Leonard James Spencer

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Leonard James Spencer
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
LondresVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Keeper of Mineralogy, Natural History Museum (-), géologue, minéralogisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions
Liste détaillée
Médaille Murchison ()
Médaille Roebling ()
Commandeur de l'ordre de l'Empire britannique
Ehrenmitglied der Deutsche Mineralogische Gesellschaft (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Leonard James Spencer ( - ) est un géologue britannique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Il est membre honoraire de la Royal Geological Society of Cornwall, et également récipiendaire de sa médaille Bolitho[1]. Il est président de la Société minéralogique de Grande-Bretagne et d'Irlande de 1936 à 1939. En minéralogie, Spencer est un chercheur original qui décrit plusieurs nouveaux minéraux, dont la miersite, la tarbuttite et la parahopéite (phosphate de zinc). Il fait également un travail important en tant que conservateur, éditeur et bibliographe[2]. Il est la troisième personne à recevoir la Médaille Roebling, la plus haute distinction de la Mineralogical Society of America[3]. Il écrit au moins 146 articles pour la onzième édition de l'Encyclopædia Britannica[4].

Sa fille, Penelope Spencer est une danseuse et chorégraphe de style libre[5].

Références[modifier | modifier le code]

  1. http://www.minersoc.org/pages/Archive-MM/Volume_29/29-211-256.pdf W. Campbell Smith "L. J. Spencer's work at the British Museum" page 269
  2. « Memorial of Leonard James Spencer », The American Mineralogist, vol. 45,‎ mar–apr 1960, p. 403–406 (lire en ligne)
  3. Winchell, « Presentation of the third Roebling Medal of the Mineralogical Society of America to Leonard James Spencer », American Mineralogist, vol. 26,‎ -, p. 26–166 (lire en ligne, consulté le )
  4. « Author:Leonard James Spencer », Wikisource (consulté le )
  5. R. J. Barman, « Obituary: Penelope Spencer », The Independent,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]