HMS Warspite (1758)
Pour les autres navires du même nom, voir HMS Warspite.
| HMS Warspite | |
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| Autres noms | HMS Warspight[1] Arundel |
|---|---|
| Type | vaisseau de ligne de troisième rang |
| Classe | Dublin-class third-rate ship of the line (en) |
| Histoire | |
| A servi dans |  Royal Navy
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| Commandé | |
| Lancement | |
| Statut | démoli en 1802 |
| Caractéristiques techniques | |
| Longueur | 50,44 m |
| Maître-bau | 14,17 m |
| Tirant d'eau | 6,02 m |
| Caractéristiques militaires | |
| Armement | 74 canons |
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Le HMS Warspite est un vaisseau de ligne de troisième rang, armé de 74 canons, en service dans la Royal Navy à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Construit par les chantiers de Deptford, il est lancé le [2].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le HMS Warspite effectue son premier service durant la guerre de Sept Ans, dans l'escadre de 14 navires de l'amiral Edward Boscawen en Méditerranée. Il prend part à la bataille de Lagos les 18 et durant laquelle il capture le Téméraire.
Le Warspite participe également à la bataille des Cardinaux le dans l'escadre commandée par Edward Hawke[3]. De 1761 à , William Saltren Willet en assure le commandement[4].
Après la signature du traité de Paris (1763), le navire est reclassé le , n'apparaissant plus qu'en tant que navire-hôpital durant la guerre d'indépendance des États-Unis (1775-1783). À partir de 1778, il est confiné au port[2], renommé Arundel en [3] et finalement démoli en 1802[2].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (en) Iain Ballantyne, Warspite warships of the royal navy, Pen & sword books Ltd, , 224 p. (ISBN 0-85052-779-1)
- (en) Brian Lavery, The Ship of the Line : The Development of the Battlefleet 1650-1850, vol. 1, Conway Maritime Press, (ISBN 0-85177-252-8)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « HMS Warspite (1758) » (voir la liste des auteurs).
- Autres sources
- (en) « Plans de bateaux », sur un site du Royal Museums Greenwich (consulté le ).
- Lavery 2003, p. 176.
- Ballantyne 2001, p. 16.
- « William Saltern Willett », sur threedecks.com (consulté le ).
