Paris-Bourges 1922
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| Le peloton avant Artenay (Loiret) lors de la course cycliste Paris-Bourges du dimanche 6 août 1922. | |||
| Généralités | |||
| Course | 3e Paris-Bourges | ||
| Date | 6 août 1922 | ||
| Distance | 271 km | ||
| Pays |  France | ||
| Lieu de départ | Suresnes | ||
| Lieu d'arrivée | Bourges | ||
| Vitesse moyenne | 25,727 km/h | ||
| Résultats | |||
| Vainqueur | Marcel Godard | ||
| Deuxième | Jean Hillarion | ||
| Troisième | Omer Beaugendre | ||
| ◀1917 | 1923 ▶ | ||
 | Documentation  | ||
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Paris-Bourges 1922 est la 3e édition de la course cycliste française Paris-Bourges se déroulant le entre Suresnes (Seine) et Bourges (Cher), sur une distance de 271 kilomètres.
La course est remportée par le Français Marcel Godard.
Présentation[modifier | modifier le code]
Après une interruption entre 1918 et 1921, et alors que la course avait déjà été organisée en 1913 et 1917, la troisième édition organisée par le comité du Cher de l'Union vélocipédique de France se déroule au mois d'août 1922 entre Suresnes et Bourges. Elle est soutenue par le parrainage du journal quotidien sportif Français L'Auto[1].
Parcours[modifier | modifier le code]
La course s'élance de Suresnes dans le département de la Seine puis rejoint la Seine-et-Oise à Versailles, puis Rochefort et l'Eure-et-Loir à Chartres[1].
Les coureurs rejoignent le Loiret à Artenay puis traverse la préfecture Orléans et passe dans le Loir-et-Cher à Salbris[1].
La course rejoint finalement le Cher à Vierzon puis Mehun-sur-Yèvre avant d'arriver à Bourges sur le vélodrome Tivoli[1].
Déroulement de la course[modifier | modifier le code]
Quarante-deux coureurs s'élancent à 7h10 de Suresnes au Pavillon-Bleu[2].
Dès le départ, un lot de plusieurs coureurs s'échappent du peloton[2].
Le groupe d'échappés formé de 10 coureurs rejoint Chartres à 10h38[2].
L'arrivée est jugée sur le vélodrome Tivoli à Bourges où le Français Marcel Godard se présente seul. Il effectue les quatre tours réglementaires et remporte la course. Il est suivi à trois minutes par son compatriote Jean Hillarion retardé par plusieurs crevaisons[2].
Classement final[modifier | modifier le code]
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Notes et références[modifier | modifier le code]
- Anonyme, « Paris-Bourges », L'Auto-vélo, vol. 23, no 7904, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
- Anonyme, « Marcel Godard enlève le 1er Paris-Bourges », L'Auto-vélo, vol. 23, no 7905, , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
