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Modèle:Cadre 3D

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Syntaxe[modifier le code]

{{Cadre 3D
 | tailletourext   = 
 | fondext         = 
 | tourext         = 
 | tailletourint   = 
 | fondint         = 
 | tourint         = 
 | tailletourtexte = 
 | fondtexte       = 
 | tourtexte       = 
 | titre           = 
 | couleurtitre    = 
 | tailleTitre     = 
 | logo            = 
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 | height          =
 | contenu         = 
 | lienarchives    =
 | alt             =
}}

Exemples d'utilisation[modifier le code]

Exemple 1[modifier le code]

Le code ci-dessous affiche le tableau à droite.

{{Cadre 3D
 | tailletour = 1px
 | fondext    = #E5ECFF
 | tourext    = #808080
 | fondint    = #AACCFF
 | tourint    = #808080
 | titre      = Discipline sélectionnée
 | logo       = Gymnastics (artistic) pictogram.svg
 | contenu    = Portail:Gymnastique/Lumière sur/{{rand|1|2}}
 | suivre     = Portail:Gymnastique/Lumière sur/{{rand|1|2}}
}}
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 logo Discipline sélectionnée
Un gymnaste au cheval d'arçon
La gymnastique artistique masculine (GAM) est une discipline consistant à enchaîner des mouvements acrobatiques sur six agrès différents (on parle également d'appareil ou d'engin) : le sol, le cheval d'arçons, les anneaux, le saut de cheval, les barres parallèles et la barre fixe. L'ensemble des mouvements et des enchaînements possibles sur chaque agrès est régi par un code de pointage.

Les compétitions se déroulent de deux manières : en concours par équipe et en concours individuel. Ce dernier se subdivise en concours général (l'intégralité des agrès) et en concours par appareil.

L'ancienne notation sur 10 (où l'obtention de la note maximale était rarissime) a été remplacée en 2006 par un nouveau système de notation. La note des gymnastes se compose d'une note d'exécution qui est de 10 et à laquelle les juges retirent les chutes et imperfections comme les jambes pliées ou écartées. Puis on additionne à cette note une note acquise par le degré de difficulté de l'enchainement. Aujourd'hui au plus haut niveau mondial les notes de départ sont comprises entre 16 et 17 (10 d'execution + 6 ou 7 de difficulté)

Exemple 2[modifier le code]

Le code ci-dessous affiche le tableau à droite.

{{Cadre 3D
 | tailletour = 2px
 | fondext    = #FFFFFF
 | tourext    = #808080
 | fondint    = #FF0000
 | tourint    = #808080
 | titre      = {{Blanc|Lumière sur...}}
 | logo       = Valais-coat of arms.svg
 | alt        = Blason de Valais
 | contenu    = Portail:Valais/Lumière sur.../{{rand|1|17}}
}}
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 Blason de Valais Lumière sur...
Carte géographique ancienne
Carte géographique ancienne

...l'histoire du Valais

Occupé dès la préhistoire, le territoire du canton du Valais voit se développer une civilisation originale lors de l'Âge du bronze. Dès le IVe siècle av. J.-C., quatre tribus celtes se partagent son territoire, incorporé par Auguste dans l'Empire romain. Le Valais gallo-romain, situé sur l'importante route du Grand-Saint-Bernard est prospère. Le christianisme y est attesté dès 377 et un évêché est sis à Martigny au plus tard en 381.

À la chute de l'Empire, la région devient burgonde avant d'être intégrée avec celui-ci dans le royaume franc carolingien. À sa disparition, il fait partie du royaume de Bourgogne transjurane dont l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune est le centre religieux. Le comté du Valais devient propriété de l'évêque en 999, sur donation de Rodolphe III de Bourgogne et, au XIe siècle, il passe au Saint-Empire romain germanique et la féodalité le fragmente en de nombreuses seigneuries et territoires. La partie amont du territoire se germanise en vagues successives entre les IXe et XIVe siècles ; parallèlement l'influence des comtes, puis ducs, de Savoie augmente dans le Bas-Valais. Devenu allié des cantons suisses à la fin du XIVe siècle, la frontière est fixée à la Morge de Conthey. Lors des guerres de Bourgogne, le Haut-Valais envahit les territoires savoyards et annexe le Bas jusqu'à Massongex et l'organise en pays sujet. En 1569, le Chablais valaisan est conquis, toujours au détriment de la Savoie. Le Bas-Valais reste sujet du Haut qui voit la puissance de l'évêque diminuer en faveur des Patriotes qui forment en 1634 une véritable république fédérale, la République des Sept-Dizains.

Ce n'est qu'avec la Révolution française que le Bas s'émancipe. Le Valais est ballotté entre la République helvétique (1798-1802), l'indépendance théorique (1802-1810) et l'incorporation à l'Empire (1810-1813). À la chute de Napoléon Ier, les Alliés le poussent à adhérer à la Confédération suisse en 1815 dont il devient le vingtième canton.

Toujours déchiré entre le Haut germanophone et le Bas francophone et majoritaire, il est proche de se diviser en demi-cantons (1840). Membre du Sonderbund (1845-1847), il est défait. La deuxième moitié du XIXe siècle voit le développement des transports (ferroviaires et routiers) et les débuts du tourisme alors que le début du XXe siècle voit l'industrialisation (chimie à Monthey et Viège, aluminium à Chippis) du pays et l'exploitation des ressources hydrauliques. Dès 1950 le tourisme de masse se développe et de nombreuses stations apparaissent.


Exemple 3[modifier le code]

Le code ci-dessous affiche le tableau à droite.

{{Cadre 3D
 | tailletour = 1px
 | fondext    = #ECECEC
 | tourext    = #000000
 | fondint    = #808080
 | tourint    = #000000
 | titre      = {{Blanc|Lumière sur...}}
 | logo       =
 | contenu    = Portail:Psychologie/Lumière sur/{{rand|1|10}}
}}
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  Lumière sur...
Émile Coué mit au point une technique de traitement mental connue sous le nom d’autosuggestion, application de l'autohypnose.
Émile Coué de la Châtaigneraie, né à Troyes le et mort à Nancy le , est un psychologue et pharmacien français, auteur d’une méthode de guérison et de développement personnel fondée sur l’autosuggestion. À la fois génial et simpliste, il explora au sein de la psychologie moderne des voies originales et nouvelles et fut le précurseur de la psychologie comportementale et de la pensée positive.