Samy Manga
Samy Manga est écrivain, ethnomusicien, sculpteur et militant écologiste camerounais[1]. Né en 1980, dans la ville de Yaoundé[2], c'est un écopoète, défenseur d'une écriture en faveur de l'écologie et de la biodiversité[3].
Biographie[modifier | modifier le code]
Samy Manga produit à l'âge de 14 ans son tout premier recueil de poèmes,Terre de chez moi[4]. Il fonde en 2012, l'association des écopoètes du Cameroun[5].
En 2014, l'institut français du Cameroun lui donne carte blanche pour faire une exposition et des ateliers. Quelques années plus tard, en 2018, lors des résidences artistiques de Mebou organisé par l'association maison des savoirs du Cameroun, il co-écrit un recueil de poésie villageoise en collaboration avec l’écrivain Faustin Embolo. La restitutions se déroule en 2020.
Œuvres[modifier | modifier le code]
- 2012 : Les acapella du bois, sculpture sur poésie.
- 2019 : Cendres et mémoires, co-auteur[6].
- 2020 : Corpses et unity, cadavres de l'unité.
- 2020 : Les hirondelles de Mebou, co-auteur.
- 2020 : Opinion poétique[7].
- 2023 : Chocolaté[8].
Prix et récompenses[modifier | modifier le code]
- 2018 : prix poésie internationale CESE 47.
- 2021 : Grand prix poésie africaine d'expression française[3].
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Samy Manga », sur www.lecteurs.com (consulté le )
- « L'Institut Français du Cameroun donne Carte Blanche à. Samy Manga », sur Journal du Cameroun, (consulté le )
- « Samy Manga », sur Écosociété (consulté le )
- editeur, « Cameroun – FORALY 2022 : Samy Manga la vitrine de l’Éco-poème. », sur Direct Info, (consulté le )
- « Ecologie – Association des éco-poètes du Cameroun – Samy Manga Artiste pluriel » (consulté le )
- Collectif, Cendres et mémoires - Ashes and memories, Teham, (ISBN 979-10-90147-36-2, lire en ligne)
- « Samy Manga : tous les produits | fnac », sur www.fnac.com (consulté le )
- « « Chocolaté », de Samy Manga : les gagnants et les perdants de la culture de l’or vert au Cameroun », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
