Rue Amélie (Toulouse)

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Rue Amélie
Situation
Coordonnées 43° 36′ 20″ nord, 1° 27′ 19″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Métropole Toulouse Métropole
Ville Toulouse
Secteur(s) 1 - Centre
Quartier(s) Saint-Aubin
Début no 74 rue de la Colombette
Fin no 30 rue Gabriel-Péri
Morphologie
Type Rue
Longueur 161 m
Largeur m
Odonymie
Anciens noms Petite-rue de Constantine (1875-1888)
Nom actuel 1888
Nom occitan Carrièra Amelia
Histoire et patrimoine
Création 1875
Notice
Archives 315550134406
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Rue Amélie
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Amélie

La rue Amélie (en occitan : carrièra Amelia) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La rue Amélie est une voie publique. Elle se trouve dans le quartier Saint-Aubin, dans le secteur 1 - Centre. Elle naît perpendiculairement à la rue de la Colombette. Rectiligne, longue de 161 mètres et d'une largeur régulière de 8 mètres, elle est orientée au nord. Elle se termine au carrefour de la rue Gabriel-Péri.

La chaussée compte une voie de circulation automobile en sens unique, de la rue Gabriel-Péri vers la rue de la Colombette. Elle est définie sur toute sa longueur comme une zone 30 et la vitesse est limitée à 30 km/h. Il n'existe ni bande, ni piste cyclable, quoiqu'elle soit à double-sens cyclable sur toute sa longueur.

Voies rencontrées[modifier | modifier le code]

La rue Amélie rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants :

  1. Rue de la Colombette
  2. Rue Gabriel-Péri

Odonymie[modifier | modifier le code]

La rue fut d'abord nommée petite-rue de Constantine, car elle aboutissait à la rue de Constantine (actuelle rue Gabriel-Péri)[1]. En 1888, elle prit le nom d'Amélie, fille de Bernard Sirven (1813-1886) et héritière des usines de papeterie (actuels no 19 et no 2-10). Elle céda la propriété du sol de la rue à la municipalité[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Patrimoine et lieux d'intérêt[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Salies 1989, vol. 1, p. 313.
  2. Salies 1989, vol. 1, p. 36.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]