Nathanaël Rochat

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Nathanaël Rochat
Naissance (50 ans)
Le Sentier, canton de Vaud, Suisse
Nationalité Suisse
Profession Humoriste
Site internet nathanaelrochat.ch

Nathanaël Rochat, né le au Sentier (originaire du Chenit), est un humoriste suisse du canton de Vaud.

Biographie[modifier | modifier le code]

Nathanaël Rochat naît le au Sentier, dans la Vallée de Joux. Il est originaire du Chenit[1] (commune où se situe la localité du Sentier). Son père est contremaître et sa famille proche de l'Église évangélique[2],[3]. Il a un frère et une sœur[2].

Il grandit aux Bioux et suit une scolarité qui le mène jusqu'au gymnase. Après un échec à l'École normale[4], il fait un apprentissage d'employé de commerce à Lausanne et obtient un CFC en 1996[2],[3].

Il fait ses premiers pas dans le domaine de l'humour et de la scène en prononçant un sketch sur la mollesse en 2002, dans le Caveau de l'Hôtel de ville de Lausanne. À partir de 2005, il vit deux années en Angleterre, à Bristol, avec la mère de ses enfants. Il y fait de petits boulots et découvre le stand-up. C'est sa participation à l'émission satirique La Soupe à partir de 2008 (ou 2007[4]) qui le fait connaître du grand public. Il participe également régulièrement à l'émission radio dominicale Les beaux parleurs sur La Première[2],[3],[4].

Il est père de deux enfants[4] et séparé de leur mère, d'origine anglaise[1].

Spectacles[modifier | modifier le code]

  • 2018 : Live Unplugged[3]
  • 2022 : Y'a moyen[3]

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • 2014 : Prix du meilleur jeune humoriste romand au Festival Morges-sous-rire[1]
  • 2019 : Prix de l'humour de la Société suisse des auteurs[5]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Tania Araman, « Pince-sans-rire aux fourneaux », Migros Magazine,‎ , p. 42 à 46 (lire en ligne)
  2. a b c et d Marie-Pierre Genecand, « Nathanaël Rochat, la blague et la plume », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  3. a b c d et e François Barras, « La rencontre – Nathanaël Rochat, aussi lentement que nécessaire » Accès payant, 24 heures, (consulté le ), p. 32
  4. a b c et d Jean-Blaise Besençon, « Nathanaël Rochat: «On n’a pas l’impression que je m’amuse, mais j’adore ça!» », L'Illustré, (consulté le )
  5. Gérald Cordonier, « Nathanaël Rochat et Simon Romang, prix de l'humour 2019 », 24 heures,‎ (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]