Tink.ch

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Tink.ch
Logo de Tink.ch
Logo de Tink.ch

Adresse www.tink.ch
Description Webzine suisse pour les jeunes
Slogan Le point du départ du journalisme
Commercial Non
Type de site Webzine
Langue Français, allemand et italien
Siège social Olten
Drapeau de la Suisse Suisse
Propriétaire Association Tink.ch
Rédacteur en chef (de) Mélanie Baierle
(fr)
(it) Giorgia Bazzuri et Giulia Petralli
Lancement 1er avril 2006[1]
État actuel Publication :
(de) journalière
(fr) hebdomadaire

Tink.ch est un webzine trilingue suisse lancé en 2006. Il est composé d'articles réalisés par des jeunes et à destination de la jeunesse.

Présentation[modifier | modifier le code]

La publication est hebdomadaire pour la version romande et journalière pour la version alémanique et vise des sujets variés tels que la politique, les festivals et la mode.

Une dizaine de rédactions sont réparties dans la Suisse. Il en existe 4 en Suisse romande et environ 6 en Suisse alémanique. Les rédacteurs et photographes sont des bénévoles issus de presque tous les cantons suisses.

Le webzine existe en trois langues français, allemand et italien. Cependant, des articles en romanche paraissent lors d'occasions particulières telles que la session fédérale des jeunes.

Historique[modifier | modifier le code]

Youthguide.ch l'origine[modifier | modifier le code]

La création de Tink.ch Schweiz[modifier | modifier le code]

Créations des rédactions romandes[modifier | modifier le code]

La rédaction lausannoise a été créé par Jonas Schneiter [2] début 2009 sous le nom de quoique.ch avant de devenir Tink.ch Romandie[3],[4].

En , une seconde rédaction est ouverte à Genève sous la direction de Juliette Ivanez[5].

Par après, le site ouvre une troisième rédaction à Neuchâtel en [6],[7], rapidement suivie par un quatrième bureau à Fribourg en [8],[9].

Le magazine papier[modifier | modifier le code]

Depuis 2010, Tink.ch sort un magazine papier en allemand quatre fois par année dont chacun traite d'un sujet particulier.

Parrainage[modifier | modifier le code]

Esther Mamarbachi parraine le webzine « parce [qu'elle est] très sensible aux jeunes, à leur avenir, à leurs idées, à leurs envies »[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Tink.ch – un webzine par les jeunes », sur Homeweb.unifr.ch (consulté le )
  2. Schneiter, Jonas. émission de radio par Catherine Fattebert. Complotage. Ici Dimanche. Couleur 3 Lausanne. (consulté le 13 novembre 2014).
  3. a et b Didier Nieto, « Ces jeunes qui font leur actu », Coopération, no 42,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Jonas Schneiter, émission de radio par Catherine Fattebert, Complotage, Ici Dimanche, Couleur 3 Lausanne, (consulté le ).
  5. Sophie Simon, « Le webzine «Tink.ch» s’implante à Genève », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « Tink.ch s'installe dans le canton », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. « S’essayer bénévolement au journalisme », sur RTN.ch, (consulté le )
  8. « Tink.ch inaugure à Fribourg sa première rédaction bilingue », sur Lelac.ch, (consulté le )
  9. Vincent Murith, « Tink.ch s'installe à Fribourg », La Liberté,‎ , p. 13 (lire en ligne, consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]