel sottopalco (in comune col sottoportico del Carbon, passaggio ancora oggi utilizzato per il trasferimento delle scene); da rilevare che la seconda fila destra di palchi comunicava con l’abitazione della proprietaria. Un intervento d’importante rilievo fu la trasformazione in loggione dell’ultima fila di palchi. Nel 1875 l’attore Angelo Moro Lin assieme a Regina De Marchi prese l’iniziativa per intitolare l’antico teatro di San Luca a Carlo Goldoni. Non era evidentemente solo una questione di nomi, ma soprattutto il preciso richiamo a una più pertinente caratterizzazione “comica” in onore del grande commediografo e il giusto omaggio a uno tra i più illustri figli della città di Venezia. La sera del 26 febbraio 1875, un giorno dopo l’anniversario della nascita di Goldoni (fu necessario spostare di una giornata la cerimonia a causa di un’eccezionale nevicata) moriva l’Apollo e nasceva il Teatro Carlo Goldoni. Fu scoperto un busto (presente oggi nell’atrio del teatro), opera dello scultore Soranzo e donato dal Principe Giovannelli. La cerimonia fu commovente e il Moro Lin, circondato dai suoi attori, tenne un brillante discorso in veneziano auspicando, tra l’altro, che la città erigesse al suo maggior poeta un degno monumento. La compagnia al completo (che da allora assunse la qualifica di “goldoniana”) rappresentò la commedia Una delle ultime sere di carnovale, cioè l’ultima commedia scritta da Goldoni prima di lasciare Venezia per sempre e con la quale in qualche modo faceva ora ritorno in un teatro a lui intitolato. Nel 1880 muore Regina De Marchi, vedova dell’ultimo dei Vendramin, e la proprietà del teatro passò alla pronipote Chiara Ciotto e al marito Pietro Marigonda che ne diventò direttore. Con Antonio Marigonda, figlio di Pietro, si posero subito per il Goldoni questioni di carattere urbanistico e di rifacimenti dell’aspetto esterno, che furono risolti con l’eliminazione di alcuni fabbricati fatiscenti e l’allargamento della Calle del Teatro. La facciata così com’era non andava bene e furono incaricati gli ingegneri di progettarne una nuova. Nel maggio del 1909 il progetto fu approvato e in soli quattro mesi la costruzione fu portata a termine. Era, questa, la prima facciata vera e propria dell’antico teatro Vendramin, poco gradita dai contemporanei, battezzata “di stile ferroviario”. Al di là del giudizio estetico sulla nuova facciata, sono anni questi molto importanti per l’attività teatrale, poiché incentrati su un preciso impegno di riqualificazione attraverso la cura estrema della definizione delle scelte artistiche. Tutte le più importanti formazioni italiane e alcune straniere fecero capo al Goldoni e a tal proposito una statistica della stagione 1909 poneva Venezia subito dopo Milano e Roma per quanto riguarda gli incassi al botteghino. Dopo la Grande guerra si verificò un notevole rilancio dell’attività teatrale e il pubblico veneziano non mancò mai agli appuntamenti con le grandi compagnie dell’epoca. Nel 1923 si festeggiò l’ingresso del teatro nel suo quarto secolo di vita, ma l’anno precedente un altro evento eccezionale pose il Goldoni su tutte le cronache artistiche e mondane dell’epoca: il ritorno di Eleonora Duse sulle scene a Venezia dopo vent’anni. Nel marzo del 1922 (appena due anni prima della morte) si presentò con due recite straordinarie: La donna del mare di Ibsen e La porta chiusa di Marco Praga. La morte improvvisa di Antonio Marigonda segnò un brusco arresto di questo felice momento di fioritura artistica, fase che portò a un veloce declino dell’attività fino al momento della chiusura. Dopo un breve periodo di gestione dei figli di Antonio Marigonda Piero e Andrea, nel 1937 il teatro cambiò nuovamente proprietario e fu acquistato dall’Avvocato Giacomo Baldissera barone Treves De’ Bonfili, e la gestione fu affidata all’ICSA (Imprese Cinematografiche Spettacoli e Affini). L’ultimo decennio del Teatro Goldoni fu poco significativo, con la programmazione di generi di intrattenimento decisamente commerciale quali l’operetta o la rivista. Da rilevare il fatto importante il pubblico veneziano riuscì a opporsi alla trasformazione del Goldoni in un teatro-cinema, cosa che capitò ad altre sale, quali il Rossini (ex teatro San Benedetto) e il Malibran (ex San Giovanni Grisostomo). Durante i tristi anni della seconda guerra mondiale, il teatro rimase operativo, anche perché Venezia ospitava il Ministero della Cultura Popolare e quindi anche la Direzione Generale dello Spettacolo. Il 15 giugno 1947 fu proclamata l’inagibilità del teatro, che venne definitivamente chiuso per le precarie condizioni strutturali che imponevano una riedificazione pressoché totale. In quell’estate del 1947 nessuno avrebbe mai immaginato che il vecchio Goldoni sarebbe rimasto chiuso per tanto tempo, e che il percorso sarebbe stato tanto accidentato e più volte rivisto, con infinita pazienza da parte della popolazione e con un andamento da romanzo a puntate e relativi colpi di scena. I primi dieci anni se ne andarono fra l’impossibilità di trovare un accordo fra l’ultima proprietà, l’Avvocato Baldissera (che non poteva o non voleva occuparsi della realizzazione dei lavori necessari), e l’Amministrazione comunale che, dichiarando l’edificio di pubblica utilità, scongiurando il pericolo di eventuali usi speculativi, mirava all’ottenimento dell’espropriazione dello stesso. Il 5 ottobre 1957 l’Amministrazione Comunale rilevò l’edificio dall’Avv. Baldissera. Una volta acquisito l’immobile, il problema principale fu di carattere finanziario, vista la difficoltà di reperimento di fondi necessari. Già dal 1959 sembrava che la situazione potesse sbloccarsi, con un progetto della Fondazione Giorgio. Non ebbe seguito. Passarono altri due anni fino al momento in cui il Consiglio superiore dei Lavori Pubblici approvò un nuovo progetto: si parlava di restauro e non di ristrutturazione totale, si sarebbe prevista la demolizione parziale dell’edificio conservando alcune strutture. Già in quell’epoca non mancarono dibattiti fra conservatori (i quali appoggiavano la filosofia del “com’era, dov’era”) e innovatori (che caldeggiavano la realizzazione di un’opera con strutture moderne). Sembrava che il progetto potesse avere seguito positivo e con incauto ottimismo si prevedeva la riapertura del teatro nel 1963. Invece già nel maggio 1962 i lavori vennero sospesi per contrasti legali coi proprietari degli edifici confinanti. Passarono altri due anni fino all’approvazione di un nuovo progetto (settembre 1964). Tuttavia solo nell’estate del 1969 iniziarono i lavori; venne innalzato un edificio completamente nuovo le cui strutture esterne furono completate nel 1973. Si sarebbe potuto già terminare l’opera in quell’anno, se non ci fossero state nuove polemiche fra conservatori e modernisti. Alla fine si arrivò al compromesso, mantenendo l’interno simile alla versione precedente, sia pur con alcune modifiche (quattro ordini di galleria e di palchi, anziché cinque di soli palchi, platea rialzata, il tutto con conseguente diminuzione dei posti) e costruendo l’esterno completamente nuovo. Finalmente, diciannove anni dopo il primo progetto, ventinove dopo l’acquisizione da parte del Comune e trentadue anni dopo la chiusura, per un costo totale di quasi tre miliardi e mezzo di lire, il teatro venne di nuovo riaperto alla città: era il 22 aprile del 1979. Lo spettacolo inaugurale fu uno dei capolavori di Carlo Goldoni: La locandiera per la regia di Giancarlo Cobelli con protagonista Carla Gravina assieme a Gabriele Ferzetti. Lo spettacolo fece una fortunata tournée di tre anni e ne fu prodotta anche una versione televisiva che ancor oggi si può vedere in DVD. Per più di un decennio il Comune di Venezia gestì in proprio il teatro, affidandolo via via a direttori diversi, fra i quali l’indimenticato Giorgio Gaber, finché, dal 1992 fino a oggi, fu consegnato alla gestione del Teatro Stabile del Veneto.

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Théâtre Vendramin (Traduction)[modifier | modifier le code]

Un des plus ancien Théâtre de Venise construit en 1622 par la famille Vendramin[modifier | modifier le code]

Carlo Goldoni Le théâtre est le plus ancien théâtre existe encore Venise et est la quatrième plus ancienne jamais dans la ville, après Michiel Theater, Teatro Tron (1581) et le Teatro San Moise (1613). Il a été construit en 1622 par la famille Vendramin, qui a pris son nom. L'ouverture du théâtre, aussi appelé San Salvador et San Luca, a eu lieu à l'automne de cette année, avec un spectacle de la Société « Le lit ».

Trente ans de comédies (1622-1653)[modifier | modifier le code]

Pour les 30 premières années, ils sont allés à seule scène de comédie. En 1653, le théâtre a été détruit par un incendie massif; les nouveaux propriétaires, Andrea Vendramin et Zanetta, ont décidé de le reconstruire à l'intérieur des vieux murs sont restés intacts et de confier à des conducteurs externes, les bénéficiaires de tous les reçus, mais ils doivent payer le Vendramin un revenu annuel de 1.000 ducats, tout en étant responsable toutes les dépenses.

Zanetta, nouveau propriétaire pour quatre décennies (1653-16..)[modifier | modifier le code]

Andrea Zanetta et a gardé le théâtre pendant quatre décennies en continuant à utiliser des conducteurs entrepreneurs externes. Il mérite une mention l'investiture impresario Gaspare Torelli, une figure de premier plan dans l'ère de la culture vénitienne. Librettiste, costumier, entrepreneur, et le cas échéant également concepteur de la production, Torelli a signé son premier contrat avec Vendamin en 1681 et renouvelé à deux reprises (jamais arrivé auparavant). Dans ces quelques années, elle lui a laissé une mémoire est importante pour le niveau de la programmation, tant pour les améliorations structurelles: il restauré et agrandi la salle et la scène, il a renouvelé la dotation et remis au public vénitien de San Salvador belles saisons de théâtre.

Différents entre l'impresario Torelli et la famille Grimani propriétaire des autres théâtres[modifier | modifier le code]

Le succès en raison de la présence entreprenante de Gaspare Torelli a été contrariée par l'interférence de la famille Grimani, les propriétaires dans les trois théâtres entre-temps: le San Samuele, la SS. John et Paul et Saint Giovanni Grisostomo. En 1687 Torelli a renouvelé son engagement avec Vendramin pendant dix ans; Grimani, préoccupé par le succès continu du théâtre rival, persuadé ou forcé le gestionnaire d'accepter l'invitation de la famille Farnèse pour passer à la cour de Parme et renoncer à leur sous-louer le contrat avec Vendramin plus la propriété de certaines étapes de sa pertinence pour le San Salvador. Il était de toute évidence une ingérence au-delà des limites de la légalité qui ne pouvait pas laisser la famille Vendramin indifférent. En fait, après la mort d'Andrew en 1685, fils Zanetta et Alvise, Francesco, Andrea et Antonio ont eu recours à la cour, a remporté l'affaire et en 1689 ont repris le fonctionnement du théâtre.

1703-1708[modifier | modifier le code]

La rivalité entre les deux familles possédant des théâtres vénitiens arrêté à l'aube du XVIIIe siècle: en 1703, pour la première fois de leur histoire théâtrale pactisent et a signé un contrat qui a gouverné pendant cinq ans, les activités comiques théâtres San Samuele et San Salvador (qui, par cette fois-ci apparaît de plus en plus fréquemment dans les documents que San Luca). A la fin de cet accord, le contrat n'a pas été renouvelé.

Recrutement de Carlo Goldoni (1752-1753) par Antonio et Francesco Vendramin[modifier | modifier le code]

Antonio et Francesco Vendramin, la succession Alvise, ont continué à fonctionner de manière indépendante conduire la saison 1752-1753, cruciale en raison du recrutement de Carlo Goldoni au Teatro San Luca.

Théâtre-goldoni (photo)

Première apparition de Goldoni chez les Grimani (1734-1753) puis chez les Vendramin (1753-1761)[modifier | modifier le code]

La première apparition dans un théâtre vénitien Goldoni était l'année 1734, dont il a reçu les affectations du théâtre de Grimani de San Samuele. Après avoir passé le théâtre Saint-Ange sous la direction de l'acteur-Girolamo Medebach (pour lequel il a composé et il met en scène 40 pièces), après l'expiration du contrat (1753), ainsi que des problèmes personnels avec Medebach, Goldoni est venu à Vendramin, qu'ils ne manquaient pas l'occasion et a offert un contrat lucratif à la Goldoni déjà célèbre, en vertu de laquelle il a traité directement avec le propriétaire et il a livré ses pièces qui ont été payés immédiatement, avant même d'être lu. Confiance sur la capacité de Goldoni à composer des œuvres de succès et très attrayant est presque illimité. Pour cela, son revenu a presque doublé et était particulièrement important le fait d'être libre d'imprimer ses œuvres où il était rédacteur en chef ou ce qu'il voulait.

Contexte culturel[modifier | modifier le code]

En partie à cause de cette attitude culturelle et sociale de toute la ville de Venise en dehors de ses anciens, Carlo Goldoni pourrait prendre la réforme Teatro qui l'a conduit à créer des œuvres immortelles et des personnages, qui résonnent toujours dans les stades partout dans le monde et de nombreuses langues. De cette période sont en fait un certain nombre d'ouvrages tels que le Campiello, gl'innamorati, je Rusteghi. était particulièrement important de la dernière saison de Goldoni au Teatro San Luca dans l'année 1761, quand il a produit des comédies telles que la trilogie de vacances, Sior Todero brontolon, Les Querelles de Venise et l'une des dernières soirées du Carnaval.

Reprise par Francesco Vendramin (1761-1775)[modifier | modifier le code]

Party Carlo Goldoni Paris, Francesco Vendramin a poursuivi l'activité du théâtre sous forme d'entreprise, jusqu'en 1775, le Conseil de Surveillance de surintendants de Comun jugé le théâtre de Saint Luc dangereux et a exigé une restauration radicale. Ceci est également motivé par le fait que la transition de l'exécution entrepreneuriale du XVIIe siècle à celle du système de location rentable avait interrompu Vendramin direct qui exigeait que tous les locataires sur l'organisation des spectacles aussi l'entretien et la restauration de toutes les structures du théâtre, et le San Luca était maintenant un ancien bâtiment dangereux.

Compagnie Antonio Sacchi (1776-)[modifier | modifier le code]

À l'automne 1776, le théâtre a rouvert et repris ses activités avec la compagnie d'Antonio Sacchi, mais le public n'a pas immédiatement répondu aux espoirs du Vendramin, que la restauration avait, entre autres, a fait un certain nombre de changements et d'améliorations structurelles, y compris le décalage d'entrée dans la rue Berizi (maintenant Calle del Teatro), la création d'un atrium et en augmentant le nombre d'étages (ils ont été ajoutés à 17, comprenant 5 pepiano et 4 dans chacun des trois ordres ultérieurs).

Chute de la République de Venise en 1797, fermeture sous la domination française en 1807[modifier | modifier le code]

Les activités théâtrales ont procédé à un niveau moyen jusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, également en raison de la crise économique qui a impliqué la famille orientée Vendramin. Le 18 Janvier 1798, les Autrichiens sont venus à Venise comme prévu par le traité de Campo Formio avec lequel Napoléon cédait Venise à l'Autriche. Au cours de la brève pause de la domination française en 1807 il y avait les nouvelles désagréable que le ministère de l'Intérieur a réduit les salles dans le théâtre de la ville viable proportionnellement à la densité de la population. Les théâtres vénitiens ont été réduits à quatre et le San Luca était parmi ceux fermés. Il était une grande chambre, située au centre, et dans des conditions statiques légitimise pas pire que d'autres, et donc l'hypothèse que la décision de fermer dépendait principalement par des motifs politiques, comme les Autrichiens Vendramin en sympathie suspecte.

Les Autrichiens rétablissent la viabilité du théâtre en 1815, réouvert en 1817[modifier | modifier le code]

En 1815, le retour des Autrichiens, un décret impérial rétabli la viabilité du théâtre San Luca. La réouverture officielle a eu lieu en 1817 après une intervention radicale sur les structures. Une attention particulière a été consacrée à l'entretien de la salle et des pièces, ainsi que la modernisation des équipements d'éclairage et scenotecniche, parce que la concurrence d'autres sel présent à Venise et surtout le nouveau-né Phoenix était toujours et en appuyant sur.

Après agrandissement le théâtre San Luca Vendramin devient le théâtre Apollo le 28 septembre 1833[modifier | modifier le code]

En 1833, il a été agrandi atrium, il étendit la scène et changé les coins de la pièce. Le 28 Septembre, le théâtre antique de San Luca Vendramin a changé son nom pour devenir le théâtre Apollo.

En 1836, la nuit entre 12 et 13 Décembre, le théâtre La Fenice a été détruit par un incendie violent et Vendramin est rapidement conclu un accord pour transférer l'Apollo montre déjà préparé pour le prochain Carnaval. Ce fut une saison extraordinaire, où entre autres a été réalisée pour la première fois l'opéra Pia de « Tolomei par Gaetano Donizetti. Aucune réduction n'a été apportée au programme, sauf pour une danse, elle ne pouvait pas donner à l'étroitesse de la scène.

Pour ce carnaval et de donner une plus grande commodité aux boîtes du Phoenix, Domenico Vendramin ne fournissait la jetée d'amarrage adéquate sur la banque de carbone en communication directe avec une route couverte menant à la porte de la salle de théâtre.

Restauration et modernisation du théâtre (1844) par la veuve de Domenico Vendramin, Regina de Marchi[modifier | modifier le code]

En 1844, quand déjà vous pensez à une nouvelle et importante restauration, Domenico Vendramin meurt prématurément et l'exécution est tiré de la veuve Regina De Marchi, qui en tant que premier PREVOYANCE que le projet de son mari a été réalisé. L'Apollo Theater a été le premier en Italie pour avoir un éclairage de gaz et l'éclairage complet de la pièce. Au printemps 1853, il a été commandé au peintre Ferrari Bravo pour moderniser le théâtre. Ce fut une grande restauration dans le style néo-gothique fleuri, qui a donné Apollo le nouveau regard qui le caractérisait essentiellement à la fin.

Ce fut une période, la seconde moitié du XIXe siècle, tout à fait unique et troublée; Regina De Marchi, intelligent et fort, piloté le théâtre depuis près de quarante ans. Il a fait face positivement tous les problèmes que les événements historiques imposés dans un lieu de représentation publique qui était un ancien théâtre de la ville. Il a accueilli les célébrations des mouvements irrédentistes de quarante et la brève liberté de la nouvelle république, face à la dignité du régime lourd Radetzky, la déception de la deuxième guerre d'indépendance, aux défis et aux difficultés économiques, et elle menait encore au théâtre quand 19 octobre 1866 les troupes italiennes de Venise est entrée.

De là a commencé une période de reprise dans le théâtre, qui a gagné l'altitude et a conduit la dernière décennie du théâtre Apollo. Rappelez-vous la dernière percée de ces scènes, depuis 1871, la nouvelle société Angelo Moro Lin « vénitien » et son auteur et poète Giacinto Gallina avec les comédies Le barufe en famegia et La famegia en ruines.

Restructuration en 1874[modifier | modifier le code]

En 1874, il y avait une autre restructuration qui a conduit au nettoyage des décorations et le renforcement des structures. Ensuite, le théâtre avait cinq étages de galeries et 162 boîtes; le public avait 560 sièges et la capacité globale a atteint environ 1.250 places avec 5 sorties sur la voie publique (3 dans les stalles dont l'un vers l'atrium et 2 près de l'orchestre); de la scène vers la gauche est une autre sortie sous la scène (en commun avec sottoportico de carbone, passage encore utilisé aujourd'hui pour le transfert de scènes); Il convient de noter que la deuxième rangée de cases à droite communiqué avec le propriétaire du logement. Une intervention de changement important a été la transformation dans la galerie dernière rangée de cases.

Naissance du théâtre Carlo Goldoni (le 26 février 1875)[modifier | modifier le code]

En 1875, l'acteur Angelo Moro Lin avec Regina De Marchi a pris l'initiative de nommer le théâtre antique de San Luca à Carlo Goldoni. Il n'y avait évidemment qu'une question de noms, mais surtout la référence précise à une caractérisation plus appropriée « comique » en l'honneur du grand dramaturge et le droit hommage à l'un des fils les plus illustres de la ville de Venise. Le soir du 26 Février 1875, un jour après l'anniversaire de la naissance de Goldoni (il était nécessaire de déplacer d'un jour la cérémonie en raison d'une chute de neige exceptionnelle) est mort le théâtre Apollo et né le théâtre Carlo Goldoni. On a découvert un buste (présent aujourd'hui dans le hall du théâtre), l'œuvre du sculpteur et Soranzo donné par le prince Giovannelli. La cérémonie a été touchante et le Moro Lin, entouré de ses acteurs, il a prononcé un discours brillant appel de Venise, entre autres, que la ville de erigesse à son plus grand poète, un monument digne. complet de la société (qui a depuis pris le titre de « Goldoni ») représentait la comédie L'une des dernières soirées du Carnaval, qui est la dernière pièce écrite par Goldoni avant de quitter Venise pour toujours et avec qui d'une manière était maintenant de retour dans un théâtre qui porte son nom.

Rénovation de façade après le décès de la veuve de Marchi en 1880[modifier | modifier le code]

En 1880, De Marchi reine meurt, la veuve du dernier Vendramin, et la propriété du théâtre passé à l'arrière-petite-fille Chiara et son mari Peter Cripple Marigonda qui est devenu directeur. Avec Antonio Marigonda, fils de Pierre, et assis tout de suite pour les questions de planification Goldoni ville et la rénovation aspect extérieur, qui ont été résolus par l'élimination de certains bâtiments délabrés et l'élargissement de la Calle del Teatro. La façade comme il était était pas bon et ont été nommés les nouveaux ingénieurs progettarne. En mai 1909, le projet a été approuvé et en quatre mois seulement le bâtiment a été achevé. Ce fut cela, la première façade réelle de l'ancienne Vendramin de théâtre, pas apprécié par ses contemporains, appelé style « rail ».

Au-delà du jugement esthétique sur la nouvelle façade, ces années sont très importantes pour l'activité théâtrale, comme centrée sur un effort de réaménagement précis grâce à la prise en charge extrême de la définition des choix artistiques. Tous les grands italiens et quelques formations étrangères sont devenues tête du Goldoni et à cet égard une statistique de la saison 1909 de Venise mis immédiatement après Milan et Rome à l'égard du box-office.

Entre deux guerres et après guerres[modifier | modifier le code]

Après la Seconde Guerre mondiale il y avait un renouveau notable du théâtre et le public vénitien ne manquaient pas de rendez-vous avec les grandes entreprises de l'époque. En 1923, il a célébré l'entrée du théâtre dans son quatrième siècle de la vie, mais l'année avant un autre événement exceptionnel pose sur toutes les Goldoni chroniques artistiques et mondains de l'époque: le retour de Eleonora Duse sur scène à Venise après évent « années. En Mars 1922 (à peine deux ans avant sa mort), il a montré avec deux performances extraordinaires: La Dame de la mer d'Ibsen et la porte fermée de Marco Praga.

Nouveau propriétaire Giacomo Baldissera après 1937[modifier | modifier le code]

La mort subite d'Antonio Marigonda a marqué une fin abrupte à ce moment heureux de la floraison artistique, phase qui a conduit à une baisse rapide jusqu'au moment de la fermeture. Après une courte période de gestion des enfants d'Antonio Marigonda Piero et Andrea, en 1937, le théâtre de nouveau changé de propriétaire et a été acheté par l'avocat Giacomo Baldissera Baron De Treves Bonfili et la gestion a été confiée all'ICSA (entreprises et Spectacles Allied Motion Picture ).

La dernière décennie du Teatro Goldoni n'a pas été significative, avec la programmation des types de divertissement très commercial tels que l'opérette ou un magazine. Il convient de noter le fait important du public vénitien a pu opposer à la transformation de Goldoni dans un cinéma de théâtre, ce qui est arrivé à d'autres pièces, telles que Rossini (ex Teatro San Benedetto) et la Malibran (anciennement Grisostomo St. Giovanni).

Fermeture du théâtre en 1947[modifier | modifier le code]

Pendant les tristes années de la Seconde Guerre mondiale, le théâtre était opérationnel, car Venise abritait le ministère de la culture populaire, et donc aussi la Direction générale de divertissement. Le 15 Juin, 1947, il fut proclamé la non-disponibilité du théâtre, qui a finalement été fermé pour les conditions structurelles précaires qui ont imposé une reconstruction presque totale. En cet été 1947 n'aurait imaginé que l'ancien Goldoni resterait fermée pendant si longtemps, et que le chemin serait si chaotique et souvent révisé, avec une infinie patience de la part de la population et avec une tendance nouvelle en versements et ses tours.

La municipalité reprend le bâtiment le 5 octobre 1957[modifier | modifier le code]

Les dix premières années, ils sont passés de l'impossibilité de trouver un accord entre la dernière propriété, l'avocat Baldissera (qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas prendre soin de la réalisation des travaux nécessaires), et le conseil municipal qui, à trouver le ' bâtiment d'utilité publique, en évitant le risque de potentiels des fins spéculatives, visant à obtenir l'expropriation de même. Le 5 Octobre 1957, le conseil municipal a repris le bâtiment par l'avocat. Baldissera. Une fois acquis le bien, le principal problème est d'ordre financier, compte tenu de la difficulté de trouver les fonds nécessaires. Déjà en 1959, il semblait que la situation pourrait débloquer, avec le projet George Fondation. Il avait suivi. Il a été deux ans jusqu'à ce que le Conseil supérieur des travaux publics a approuvé un nouveau projet: il était sur la restauration et non une rénovation totale, il serait prévu la démolition partielle du bâtiment en conservant certaines structures.

Mise en travaux laborieuse (1962-1973)[modifier | modifier le code]

Déjà à cette époque il n'y avait pas de débats entre les conservateurs (manque qui ont soutenu la philosophie du « comme il était, où il était ») et les innovateurs (qui poussaient la réalisation d'une œuvre avec des équipements modernes). Il semblait que le projet pourrait avoir un résultat positif et l'optimisme téméraire compris la réouverture du théâtre en 1963. Mais, dès le mois de mai 1962, les travaux ont été suspendus pour des conflits juridiques avec les propriétaires des bâtiments voisins.

Il a été deux ans jusqu'à l'approbation d'un nouveau projet (Septembre 1964). Cependant, seulement à l'été 1969, le travail a commencé; Il a été érigé un bâtiment complètement nouveau dont les structures extérieures ont été achevées en 1973. Il faudrait déjà terminer le travail cette année-là, s'il n'y avait pas de nouvelle controverse entre les conservateurs et modernistes. Finalement, il est venu à compromettre, en maintenant l'intérieur similaire à la version précédente, mais avec quelques modifications (quatre galerie et ordres de stades, au lieu des cinq étapes, l'auditoire a, tous avec pour conséquence une diminution des places) et la construction de la « complètement nouveau extérieur.

Réouverture le 22 avril 1979[modifier | modifier le code]

Enfin, dix-neuf ans après le premier projet, vingt-neuf ans après l'acquisition par la municipalité et trente-deux ans après la clôture, pour un coût total de près de trois milliards et demi de lires, le théâtre a été rouvert à nouveau la ville était 22 avril 1979. le spectacle inaugural a été l'un des chefs-d'œuvre de Carlo Goldoni: l'aubergiste dirigé par Giancarlo Cobelli mettant en vedette Carla Gravina avec Gabriele Ferzetti. Le spectacle a fait une tournée réussie de trois ans et il a été également produit une version de télévision qui peut encore être vu sur DVD.

Depuis plus d'une décennie, la ville de Venise en dirige le théâtre de, confier progressivement à plusieurs administrateurs, dont l'inoubliable Giorgio Gaber, jusqu'à ce que, à partir de 1992 jusqu'à aujourd'hui, a été remise à la direction du Teatro Stabile del Veneto.

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Les Palais Treves de Bonfili à Venise et ses Arcenaux[modifier | modifier le code]

https://it.wikipedia.org/wiki/Alberto_Treves_de_Bonfili#I_palazzi_Treves_de_Bonfili_a_Venezia

Traduction[modifier | modifier le code]

À Treves, afin de faciliter les échanges, la République a accordé un Palais nobliliaire sur le canal de la ghetto novissimo, un entrepôt facile d'accès où transport marchandises déchargées des navires de la compagnie qui étaient les plus « parcellonisti ».

En 1829, puis la famille Treves a acheté sur le Grand Canal le Palais Emo (del Monopola) à San Moisè. Dans une salle, dont la paroi extérieure a été démolie et reconstruite pour les faire entrer, sont des statues colossales de Hector, Ajax et Antonio Canova. Le palais est maintenant le Marquis Alberto Berlingieri (traduit: Fonseca), un des six petits-enfants du Baron Alberto Isaac Treves de Bonfili.

Certains il est encore appelé Treves de Bonfili comme bien un vieil entrepôt (dont la façade a été radicalement restaurée au XIXe siècle, d'ailleurs) sur le rio di San Lorenzo, entre les églises de San Lorenzo et San Giorgio dei Greci. Le jardin adjacent, peut-être en partie identifiable avec celui de moniales mentionnées par Giacomo Casanova est remarquable.

Commons wikimedia : Palais Badoer Tiepolo, Barozzi Emo Treves de Bonfili et Bauer Grünwald[modifier | modifier le code]

Rédaction[modifier | modifier le code]

Le ghetto est une des plus petites îles individuelles de Sestiere Cannaregio et est situé relativement au centre
Carte du ghetto de Venise, 1905

Afin de faciliter leur commerce, la République concéda à la famille Trèves un Palais nobiliaire sur le canal du Ghetto Nuovissimo - Rio di Ghetto Nuovo au sud de l'île de Ghetto Nuovo le Ghetto de Venise - et un entrepôt facile d'accès pour transporter les marchandises déchargées des navires de la compagnie qui étaient les plus parcellés (voir aussi Fontego dei Tedeschi).


Puis, en 1829, la famille Treves a acquit sur le Grand Canal le Palais Emo conçut par l'architecte Bartolomeo Manopola [38] à l'angle du Rio de San Moisè.

«  L’actuel palais, appelé aujourd’hui palais Barozzi Emo Treves de Bonfili, se dresse en un lieu où existait la Ca’ Grande (la Grande Maison) qui fut construite en 1164 pour Domenico Barozzi. Ce premier palais était en face d’un autre édifice, appartenant également aux Barozzi et qui fut rasé en 1310 à la suite de la participation de deux membres de la famille dans la conspiration de Tiepolo, voulant assassiner le doge Pietro Gradenigo alors en guerre contre le pape. Les Barozzi conservèrent ce palais dans leur descendance jusqu'en 1827, date à laquelle il fut vendu à la famille Treves.

Le palais Bauer Grünwald, aujourd’hui transformé en hôtel de luxe, appartenait également aux Barozzi.  »

Dans une salle, dont la paroi extérieure a été démolie et reconstruite pour les faire entrer, sont conservées les statues colossales de Hector, Ajax et de leur auteur Antonio Canova. Le palais est maintenant propriété du Marquis Alberto Berlingieri , un des six petits-enfants du Baron Alberto Isaac Treves de Bonfili.

«  Le plan de Venise de Barbari en 1500 montre que le palais était crénelé, à plusieurs étages et garni de deux tours carrées. Au début du XVIIe siècle, la famille décida d’en modifier l’aspect et confia cette restructuration à l’architecte Bartolomeo Manopola.

Au XIXe siècle, les banquiers Treves ne modifièrent qu'à peine l'extérieur du palais, se contentant seulement de restructurer l'annexe sur le Grand Canal restée inachevée depuis l'intervention de Manopola et où ils installèrent leur riche collection d'œuvres d'art. Sans en changer vraiment la disposition, la famille Treves fit redécorer et remeubler entièrement la demeure dans un goût néoclassique. Deux statues de Canova furent installées dans une antichambre monumentale faisant face au Grand Canal.  »

Certains le nomme Treves de Bonfili en tant que entrepôt antique, dont la façade a d'ailleurs été radicalement restaurée au XIXe siècle [39], situé sur le rio di San Lorenzo, entre les églises de San Lorenzo et San Giorgio dei Greci. Le jardin adjacent, qui peut-être en partie identifiable avec celui de moniales mentionnées par Giacomo Casanova, est remarquable.

Le testament du doge Mocenigo, rédigé le 10 mars 1423[modifier | modifier le code]

https://oliaklodvenitiens.wordpress.com/2015/03/10/le-testament-de-tommaso-mocenigo/

«  Le testament du doge Mocenigo, rédigé le 10 mars 1423, est considéré comme un des documents les plus importants de l’époque parce qu’il exalte la force et la puissance de Venise établissant la liste des moyens et des richesses de la ville et nous donnant une bonne description de la vie quotidienne.

Le commerce représente une valeur annuelle de 10 millions de ducats à l’exportation et autant à l’importation. La cité, longtemps sans arrière-pays, importe d’abord des denrées alimentaires (céréales, viande, huile et vin) qui font l’objet d’un monopole extrêmement rigoureux de l’État. L’État se comporte comme une gigantesque compagnie de navigation : tous les ans, il affrète, sous l’autorité du Sénat, quinze à vingt vaisseaux de 300 à 500 tonneaux, navigant toujours groupés par deux ou quatre, vers l’Orient, l’Égypte, l’Afrique du Nord, et de plus en plus vers les ports anglais et flamands (Bruges). Peu à peu la marine se perfectionne et on voit apparaître l’imposante galée (galera di mercato) et la coque à voilure carrée, l’usage de la boussole. Des marchandises rares enrichissent la ville : épices (poivre), soie et coton d’Orient ou d’Égypte, sucre, métaux de Saxe et de Thuringe. Aux côtés des gros vaisseau circulent plus de 3000 navires plus petits et 45 galères ainsi qu’une flottille de péniches et de barques acheminant les cargaisons des gros bateaux au port : le principe de la « Dominante » implique que toutes les marchandises doivent transiter par le port de Venise, mais tous les bateaux ne peuvent y entrer.

La mer fait vivre au moins 36 000 marins, ceux de l’État et des compagnies privées, qui fonctionnent selon le système de la colleganza ou contrat d’association : un associé apporte les deux tiers des capitaux, l’autre le tiers restant et son activité, les bénéfices sont répartis également. Les constructions navales emploient peut-être 16 000 ouvriers (dont 3000 charpentiers et 3 000 calfats), répartis en seize corporations ou arti. Une galère peut être construite en une seule journée. L’Arsenal, clé de la puissance vénitienne selon Dante, est de loin la plus grande concentration laborieuse de toute l’Europe préindustrielle.

Aux XIVème siècle et XVème siècle, le textile occupe 16 000 ouvriers (soie d’Égypte ou de Chine, coton de Syrie et laine). Le cuir, le bois, l’orfèvrerie, la métallurgie, le travail de l’ivoire, du verre (Murano), sont des activités importantes.  »

Où l’on évoque le salaire des calafati dell’Arsenale[modifier | modifier le code]

https://oliaklodvenitiens.wordpress.com/2015/03/06/ou-lon-evoque-le-salaire-des-calafati-dellarsenale/

06 mar 2015 Où l’on évoque le salaire des calafati dell’Arsenale par oliaiklod dans Venise Tags:6 marzo 1460

«  Le calfatage est l’action qui consiste à remplir à force les espaces entre les planches constituant le revêtement extérieur de la coque (bordage) et du pont d’un bateau dans le cas d’une construction à franc bord. [...] Ainsi, le 6 mars 1460 est promulguée une loi qui, entre autres choses, déclare que le salaire minimum d’un calfat de l’Arsenal est de cinquante Ducats d’or pour une demi-année.  »

Palais, Parc et Jardin Treves de Bonfili à Padoue[modifier | modifier le code]

Parco Treves de Bonfili De Wikipedia Abbozzo Padova Questa voce sugli argomenti architetture d'Italia e Padova è solo un abbozzo. Contribuisci a migliorarla secondo le convenzioni di Wikipedia. Il Parco Treves de Bonfili è un grande parco di Padova, progettato in stile romantico all'inglese dall'architetto Giuseppe Jappelli, su commissione dei Treves de Bonfili, realizzato fra il 1829 ed il 1835.[1]

Storia[modifier | modifier le wikicode] Nel 1942-43 gli eventi bellici hanno provocato la demolizione di buona parte dei manufatti ornamentali e l'abbattimento degli alberi. Il parco è stato, in quel periodo, pressoché abbandonato ma negli anni ‘50 è stato preso in consegna dal Comune di Padova che, dopo un'essenziale sistemazione, lo ha aperto al pubblico.

Il restauro, condotto tra il 1996 ed il 2002 dall'arch. Paola Bussadori, coadiuvata dall'ing. Giuseppe Ghirlanda, ha comportato, oltre all'inserimento di nuovi alberi, pregevoli per varietà e colore del fogliame, la creazione di zone di interesse storico-botanico (come la collezione di rose antiche e moderne, di ortensie, di rododendri e azalee) e ha inoltre messo in luce la pavimentazione in coccio-pesto dell'ex serra delle palme, l'alveo della "cavallerizza", l'imbarcadero, la scaletta della "lavandaia" ed altri importanti reperti dei manufatti jappelliani demoliti nel periodo bellico e postbellico.[2]

Note[modifier | modifier le wikicode] ^ Parco Treves de' Bonfili | Turismo Provincia di Padova, su www.turismopadova.it. URL consultato il 23 maggio 2015. ^ Comune Padovanet, Visite guidate al parco Treves - Comune di Padova, su www.padovanet.it. URL consultato il 23 maggio 2015. Padova Portale Padova: accedi alle voci di Wikipedia che trattano di Padova Catégorie : Padova| [altre]

Traduction[modifier | modifier le code]

Treves de Bonfili Parc

De Wikipedia Sketch Padoue Cette architecture d'entrée sur les sujets de l' Italie et Padoue est juste un croquis . Contribuer à améliorer selon les conventions de Wikipedia .

Le Treves de Bonfili Parc est un grand parc de Padoue , conçu dans un style anglais romantique par l' architecte Giuseppe Jappelli , commandé par Treves de Bonfili , construit entre 1829 et 1835. [1]

Storia [modifier | modifier le wikicode]

Dans la guerre 1942-1943, ils ont causé la démolition de la plupart des articles de passementerie et l'abattage d'arbres. Le parc était, à ce moment-là, mais pratiquement abandonné dans les années 50 a été repris par la ville de Padoue, après un hébergement essentiel, ouvert au public.

La restauration, achevée entre 1996 et 2002 par l'architecte. Paola Bussadori, assisté par Ing. Giuseppe Ghirlanda, a donné lieu , en plus de l'inclusion de nouveaux arbres, précieux pour leur variété et la couleur du feuillage, la création de zones d'intérêt historiques et botaniques (comme la collection de roses anciennes et modernes, hortensias, rhododendrons et azalées) et il a également mis en lumière le pavé dans crock-pesto ancienne serre des palmiers, le lit du « passager clandestin », l'atterrissage, l'échelle du « blanchisseuse » et d' autres conclusions importantes des objets jappelliani démoli pendant la guerre et l' après-guerre. [2]

Note [modifier | modifier le wikicode]

^ Parc de Treves' Bonfili | Tourisme Province de Padoue , sur www.turismopadova.it . Récupéré le 23 mai 2015 . ^ Ville Padovanet, des visites guidées du parc Treves - Ville de Padoue , sur www.padovanet.it . Récupéré le 23 mai 2015 .

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Catégorie : Padoue| [Autre]

Traduction corrigée[modifier | modifier le code]

À Padoue, en Italie, il y avait un palais avito , remarquable surtout pour le jardin : ce dernier, conçu par l'architecte vénitien Giuseppe Jappelli et réalisé vers 1820, s'inspire du jardin paysagé romantique à l'anglaise, caractérisé par un enchevêtrement de ruelles et sentiers sinueux. Actuellement propriété de la municipalité de Padoue, l'entrée est situé sur la via B. D'Alviano; s'ouvrant sur un espace d'une superficie de 9600 m2.

Palais, Parc Treves de Bonfili et Jardin botanique à Padoue[modifier | modifier le code]

À Padoue, en Italie, il y avait un palais héréditaire [40], remarquable surtout pour son jardin : ce dernier, conçu par l'architecte vénitien Giuseppe Jappelli et réalisé vers 1820, s'inspire du jardin paysagé romantique à l'anglaise, caractérisé par un enchevêtrement de ruelles et sentiers sinueux. Actuellement propriété de la municipalité de Padoue, l'entrée est situé sur la via B. D'Alviano; s'ouvrant sur un espace d'une superficie de 9600 m2.

Parc Treves de Bonfili et Jardin botanique[modifier | modifier le code]

Le Parc Trèves de Bonfili, réalisation de 1829 à 1835 [41], jouxte le Jardin botanique de Padoue lui-même «fondée en 1545» «par Francesco Bonafede sur commande du Sénat de la République de Venise pour la culture des plantes médicinales».

Parc Treves de Bonfili: «giardino monumentale realizzato da Giuseppe Jappelli a Padova fra il 1829 ed il 1835.»


Généalogie[modifier | modifier le code]

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Baron Giuseppe Treves[modifier | modifier le code]

  • Baron Giuseppe Trèves (1759-1825), époux de Benetta Bonfili (1766-1800).
    • Baron par Napoléon Bonaparte, «Baroni del Regno», le 17 septembre 1811, confirmé en 1812 [42]

Giacomo Treves de Bonfili[modifier | modifier le code]

  • Giacomo Trèves de Bonfili (1788-1885), époux de Enrichetta Trèves (1790-1858) Noble Cavalier de l'Empire [43]
    • fils du Baron Giuseppe Trèves (1759-1825) et de Benetta Bonfili (1766-1800),
    • «mentre il predicato de' Bonfili fu concesso dal governo austriaco a Giacomo insieme con il titolo di Nobile Cavaliere dell'impero.» [44]

Le Jardin Treves de Bonfili[modifier | modifier le code]

Baron Giuseppe Treves de Bonfili[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Baron Jacques Trèves de Bonfili[modifier | modifier le code]

  • Baron Jacques Trèves de Bonfili (1845-1916), dit Camille, époux de Julia d'Almbert (1856-)
    • «marié le 27 juin 1876 à Paris 16e»[46]
    • «domicilié avec ses père et mère à Padoue», «fils majeur de M. le baron Joseph Treves de Bonfili et de Bella dite Adèle Todros»[47]
    • frère aîné du baron Alberto Trèves de Bonfili

Distinctions honorifiques et Titres de noblesse[modifier | modifier le code]

Distinction accordé à Giuseppe Treves époux de Benetta Bonfili[modifier | modifier le code]

Baron du Royaume d'Italie de Napoléon Ier[modifier | modifier le code]

  Baron du Royaume d'Italie de Napoléon Ier

Distinction accordé à Giacomo Treves époux de Enrichetta Treves fils du baron Giuseppe Treves et de la baronne Benetta Bonfili[modifier | modifier le code]

noble Chevalier de l'ordre impérial accordé par "le gouvernement autrichien" ou l'empereur d'Autriche[modifier | modifier le code]

  noble Chevalier de l'ordre impérial accordé par "le gouvernement autrichien" ou l'empereur d'Autriche

Autre source externe http://www.phalerae.org/Autriche/index.html

Distinction accordé à Giuseppe Treves de Bonfili époux de Adele Todros fils du cavaliere Giacomo Treves et de Enrichetta Treves[modifier | modifier le code]

Baron du Royaume d'Italie[modifier | modifier le code]

  Baron du Royaume d'Italie

«Cavaliere» Treves nobile de Bonfili di Venezia[modifier | modifier le code]

  Giuseppe cavaliere Treves nobile de Bonfili di Venezia

  (it) Todros, Nella occasione delle faustissime nozze di Elia Todros di Torino con Amalia Treves, nob. de Bonfili di Venezia, e di Giuseppe cav. Treves, nob. de Bonfili di Venezia con Adele Todros di Torino., 1844,  (OCLC 253044323)

Distinction accordé à Jacques Treves de Bonfili époux de Julia d'Almbert fils du cavaliere Giuseppe Treves de Bonfili et de Adele Todros[modifier | modifier le code]

Baron du Royaume d'Italie[modifier | modifier le code]

  Baron du Royaume d'Italie

Distinction accordé à Alberto Treves de Bonfili époux d'Ortensia Vicentini fils du cavaliere Giuseppe Treves de Bonfili et de Adele Todros[modifier | modifier le code]

Baron du Royaume d'Italie[modifier | modifier le code]

  Baron du Royaume d'Italie

Commandeur[modifier | modifier le code]

[[file:Commendatore SSML Regno BAR.svg|80px]] Commandeur de l’[[Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare]]

réf. Ordre Militaire et Religieux des Saints Maurice et Lazzare

Onorificenze[modifier | modifier le code]

{{Onorificenze | immagine = Commendatore SSML Regno BAR.svg | nome_onorificenza = Commendatore dell'Ordine dei Santi Maurizio e Lazzaro | collegamento_onorificenza = Ordine dei Santi Maurizio e Lazzaro | motivazione = | luogo = }}


Palette[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Baron de l'Empire
Baron du Royaume d'Italie (1805-1814)
Noblesse du Royaume d'Italie (1805-1814)
Armorial de l'Italie napoléonienne

Commémoration Sénatoriale de la XXVe législature du royaume d'Italie[modifier | modifier le code]

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Sur les autres projets Wikimedia :

Le Sénat du Royaume, actes parlementaires, débats du 13 juin 1921[modifier | modifier le code]

Actes parlementaire-commémoration

Fabrizio Colonna, vice-président


Mesdames et Messieurs ! Pertes douloureuses ont frappé au Sénat au cours de cette période de clôture des débats. [...]

À Venise, dont il avait tant aimé, le 11 mai est décédé Baron Alberto Treves de Bandele après une maladie grave qui a longtemps miné il fibre. Né à Padoue le 13 septembre 1855, il appartenait à une de ces anciennes familles vénitiennes qui avaient plus contribué à la prospérité économique et du commerce de la République de Saint-Marc.

Il étudie le droit à Padoue se rendit à la carrière diplomatique pour laquelle ils se sentaient apporté et entreprend, d'abord comme un gardien de la légation à Berne, puis à l'ambassade à Constantinople. Mais la perte de son père tronqué brusquement sa carrière, qui malgré la promis un avenir brillant, puisqu'il a été contraint d'assumer la direction de la Banque paternelle prospère à Venise, Centre d'affaires important.

Et dans le domaine financier et industriel Baron Treves comporté du travail très précieux depuis lors : qu'il, plein d'esprit, a donné un élan puissant à grand nombre d'entreprises qui ont été la principale source de richesse nationale, y compris la navigation à vapeur société vénitienne.

De nature modeste et de bons sentiments, de son immense fortune, qu'il a gagné de plus comme un moyen de faire le bien, se consacrer en silence plus éclairée des formes de la charité.

En politique, le Baron de Treves était un libéral honnête. Il a servi pendant de nombreuses années au Conseil municipal de Venise et de Venise, il a été député, de la 17e à la XIXe législature.


Nommé sénateur le 4 mars 1904, sa mauvaise santé, particulièrement en ces derniers temps, ne l'autorisa pas à être assidus dans notre travail. La perte de la collègue bien-aimé immature Nous pleurons sincèrement et nous lui envoyons une salutation de mémoire s'installe, sa famille exprimer notre sympathie.

(Approbations). [...]

Croix, ministre de l'instruction publique. J'ai demander à parler.

PRÉSIDENT. Il a des facultés.

Croix, ministre de l'éducation. Le gouvernement se joint à la digne et commémoration complète qui fait de la présidence du Sénat sénateurs sont morts dans cette gamme de travaux parlementaires : lourdes pertes ont frappé au Sénat et la vie nationale dans toutes ses parties. Parce que, comme nous l'avons entendu de Monsieur le Président, [...] ; Le sénateur Treves a été remarquable représentant de la vie industrielle de l'Italie.


Le Sénat du Royaume, actes parlementaires. Débats, 13 juin 1921.

Senato della Republica Archivio Storico dell'Italia liberale : Alberto Treves de Bonfili

Palettes[modifier | modifier le code]

Chronologies[modifier | modifier le code]

Législature Italienne[modifier | modifier le code]

Gouvernements du Royaume d'Italie[modifier | modifier le code]

Doges de Venise[modifier | modifier le code]

Papes de l'Église catholique[modifier | modifier le code]

Histoire des Juifs en Europe, Judaïsme et culture juive[modifier | modifier le code]

Histoire de la Rome antique[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Alberto Treves de Bonfili
  2. légation «Représentation diplomatique auprès d'une puissance où il n'y a pas d'ambassade» le petit Robert
  3. Francese Giunti Pocket
  4. Modèle:Augusta Treverorum
  5. Byzance :
    Byzance était une ancienne cité grecque, capitale de la Thrace, située à l’entrée du Bosphore.
    La cité a été reconstruite par Constantin et, renommée Constantinople en 330 ap. J.-C.,
    elle est devenue la capitale de l’Empire romain, puis de l’Empire romain d'Orient
    (rebaptisée Istanbul en 1930)
  6. Cfr. l'accezione 1 del lemma «dizionario» sul sito Treccani.it.
  7. Ouvrages Todros :
  8. Nella occasione delle faustissime nozze di Elia Todros di Torino con Amalia Treves, nob. de Bonfili di Venezia, e di Giuseppe cav. Treves, nob. de Bonfili di Venezia con Adele Todros di Torino.
    • (it) Todros, Nella occasione delle faustissime nozze di Elia Todros di Torino con Amalia Treves, nob. de Bonfili di Venezia, e di Giuseppe cav. Treves, nob. de Bonfili di Venezia con Adele Todros di Torino., 1844, (OCLC 253044323)
  9. Per le duplici auspicatissime nozze Treves dei Bonfil - Todros
  10. Ouvrages de Léon Todros :
  11. Cercles financiers ; projet d'une institution générale de crédit en France, par Léon Todros
  12. Treccani, Giovanni (1877-1961) forme internationale :
    Identifiant international : ISNI 0000 0000 7970 6188, cf. http://isni.org/isni/0000000079706188
    Notice n° : FRBNF12308629 (auteur)
    ID VIAF12375309 (Personne) permalien http://viaf.org/viaf/12375309
    Type : texte imprimé, monographie Auteur(s) : Istituto della enciclopedia italiana Titre(s) : Enciclopedia italiana di scienze, lettere ed arti [Texte imprimé] / Istituto della Enciclopedia italiana Publication : Roma : Istituto della Enciclopedia italiana, 1929 - . Description matérielle : 31 cm Sujet(s) : Encyclopédies et dictionnaires italiens Notice n° : FRBNF34307954
    • (it) Enciclopedia italiana di scienze, lettere ed arti, (BNF 34307954)
    • sur le site VIAF : Dizionario enciclopedico italiano RERO (Suisse)
    http://viaf.org/viaf/sourceID/RERO%7Cvtls000163566 (add)
    http://viaf.org/viaf/sourceID/RERO%7Cvtls000163566 (delete)
    http://viaf.org/viaf/sourceID/RERO%7Cvtls000163566 (add)
  13. «La Chambre des députés (en italien, la Camera dei deputati) est la Chambre basse du Parlement italien, élue au suffrage universel direct, comme le Senato della Repubblica (Sénat de la République), qui dispose des mêmes prérogatives, l'Italie ayant pour cadre parlementaire un bicamérisme paritaire.
    Les précédents hémicycles de la Chambre se trouvaient au sein du palais Carignan à Turin (1861-1865), puis au palais Vecchio à Florence (1865-1871). Depuis 1871, la Chambre siège au palais Montecitorio à Rome, devenue capitale du pays.»
    • Le président de la chambre des députés :
    «Le président de la Chambre des députés (Presidente della Camera dei deputati) est élu par ses pairs à la majorité des deux tiers de l'Assemblée. C'est le troisième personnage de la République, suivant le président de la République et le président du Sénat de la République.»
    • Composition du bureau :
    Fonctions : président, vices-présidents, questeurs, secrétaires
    Noms des députés
    Partis
    Circonscriptions : 7e Vénétie ...
    «Le Sénat du royaume d'Italie était l'une des deux Chambres du Parlement du Royaume d'Italie, nommée entièrement par le roi (exclusivité royale).»
    «Le Sénat du royaume naît en 1861, à la suite de l'unification de l'Italie, comme une évolution directe de la Chambre haute du royaume de Sardaigne, par l'introduction d'éléments issus des territoires conquis lors de la Deuxième Guerre d'Indépendance et après l'expédition des Mille.»
    «La nomination comme Sénateur du Royaume est à vie et garantit des privilèges légèrement supérieurs à l'élection à la députation. Cependant, en peu de temps, tout en restant formellement royale, la nomination est souvent proposée par les présidents du Conseil, qui ont toujours la grande possibilité d'influencer fortement les choix du roi et, par des fournées de nouveaux sénateurs, de rendre plus stable le consensus.
    En principe, la création de cette institution répond à l'intention de donner naissance à un bicamérisme paritaire (en référence à l'importance des deux chambres) et différencié (les deux chambres devaient avoir plusieurs fonctions en se partageant le pouvoir législatif), inspiré par la loi française de 1830.
    En pratique, le fait que la Chambre des députés est élue par un nombre croissant de personnes, conduit les gouvernements à préférer aller devant la Chambre plutôt qu'au Sénat lorsqu'ils doivent recevoir un soutien politique.»
    «Après le référendum institutionnel du 2 juin 1946, les fonctions du Sénat du Royaume - qui n'était plus convoqué depuis le 17 mai 1940 - cessent par effet du décret du 24 juin 1946 n. 24. Il est dissous par la loi constitutionnelle du 14 novembre 1947 n. 3 (1), disparaissant donc définitivement, bien que déjà pendant les dernières années du régime fasciste il avait perdu presque tous ses pouvoirs. Il est finalement remplacé par le Sénat de la République, dont les premières élections se tiennent le 18 avril 1948. Cependant, les anciens sénateurs du Royaume garderont à vie le titre de sénateur.»
    «Le Sénat de la République (en italien, Senato della Repubblica) est la Chambre haute du Parlement de la République italienne, élue au suffrage universel direct par les Italiens ayant au moins 25 ans pour des sénateurs ayant au moins 40 ans. Cinq sénateurs à vie y siègent à ce jour.
    Constitué de 315 sénateurs, élus pour cinq ans sur une base régionale (309 sénateurs, dans chacune des 20 régions d'Italie) ou dans une circonscription particulière pour les 6 sénateurs représentant les Italiens à l'étranger, il dispose des mêmes prérogatives que la Chambre basse, la Chambre des députés (Camera dei deputati), l'Italie étant un régime parlementaire au bicamérisme parfait.»
  14. it:Leone Wollemborg :
    • « Ce sont les années pendant lesquelles Padoue, une ville considérée comme un bastion de la tradition catholique, se repose, volontiers, sur deux illustres hommes d'affaires et de culture, d'origine hébraïque, comme Wollemborg, et le Baron, vénitien, Alberto Treves de Bonfili.»
    • Voir aussi Scandale de la Banca Romana : en décembre 1892 «Le scandale a entrainé au même moment deux autres banques italiennes dans la débacle, le Crédit mobilier italien et la Banque générale. La Banca Romana fut mise en liquidation.»
  15. Giovanni Giolitti originaire de Dronero
    • it:Dronero : « De la seconde moitié du XIXe siècle au début du XXe siècle la région a enregistré une nouvelle croissance commercialle et industrielle avec la participation de Giovanni Giolitti (Mondovi, 27 octobre 1842 - Cavour, 17 juillet 1928), dont la famille était originaire de la vallée Maira. Entré au Parlement en 1882 il a été jusqu'à sa mort le représentant adjoint de la circonscription de Dronero. Dans ces années, il a construit le nouveau pont sur la Maira et le chemin de fer maintenant disparue Busca-Dronero. »
    • Antonio Salandra : «Il devient premier ministre du deuxième gouvernement de la XXIVe législature du royaume d'Italie après la chute du gouvernement de Giovanni Giolitti le 21 ou 29 mars 1914, choisi par Giolitti qui préside la majorité au parlement. Salandra se détache rapidement de Giolitti sur la question de la participation à la Première Guerre mondiale. Alors que Giolitti se déclare favorable à la neutralité, Salandra et son ministre des affaires étrangères Sidney Sonnino soutiennent l'intervention aux côtés de la Triple-Entente. À Rome, le 3 mai, Antonio Salandra dénonce la Triplice, traité de 1882 avec l'Autriche-Hongrie et l'Allemagne, en vue de préparer l'entrée en guerre de l'Italie. Le Parlement, qui n'a pas été consulté, s'insurge et renverse le gouvernement le 5 novembre 1914. Le roi Victor-Emmanuel III, qui est favorable à l'intervention, rappelle Salandra et déclare la guerre à l'Autriche-Hongrie et à l'Allemagne.».
    • Victor-Emmanuel III d'Italie : «Lors de la Première Guerre mondiale il soutient la position de neutralité de l'Italie. L'irrédentisme politique concernant les provinces du Trentin, de l'Istrie et la ville de Trieste le décide à abandonner la Triple Alliance pour combattre l'Autriche-Hongrie au côté des alliés. Il vient en France et accompagne Albert Ier, le roi des Belges, dans les casernes et bases militaires.
    La victoire de 1918 permet à l'Italie d'annexer des territoires comme le Trentin, le Haut-Adige, Trieste et l'Istrie mais pas la Dalmatie, ce qui l'empêche de devenir maîtresse de l'Adriatique et rend la paix impopulaire.
    Dans le contexte de crise économique et politique d'entre-deux-guerres, le pays connaît une série d'agitations sociales que les différents gouvernements n'arrivent pas à endiguer, portant les fascistes au pouvoir.»
  16. prénoms : Alberto Isaac Treves de Bonfili
    • République de Venise : «Lors des Croisades, Venise est un lieu d’escale pour les croisés et développe un axe de commerce Nord-Sud (avec les Anglais et les Flamands). Entre le XIe et XIIIe siècles, Venise émerge puis se développe au XIVe siècle, via la « Bourse du Rialto », qui facilite le développement d'une flotte commerciale et la quadruplement de la superficie de l'Arsenal de Venise, véritable « État dans l'État », sur lequel la cité construit sa richesse qui permet de développer son importance politique.
    La Sérénissime, avec ses institutions aristocratiques remarquablement stables sur près d'un millénaire, contribue à son rôle politique essentiel.
    À partir du XVIe siècle, elle connaît une phase de déclin économique (le commerce maritime s'est déplacé de la Méditerranée vers l’Atlantique), politique et de régression territoriale quelque peu occultée par une extraordinaire floraison artistique, avant de disparaître, en 1797, vaincue par Napoléon Bonaparte, général d'une république révolutionnaire par rapport au modèle vénitien. La Sérénissime, avec ce qui restait de son domaine territorial, passe alors par le traité de Campo-Formio sous la souveraineté autrichienne.»
    • Arsenal de Venise : «L'origine du terme « arsenal » proviendrait de l'arabe « Dar-al sina » qui signifie « atelier ». Un chantier naval existe sur ce site depuis le VIIIe siècle alors que Venise est un fournisseur de l'Empire byzantin. L'arsenal actuel est l'un de ceux qui à cette époque réparent et entretiennent les vaisseaux civils et militaires de la flotte vénitienne.
    Le développement du site commence en 1143 après la création du Grand conseil de Venise et se poursuit en 1169 après la réunion des 60 paroisses existantes en six quartiers d'une même ville. En 1204, l'arsenal fabrique les navires transportant les chevaliers de la quatrième croisade. Entre 1304 et 1325, soit un siècle plus tard, le site s'agrandit avec L'Arsenale nuovo qui quadruple sa surface1, après le retour de Marco Polo en 1295 et la création en 1297 d'un système d'enchères, l'Incanto des galées du marché, décrit par l'historien Fernand Braudel. En 1473, l'arsenal s’agrandit encore avec l'Arsenal nuovissimo.»
    • Marco Polo : «Partis de Venise avant la naissance de Marco, Nicolo et Matteo Polo achètent vers 1255 des pierres précieuses à Constantinople (alors sous administration vénitienne) et en Crimée (où résidait leur frère), puis vont les vendre à la cour du khan de Russie, sur la Volga, où ils restent un an. Ils poussent jusqu'à Boukhara (alors capitale perse d'Asie centrale) où ils restent trois ans. Puis un enquêteur-messager de Kubilai ou de l'ilkhan d'Iran les invitent à se présenter au grand khan, en qualité d'Européens.»
  17. du Drapeau de la Grande-Bretagne. Grande-Bretagne au Drapeau du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande
  18. «Antoniotto de Botta-Adorno fut diplomate, militaire et homme d'État au service des Habsbourg d'Autriche. Il fut successivement ambassadeur à Berlin, puis à Saint-Pétersbourg avant de prendre la tête des armées impériales en Italie (prise de Gênes en 1746) lors de la guerre de Succession d'Autriche. Après la paix d'Aix-la-Chapelle (octobre 1748), il fut désigné comme ministre plénipotentiaire aux Pays-Bas auprès du gouverneur général, Charles de Lorraine. Il arriva à Bruxelles en avril 1749. Les Pays-Bas sortant de plusieurs années de guerre (celle de la succession d'Autriche), Botta-Adorno s'ingénia à y redresser l'armée et les finances ainsi qu'à assurer un minimum de bien-être aux habitants. Il fit notamment construire le canal Gand-Bruges et relança quelque peu le port d'Anvers. C'est avec regret qu'on apprit son départ pour l'Italie où il avait obtenu sa nomination (mai 1753). Il quitta Bruxelles en octobre et fut remplacé au poste de ministre plénipotentiaire par le comte de Cobenzl. Il fut par la suite grand-maître de la maison de Léopold, grand-duc de Toscane. Frédéric le Grand de Prusse le cite dans ses mémoires avec des propos peu élogieux quant au complot dont Botta avait été l'origine, à la cour russe, à l'instigation de la France, et qui avait mené à la déportation en Sibérie de plusieurs personnalités. Cette "machination" lui avait valu un rejet des cours de Prusse, de Hongrie et d'Autriche. »
  19. République_de_Venise # Perte_de_la_suprématie_commerciale_et_maritime_(XVIe siècle-1797)
    République_de_Venise#Perte_de_la_suprématie_commerciale_et_maritime_(XVIe siècle-1797)
    Royaume d'Espagne#Grande puissance d'Europe (XVIe siècle)
    • Andrea Tron
    cf. référence group
  20. Giuseppe Treves :
      «Giuseppe Treves, Padoue, Électeur au collège des commerçants, Président de la Chambre de commerce de Venise, (D) 17 septembre 1811, (LL. PP.) 5 mai 1812»
    
      « Le titre de baron de l'Empire est accordé au président de la Cour des comptes, aux évêques, aux maires de 37 bonnes villes »
    
  21. Ordre(s) de l'Empire d'Autriche ou impérial(aux) autrichien(s) :
    http://www.phalerae.org/Autriche/index.html
  22. de l'illustre République 697-1797 à l'éphémère "nouvelle" République 1948-1949
      «Le Traité de Campo-Formio signé le 18 octobre 1797 entre la France et l’Empire d'Autriche, livre l’ex-« Sérénissime République » à ces derniers qui la transforment aussitôt en une province de leur Empire.»
      «Il a existé une éphémère République de Saint-Marc en 1848-1849 créée à la suite de l'insurrection de la ville contre le joug autrichien
      «La république de Saint-Marc a été un État créé à Venise suite à l'insurrection de la ville contre le gouvernement autrichien le 17 mars 1848. Les deux patriotes Daniele Manin et Niccolò Tommaseo, qui se trouvaient enfermés dans les prisons autrichiennes, sont libérés et prennent la direction d'un nouveau gouvernement provisoire proclamé le 22 mars, dont Daniele Manin devient le président.
      La république, qui fait appel au nom historique de République de Venise, eut une durée brève, Venise étant réoccupée par l'armée autrichienne le 22 août 1849, après une résistance héroïque qui dura 17 mois.»
    
  23. coquille: les deux Joseph (Giuseppe) sont bien le père et le fils de Giacomo
  24. coquille: petit-fils et non neveu, microsoft translator traduit nipote en neveu et petit-fils en nipote
  25. Samuel Schaerf (cf. l'identità ritrovata)
  26. Commentaire ironique du sénateur Treves, en effet il n'y avait peut-être pas encore de clergé dans la religion hébraïque à cette époque:
      « La question, très sensible, des rapports entre Napoléon et les juifs, divise les historiens comme les juifs de France depuis deux siècles 1. 
      En organisant le judaïsme français sur un modèle centralisé et hiérarchisé, le consistoire, Napoléon l'a intégré dans le régime des « cultes reconnus ». Mais alors que la Révolution et le Code civil avaient garanti l'égalité juridique de tous les citoyens, Napoléon impose aux juifs en 1808 des décrets discriminants, dont le décret du 17 mars 1808, qualifié de « décret infâme (en) », réglementant l'usure, interdisant l'entrée en France des juifs étrangers et interdisant aux juifs français le remplacement lorsqu'ils tiraient un mauvais numéro à la conscription 2.
      Certains louent Napoléon d'avoir reconnu et structuré le judaïsme à l'égal des autres cultes, et d'avoir imposé ces progrès en Europe, aux applaudissements des juifs d'Allemagne ou d'Italie. D'autres, au contraire, y perçoivent une prise de contrôle par l'État et une « assimilation par contrainte » 1. »
    
  27. à propos du partenaire Cohen :
    • copie dans wikiquote : phrase corrigée et enrichie dans l'article wikiquote Utilisateur:Fagmt/Alberto Trèves de Bonfili
    • peut-être l'historien it:Achille Coen (1844-1921)
    • peut-être Giorgio Silvio Coen
    http://www.treccani.it/enciclopedia/giorgio-silvio-coen_(Dizionario-Biografico)/
    «COEN, Giorgio Silvio. - Il est né à Venise le 24 avril. 1873 par Julius et Palmira Finzi, ferraresi. À Venise, il a pris la licence, physico-mathématiques instituts techniques en 1890. Diplômé, puis à Padoue, en génie civil le 23 ag. 1895. Comme un ingénieur a été très intéressé par les caractéristiques particulières Construction vénitienne, se consacrant à la restauration et la rénovation de bâtiments anciens et la construction de plusieurs bâtiments modernes, y compris celle de s. Marco, no 2568, dans le campiello dei Calegheri, créé par éventration de cavités complexes.»
  28. à propos de la citation de Schaerf et de juif polonais :
    • Samuel Schaerf (cf. l'identità ritrovata)
    • Mina Schaerf Litwak
    http://www.ushmm.org/wlc/en/idcard.php?ModuleId=10006768
    « Mina Schaerf Litwak Born: January 6, 1883 Vinnitsa, Romania
    Mina was the daughter of Chaim and Scheindel Schaerf. They lived in the multi-ethnic town of Vinnitsa. Mina came from a religious Jewish family. At 19 she married Josef Litwak, a banker from the nearby town of Dolina, Poland. The couple settled in the industrial city of Lvov, where they raised five children. Four languages were spoken in their household--Polish, Russian, German and Yiddish. »
  29. (in Francia Dreyfus)
    coquille: Treves se dit Dreyfus en allemand plutôt que en France
    prononcé en allemand : [dʀaɪ̯] Écouter
  30. nella loro ascendenza annovererebbero una figlia di Rashi : https://it.wiktionary.org/wiki/annovererebbero
    annovererebbero : terza persona plurale del condizionale presente di annoverare
    https://it.wiktionary.org/wiki/annoverare#Etimologia_.2F_Derivazione
    https://fr.wiktionary.org/wiki/annoverare : énumérer
  31. Trabeta
  32. nipote: neveu ou petit-fils
  33. Nicaea Fidelis, Trecento anni di storia di "Nizza Cavalleria" , Atena , Roma maggio 1990
  34. «Al Manopola è stato attribuito anche il progetto del Palazzo Bellavite, edificato nella seconda metà del Cinquecento in luogo dell'antico campanile della chiesa di San Maurizio.»
  35. Restauration du Palais
  36. avito (dizionari Giunti)
  37. http://www.turismopadova.it/it/punti-di-interesse/parco-treves-de-bonfili, Parco Treves de' Bonfili, Turismo Provincia di Padova|accesso, 2015-05-23, http://www.turismopadova.it
  38. Baron Giuseppe Trèves :
  39. Giacomo Treves de' Bonfili (1788-1885) :
  40. Giacomo Treves de Bonfili :
  41. Guiseppe Treves dei Bonfili :
  42. [3] Recopiage Stéphane Peltier - Arbre Treves de bonfili - Mario de Bonfili - Photocopie
  43. [4] Archives Mairie de Paris 16e Image 24/31
  44. http://www.phalerae.org/Autriche/index.html
  45. Ordre Militaire et Religieux des Saints Maurice et Lazzare
  46. Senato della Republica Archivio Storico dell'Italia liberale
  47. Senato della Republica Archivio Storico dell'Italia liberale
  48. Senato della Republica Archivio Storico dell'Italia liberale
  49. Senato della Republica Archivio Storico dell'Italia liberale

Bibliografia[modifier | modifier le code]

  • Itinéraire de l'Italie, Paris, Hachette, 1868. Pagina 22
  • Venezia-Milano: Storia civiltà e cultura nel rapporto tra due capitali, Milano, Electa, 1984. Pagina 260
  • Gullino e Ortalli, Venezia e le terre venete nel Regno Italico, Istituto Veneto, Venezia 2005. Pagine 29-31; 36-37
  • Monica Donaglio, Pompeo Molmenti politico e storico di Venezia, Istituto Veneto, Venezia 2004. Pagine 183;186-187
  • Aldo Luzzatto (a cura di), La comunità ebraica di Venezia e il suo antico cimitero. Edizioni Il Polifilo, Milano, 2000
  • Epistole di Giuseppe Barbieri. Valentino Crescini (editore), Padova 1821
  • Daniele Ceschin, La voce di Venezia, Il poligrafo. Padova, 2001
  • Emilio Franzina, Venezia, Laterza, 1986. Pagine 74;144;249;310-311
  • Marcello Brusegan, I palazzi di Venezia, Newton Compton, Roma 2005
  • Riccardo Calimani, Storia del Ghetto di Venezia, Mondadori, Milano, 1995 e 1999
  • Alvise Zorzi, Venezia nell'Ottocento
  • Aldo Alessandro Mola, Storia della massoneria italiana dall'unità alla repubblica, Bompiani, Milano, 1977, p. 361.

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«Venezia, 8 luglio 1837... componenti la Commissione fondatrice veneta per la costruzione di una strada da Venezia a Milano»
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«Venezia, 8 luglio 1837... componenti la Commissione fondatrice veneta per la costruzione di una strada da Venezia a Milano»
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Autore Alberto[modifier | modifier le code]

  • lien Wikisource italie contient une page consacré à Alberto Treves de Bonfili (Rivista_di_Scienza_-_Vol._I/Notizie_II)
«Nei giorni dal 26 al 31 Maggio ha avuto luogo in Venezia il IV Congresso geografico nazionale sotto la presidenza del senatore Treves.»
  • modele wikisource italie : Rivista_di_Scienza_-_Vol._I/Notizie_II
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