Portail:Poésie

Le projet « Poésie » lié à ce portail
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Portail de la poésie

Il y a actuellement 15 191 articles liés au portail.

Articles principaux

Histoire et genres

Histoire de la poésie

Mouvements poétiques

Œuvres, auteurs

Techniques et études

La poésie aujourd'hui

Prix de poésie

Tous les prix littéraires

d'aujourd'hui
d'hier

Revues de poésie

Toutes les revues

d'aujourd'hui
d'hier
Lumière sur…
Portrait de Jorge Isaacs par Víctor Moscoso.
Portrait de Jorge Isaacs par Víctor Moscoso.

Jorge Enrique Isaacs Ferrer, né le à Cali et mort le à Ibagué, est un écrivain et poète colombien. Surtout connu pour son roman María, il a également été soldat, politicien et explorateur scientifique. Il est considéré comme un des auteurs les plus significatifs du XIXe siècle en Amérique latine.

Alors qu'il est soldat dans un conflit opposant les conservateurs aux libéraux, Jorge Isaacs fait la connaissance du poète Gregorio Gutiérrez González et commence alors à écrire des poésies. Par la suite, il fait découvrir ses manuscrits au groupe littéraire « El Mosaico », qui éditera trente de ses compositions poétiques. En 1864, il commence à écrire son roman María, qui est publié trois ans après et devient une des œuvres les plus notables du romantisme de la littérature espagnole.

En plus de son activité littéraire, Jorge Isaacs s'engage en politique. Il est d'abord représentant à la Chambre pendant quelques années avant d'occuper le poste de consul au Chili entre 1871 et 1872. Alors qu'il est membre de l'aile radicale du parti libéral, il élabore les stratégies à développer au sein de l'enseignement. En effet, pour les libéraux, l'analphabétisme et l'ignorance empêchent la formation du citoyen, la réalisation d'une démocratie, le progrès et la paix. Cependant, ses activités politiques et au sein de l'Éducation sont sources de désillusions et d'échecs…

Autres articles sélectionnés au sein du portail Poésie

Image du mois
Un poème au hasard

« On n'avait point posé les fondements de Rome,
On n'avait point parlé du siège d'Ilion,
La terre n'avait point reçu Deucalion,
Ni Babel divisé le langage des hommes.

Les sœurs de Phaéton ne pleuraient point la gomme,
Les Géants n'avaient point monté le Pélion,
Et celui qui causa notre rébellion
N'avait pas mis la dent sur la première pomme.

Chypre n'avait point vu ses rives écumer
De ce germe divin qui tomba dans la mer
Quand la mère d'Amour voulut sortir de l'onde.

Bref, nous ne savons point de siècles assez vieux,
Depuis qu'on a connu l'origine du monde,
De qui l'antiquité ne le cède à tes yeux. »


Sonnet
Extrait de la seconde partie des œuvres poétiques de Théophile de Viau

Ce poème s'affiche de manière aléatoire : vous pouvez effectuer un nouveau tirage.

Le saviez-vous ?

Ces annonces s'affichent de manière aléatoire : vous pouvez effectuer un nouveau tirage.