Jan Swerts

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Jan Swerts
Dessin par Eduard Vermorcken d'après un dessin léger de J. Maes
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 58 ans)
MarienbadVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nationalité
belge
Formation
Académie royale des beaux-arts d'Anvers
Activité
peintre
Autres informations
Maître

Jan Swerts, né le à Anvers et mort le à Marienbad, est un peintre belge de sujets historiques et de portraits.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jan Eugene Emmanuel Swerts est le fils de Jan Gregorio Swerts (1776-1832), marchand en détail, et d'Anna Maria van Rooy (1782-1852).

Il a été l'étudiant de Nicaise De Keyser à l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers[1]. Ses progrès rapides attirent l'attention des professeurs sur lui[2].

Durant ses études, il se lie d'amitié avec Godefroid Guffens (également étudiant de Keyser) avec lequel il travaillera tout au long de sa carrière.

En 1841, il réalise Jésus remettant les clés à Pierre pour l'église Saint-Pierre (nl) de Rumst[3]. En 1842, Swerts présente à l'exposition de Bruxelles un tableau représentant les trois femmes au tombeau de Jésus[4].

En 1847, il réalise l'Adoration des mages pour l'église Saint-Trudon (nl) d'Eksel[5].

Vers 1847-1848, il réalise les panneaux latéraux de la salle de concert de la Villa Servais avec Guffens, Jean-Baptiste Robie, Charles Verlat et Charles Wauters : ces panneaux sont ornés des attributs des quatre saisons[6].

En 1847, Swerts et Guffens partent à Paris pour un séjour d'études durant lequel ils rencontrent Paul Delaroche et Ary Scheffer. En 1848, ils reçoivent tous deux une médaille d'argent à l’exposition de Bruxelles. Puis ils visitent l'Allemagne et l'Italie à partir d'août 1850 jusqu'en 1852[7] : ils vont à Aix-la-Chapelle, Cologne, Düsseldorf, Remagen, Berlin, Dresde, Leipzig, Prague, Munich, Pompéi, Palerme. Le 12 décembre 1850, ils arrivent à Rome où ils rencontrent Johann Friedrich Overbeck.

En septembre 1851, Swerts vend un tableau à M. Denis durant l'exposition des Beaux-Arts de Bruxelles[8]. En 1852-1853, il vit et peint à Florence, il obtient d'ailleurs l'autorisation de copier des peintures de la galerie des Offices.

Swerts et Guffens se marient le même jour : le 25 octobre 1852. Il se marie avec Josefine Maria Hoorenbeke (1819-1877) avec laquelle il aura trois enfants : Walter (1855-1876)[9], Berta (1859-1901) et Jan (1861-1934).

A partir de 1853, à l'initiative d'un député local, ils sont chargés de réaliser les peintures de l'église Notre-Dame à Saint-Nicolas, celles-ci seront initialement financées par les croyants de cette église. Puis l'Etat belge verse une allocation annuelle de 1500 francs de 1856 à 1861 pour financer ces peintures. Ce financement provenait d'un fonds gouvernemental visant à promouvoir la peinture monumentale en Belgique. Ces peintures représentent l'histoire de la Vierge Marie[2].

En 1853, il réalise une peinture représentant Notre-Dame du Perpétuel Secours pour l'église Notre-Dame-du-Bon-Secours (nl) de Maria-Aalter (nl).

En 1854, ils reçoivent une médaille d'or à l'exposition de Bruxelles. Ils peignent pendant plusieurs années en Angleterre, notamment des peintures au Ince Blundell Hall (en) de Liverpool.

Swerts et Guffens ont joué un rôle déterminant dans la réhabilitation de la fresque en Belgique en 1855. Ils ont réalisé ensemble les peintures du chœur de l'église Saint-Joseph et de la chapelle Sainte-Barbe de Louvain, de la Cathédrale Saint-Quentin de Hasselt, du chœur de l'église de Lanaken et de la chapelle des échevins d'Ypres. Ils ont également réalisé des peintures du château de Schilde (nl) représentant l'histoire de la famille van der Werve (propriétaire du château), ainsi que sur Schilde et Anvers[10].

Gravure de Schwerdgeburth d'après Swerts
Photographie de l'œuvre

En 1855, Swerts et Guffens commencent des peintures murales pour la chambre de commerce à la vieille Bourse d'Anvers : ces treize peintures représentent des scènes du passé commercial de la ville[11] dont Réception des envoyés Vénitiens par le magistrat d'Anvers[12] mais les peintures sont détruites dans la nuit du 2 au 3 août 1858 lors de l'incendie de la bourse[1] quelque temps avant la réouverture officielle prévue du bâtiment. Pour la réalisation de ces fresques, ils sont assistés de deux étudiants de l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers : Otto Schwerdgeburth (en)[13] et Jan Franz Floris Claes (1818-1870). Schwerdgeburth réalise huit planches d'aquatintes représentant les peintures de Guffens et Swerts, ces planches sont publiées en 1857 dans : Frise exécutée à la chambre de commerce d'Anvers.

En 1858, Swerts et Guffens reçoivent un financement gouvernemental afin d'assister à une exposition d'art allemand à Munich et d'écrire un rapport sur cette exposition. Dans celui-ci, ils proposent au ministre de décorer les « grands murs blancs et tristes des hôpitaux, prisons et écoles » par des fresques moralisatrices et éducatives[14]. Ils concluent que l'art monumental doit être soutenu car il est lié à la religion et à la science, ce qui en fait donc un art national. La même année, ils publient un mémoire sur leur voyage en Allemagne : Souvenirs d'un voyage artistique en Allemagne[15]. A partir de 1859, ils commencent également les peintures de l'église Saint-Georges d'Anvers (nl) qui représentent « l’Église souffrante, l’Église militante et l’Église triomphante »[2]. Swerts a notamment peint Saint Georges au-dessus de l'autel, divers apôtres, Jésus enfant, L'arrestation Christ, Le Christ repoussant la tentation[2],[16].

En 1859, sous la direction de Swerts et Guffens, Otto Schwerdgeburth et Jan Claes réalisent Les sept douleurs de Marie pour l'Église Notre-Dame de Melsele. La même année, Swerts et Guffens sont nommés membres honoraires de l'Académie des beaux-arts de Munich par la société des artistes de Munich[17]. En juin 1859, ils organisent une exposition de cartons préparatoires au Palais des Académies à Bruxelles, principalement de maîtres bavarois dans le but de promouvoir les peintres belges et de sensibiliser le public[11]. L'exposition est visitée par Léopold II, duc de Brabant, en présence du ministre de l'intérieur Charles Rogier et du directeur général des Beaux-Arts Édouard Romberg (1817-1899)[18].

En 1860, Swerts est nommé membre honoraire de l'Académie des Beaux-Arts de Dresde par le Jean Ier, roi de Saxe[19].

A la suite des inondations aux Pays-Bas en 1861, Swerts et Guffens organisent une exposition caritative qui sera visitée par le roi, celui-ci leur décernera une distinction honorifique pour leur exposition.

En 1862, Swerts travaille sur une œuvre monumentale pour une église de la province de Brabant[20]. En 1868, il réalise un portrait grandeur nature du cardinal Sterckx[21], le tableau « admiré et loué par un grand nombre de passionnés d'art » est acheté par le roi Léopold II[22],[23].

En 1867, il participe à l'exposition universelle de Paris.

Swerts a réalisé des peintures pour l'hôtel de ville d'Ypres[24] : Publication de l'arrêté de 1515 du magistrat d'Ypres concernant l'entretien des pauvres et Visite du magistrat dans une école libre en 1253, détruites durant la première guerre mondiale, elles se trouvaient respectivement à droite et à gauche de la cheminée[2]. Le gouvernement belge choisit Guffens, Swerts et Charles de Groux pour la réalisation des peintures mais ce dernier décède en 1870 avant d'avoir pu les réaliser.

En 1868, il réalise le portrait du pasteur Benedictus De Caluwe (pasteur de Tamise entre 1843 et 1858) pour l'église Notre-Dame de Tamise (en)[25],[26].

En 1871, Peter Benoit compose un cortège solennel intitulé L'Église souffrante, en lutte et victorieuse à l'occasion de l'inauguration des fresques de l'église Saint-Georges d'Anvers le 27 novembre 1871[27]. Hippolyte Flandrin entre autres était venu voir les fresques en cours de réalisation[28].

Peinture de l'hôtel de ville de Courtrai.

En 1872, Jozef Janssens (en) est l'élève de Swerts à Anvers : son style est fortement influencé par celui de Jan Swerts. Après un passage par des ateliers de Düsseldorf, Janssens revient dans l'atelier de Swerts et Guffens à Bruxelles.

Il a également réalisé des peintures de l'Hôtel de ville de Courtrai en 1872-1874 : l'une des peintures représente Saint-Pierre nommé chef de l’Église[4]. Il s'agit de la dernière œuvre commune entre Swerts et Guffens[29]. Sept panneaux représentent l'histoire de Courtrai durant les 13 premiers siècles. Swerts a réalisé les figures de Saint-Amand et Philippe d'Alsace, ainsi que Magistrats, chevaliers et chefs d'hommes réunis dans la salle échevinale à la veille de la bataille de Courtrai[2].

En 1873, il réalise un tableau intitulé Les vacances vendu et envoyé en Angleterre. Ce tableau représente deux jeunes filles de 15 et 18 ans lors de la cérémonie de sépulture de leur défunt père, elles apportent un portrait de celui-ci à leur mère[30]. La même année, L. C. Lemmé achète le tableau Mémoire d'Italie de Swerts[31], œuvre exposée à la triennale d'Anvers[32]. Le 18 avril 1875, le tableau La fête brûle dans la maison de M. Lemmé[33].

En 1874[34],[35], à la suite du tarissement des commandes publiques belges, Swerts accepte le poste de directeur de l'Académie des Beaux-Arts de Prague jusqu'à sa mort. Il déménage alors à Prague dans le bâtiment de l'académie Clementinum. En tant que directeur de l'atelier de peinture monumentale, il a pour élèves Mikoláš Aleš, František Ženíšek, Jakub Schikaneder, Antonín Chittussi, Václav Brožík, Vojtěch Bartoněk (en), Felix Jenewein (en), Jindřich Bubeníček (cs), Emanuel Krescenc Liška (cs), Josef Mukařovský (cs), Bohumír Roubalík (cs), Jaroslav Věšín (cs), Hermine Laukota (de), Josef Mauder (cs). Certains comme Václav Brožík ou František Ženíšek reconnaissent son travail quand d'autres comme Mikoláš Aleš le rejettent en raison de son académisme rigide et de son nazaréisme.

Vue d'ensemble de la chapelle Sainte-Anne

Le 15 novembre 1877, sa femme Josefine décède d''une maladie[4].

En 1878, il réalise les 16 peintures de la chapelle Sainte-Anne[36] au sein de la Cathédrale Saint-Guy de Prague[7] : elles illustrent entre autres l'histoire de la vie de Sainte-Anne[4]. Il les réalise avec Bohumír Roubalík et František Ženíšek, tous deux étudiants de l'académie, ainsi que František Čermák (peintre) (cs) et Emil Johann Lauffer (cs) tous deux diplômés de l'académie. Pour le Prager Zeitung, ces peintures murales sont excellentes.

Au-dessus de l'autel de Sainte-Anne se trouve un vitrail réalisé d'après le dessin de Jan Swerts : il représente la généalogie de Jésus avec Abraham, David, Salomon et Notre-Dame entourés des bustes des prophètes de l'Ancien Testament ; la rose qui couronne le vitrail contient une croix avec les symboles des quatre évangélistes[4].

Les 16 peintures de la chapelle Sainte-Anne sont réparties sur trois rangées et quatre colonnes. La rangée du bas contient 8 compositions et évoque la légende de Sainte-Anne[4] :

  1. Fiançailles avec Joachim
  2. Distribution d'un tiers de ses biens aux pauvres
  3. Don du deuxième tiers au trésor du temple
    Peintures centrales de la chapelle Sainte-Anne
  4. Refus du don par le grand prêtre car Anne et Joachim n'ont pas d'enfant
  5. Joachim et Anne chassés du temple
  6. Apparition d'un ange dans le désert qui informe Joachim qu'il aura une fille
  7. Apparition d'un ange à Anne annonçant la naissance d'une fille
  8. Retrouvailles de Joachim et Anne à la porte dorée et retour à la maison sur les conseils de l'ange

La rangée du milieu comprend quatre compositions[4] :

  1. Naissance de Marie
  2. Éducation de Marie
  3. Marie au temple
  4. Mort de Sainte-Anne

Les quatre peintures de la rangée du haut sont peintes sur fond doré et représentent[4] :

  1. La Bonne Nouvelle
  2. Naissance de Jésus
  3. Mort de Jésus
  4. Résurrection de Jésus

Il décède en cure à Marienbad des suites d'une maladie cardiaque et est enterré sans cérémonie dans la nuit du 13 août 1879[4]. Toutefois, nombreux amis et étudiants sont présents comme Mgr von Dutweis (prieur de l'ordre de Malte) et le Dr chevalier von Halcek de Prague[33]. Swerts est enterré dans un cercueil en fer dont la clé est conservée par la famille, selon une coutume de Bohême[33]. En 1879, l'article sur Jan Swerts du journal De Vlaamsche School évoque le fait qu'il est question d'ériger un mémorial en hommage à Swerts dans l'église Saint-Georges d'Anvers[4],[37]. Une exposition a lieu la même année à Prague montrant les œuvres, les dessins, les croquis de Swerts[4].

Antonín Lhota (en) succède Swerts au poste de directeur de l'académie des Beaux-Arts de Prague et František Sequens (cs) lui succède au poste de professeur de peinture religieuse et historique.

En 1879, sa fille Martha Swerts se marie avec August de Keuster[38] dans la cathédrale Saint-Guy de Prague décorée des peintures de son père. Le mariage est ordonné par Frédéric-Joseph de Schwarzenberg. Swerts a d'ailleurs représenté l'archevêque Schwarzenberg mettant l'anneau du pêcheur au doigt du pape Léon XIII lors de son couronnement, tableau qu'il laisse inachevé à son décès[4].

Le 31 janvier 1880, l'académie des Beaux-Arts nomme Michel Damas en tant que membre correspondant à la place de Swerts[39]. En 1880[40], Jan Frans Van Havermaet (1828-1899) a réalisé un buste représentant Swerts, il est conservé au Musée royal des Beaux-Arts d'Anvers[41].

En juillet 1881, le conseil municipal d'Anvers achète trois dessins préparatoires des peintures réalisées à la chambre de commerce d'Anvers auprès de Keuster-Swerts au prix de 4000 francs pour les confier au musée royal des Beaux-Arts d'Anvers[42] : Les ambassadeurs vénitiens sont reçus par le Magistrat et la population d'Anvers en 1324 ; Edouard III, roi d'Angleterre, pendant son séjour à Anvers en 1338, consultant les principaux négociants sur ses projets financiers ; Le Magistrat d'Anvers reçoit les premiers envoyés moscovites en 1524[43],[44].

Le 27 mai 1881, deux cérémonies en l'honneur de Swerts ont lieu : une pour la mise en place de son buste en marbre et l'autre pour l'inauguration de la plaque commémorative à l'église Saint-Georges d'Anvers. Le compositeur Franz Liszt, ami de Jan Swerts, a assisté aux deux cérémonies[45].

Dans Le romantisme en Belgique, Guffens et Swerts sont désignés comme des moteurs de l'adoption du style nazaréen dans la peinture belge[46].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative à l'église Saint-Georges d'Anvers

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Jan Swerts », Revue artistique,‎
  2. a b c d e et f « Jan Swerts », Moniteur des arts,‎ , p. 3
  3. (nl) « Parochiekerk Sint-Pieter », sur inventaris.onroerenderfgoed.be, (consulté le )
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v « Jan Swerts », De Vlaamsche School,‎ (lire en ligne)
  5. (nl) « Parochiekerk Sint-Trudo », sur inventaris.onroerenderfgoed.be, (consulté le )
  6. L'Apollonide de Leconte de Lisle et Franz Servais, Mardaga, , p. 22
  7. a et b « Dictionnaire des Peintres belges : SWERTS, Jan », sur peintres.kikirpa.be (consulté le )
  8. « Exposition des Beaux-Arts », L'Indépendance belge,‎
  9. Walter Swerts (1855-1876), né le 14 janvier 1855 à Anvers, décède le 21 septembre 1876 lors de sa venue à Prague pour voir ses parents.
  10. (nl) « Domein Hof ten Broecke », sur inventaris.onroerenderfgoed.be, (consulté le )
  11. a et b Sofie Marchand, « De muurschilderingen van de Gentse Aula Academica (1858-1881) », Handelingen der Maatschappij voor Geschiedenis en Oudheidkunde te Gent,‎
  12. Cette peinture a été reproduite en gravure par Otto Schwerdgeburth dans L'histoire de la ville d'Anvers d'Eugène Gens.
  13. Schwerdgeburth a d'ailleurs vécu quelque temps dans la maison de Godfried Guffens.
  14. Françoise Jurion, « L’école en beauté, un exemple d’architecture pour l’enfant », Cahiers bruxellois,‎ , p. 194-243
  15. Le libraire Max Kornicker d'Anvers a réalisé une deuxième édition de ce livre en 1858 avec une préface allemande.
  16. Ces tableaux sont datés de 1863 à 1867.
  17. « Nouvelles des sciences, des arts et de la littérature », L'Indépendance belge,‎
  18. « Bruxelles, 24 juin », L'Indépendance belge,‎
  19. « Nouvelles de Belgique », Moniteur des arts,‎ , p. 2
  20. « Kunst- en letternieuws. », De Vlaamsche School.,‎ (lire en ligne)
  21. « Kronijk », De Vlaamsche School,‎ (lire en ligne)
  22. « Kronijk », De Vlaamsche School. Jaargang 14,‎ (lire en ligne)
  23. Voici la description du tableau dont la localisation n'est à ce jour pas connue : « Le cardinal se tient droit, dans ses habits spirituels, la posture est excellente et la ressemblance heureuse ».
  24. En 1868, les peintures murales supplémentaires de Guffens et Swerts sont approuvées définitivement.
  25. (nl) « Decanale Onze-Lieve-Vrouwekerk », sur inventaris.onroerenderfgoed.be, (consulté le )
  26. a et b (nl) « Benedictus De Caluwe », sur erfgoedinzicht.be (consulté le )
  27. « Peter Benoit | Plechtige optocht | Festlicher Einzug », sur repertoire-explorer.musikmph.de (consulté le )
  28. « Inhuldiging der muurschilderingen in St-Joriskerk, te Antwerpen. », De Vlaamsche School. Jaargang 17,‎ (lire en ligne)
  29. Une peinture représente Baudouin partant en croisade : il s'agit de la photographie ci-jointe.
  30. « Kroniek », De Vlaamsche School. Jaargang 19,‎ (lire en ligne)
  31. « Tentoonstelling van schoone kunsten te Antwerpen. », De Vlaamsche School. Jaargang 19,‎ (lire en ligne)
  32. « Nog eene kunstramp. », De Vlaamsche School. Jaargang 21,‎ (lire en ligne)
  33. a b et c « Bladwijzer », De Vlaamsche School. Jaargang 25,‎ (lire en ligne)
  34. « Kroniek », De Vlaamsche School. Jaargang 20,‎ (lire en ligne)
  35. Il s'agit bien de cette date même si les sources sont contradictoires. Le Benezit évoque même la date de 1857 qui semble très improbable. D'autres sources évoquent 1875.
  36. La chapelle Sainte-Anne est la première des cinq chapelles rayonnantes de la cathédrale Saint-Guy de Prague (tout à gauche quand on regarde le chœur).
  37. Il semblerait que le mémorial soit la plaque commémorative en cuivre que vous pouvez voir en photographie dans la section "Distinctions". Cette plaque a été réalisée par l'orfèvre anversois Lambert Van Rijswijck (1822-1894).
  38. (nl) « Park van de abdij van Herkenrode », sur inventaris.onroerenderfgoed.be, (consulté le )
  39. « Échos du jour », Le Français,‎ , p. 3
  40. « Ontvangst der Venetiaansche gezanten door het Antwerpsch magistraat in 1324 », De Vlaamsche School. Jaargang 26,‎ (lire en ligne)
  41. « De schilder Jan Swerts | KMSKA », sur kmska.be (consulté le )
  42. « Kroniek », De Vlaamsche School. Jaargang 27,‎ (lire en ligne)
  43. Musée royal des beaux-arts d'Anvers. Catalogue descriptif. II. Maîtres modernes, p. 134
  44. Le Magistrat d'Anvers reçoit les premiers envoyés moscovites en 1524 a été exposé à l'exposition d'Anvers en septembre 1858.
  45. « Kroniek », De Vlaamsche School. Jaargang 27,‎ (lire en ligne)
  46. Dominique Marechal, Le romantisme en Belgique, , p. 44
  47. (en) « Priest Giving a Child Her First Lesson | Art UK », sur artuk.org (consulté le )
  48. (en) « Jan Swerts - Portrait of Henricus Schrauwen », sur rkd.nl (consulté le )
  49. (en) « Jan Swerts - The beautiful necklace », sur www.bonhams.com (consulté le )
  50. « Marchande de fruits devant un paysage - Jan Swerts »
  51. « La visite à la jeune sœur des Carmélites - Jan Swerts »
  52. « LE BIJOU », sur Berko Fine Paintings (consulté le )
  53. « Épisode de la vie de Gilbert van Schoonbeke | KMSKA », sur kmska.be (consulté le )
  54. « Nécrologie », Gazette nationale ou le Moniteur universel,‎ , p. 1230

Liens externes[modifier | modifier le code]