George Hay (2e comte de Kinnoull)
Pour les articles homonymes, voir George Hay.
| Membre du Conseil privé du Royaume-Uni | |
|---|---|
| Membre du Parlement d'Écosse |
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Activité | |
| Père | |
| Mère |
Margaret Halyburton (d) |
| Enfants |
Lady Mary Hay (d) Lady Catherine Hay (d) James Hay (d) William Hay George Hay (en) |
George Hay (1596 - ), est un pair écossais, un officier militaire et un responsable politique.
Biographie[modifier | modifier le code]
Il est le fils de George Hay (1er comte de Kinnoull), qui est créé comte de Kinnoull par le roi Charles en 1633, et de Margaret, fille de Sir James Halyburton [1].
Il est membre du Conseil privé et sert comme capitaine des Yeomen of the Guard de 1632 à 1635. Il est farouchement fidèle au roi Charles et combat dans la guerre civile anglaise, quand il se distingue « par une fidélité inébranlable à son malheureux souverain, et des services vaillants et actifs en tant que soldat dans sa cause » [2].
En 1643, le comte refuse de signer l'alliance de la Ligue solennelle.
Le comte meurt à Whitehall, le 5 octobre 1644. Il est enterré à l'église Waltham Abbey dans l'Essex.
Famille[modifier | modifier le code]
Son frère aîné, Sir Peter Hay, meurt célibataire en 1621, laissant George hériter du comté. En 1622, il épouse Ann, fille aînée de William Douglas (7e comte de Morton). Ils ont six fils et six filles[1] :
- George Hay (3e comte de Kinnoull) (en) ;
- William Hay (4e comte de Kinnoull) ;
- James ;
- Robert ;
- Pierre, baptisé le ;
- Charles ;
- Anne ;
- Marguerite ;
- Mary, mariée le à George Keith, 8e comte Marischal ;
- Elisabeth ;
- Jean ;
- Catherine ( – ).
Références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « George Hay, 2nd Earl of Kinnoull » (voir la liste des auteurs).
- James Balfour Paul, The Scots Peerage, D. Douglas, , 220–223 p.
- A Genealogical and Heraldic Dictionary of the Peerage and Baronetage of the British Empire, vol. 42, Henry Colburn, (lire en ligne), p. 708
Liens externes[modifier | modifier le code]
