Dominique Harmel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dominique Harmel
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Fonction
Député de la Communauté française
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (69 ans)
Nationalité
Activités
Autres informations
Parti politique

Dominique Harmel est un homme politique belge libéral, né le . Il fut ministre régional bruxellois et est actuellement échevin des finances et du budget de la commune bruxelloise de Woluwe-Saint-Pierre[1].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

D'abord membre du PSC, il fut député bruxellois et ministre bruxellois du Transport, de 1994 à 1995. Il quitte le PSC quand celui-ci changea sa dénomination en cdH et fonde un nouveau parti appelé Chrétiens démocrates francophones.

En 2000 il se présenta, au niveau communal à Woluwe-Saint-Pierre, en tant qu'indépendant sur La Liste du Bourgmestre emmenée par Jacques Vandenhaute (MR). En 2012, il se présente sur une liste Gestion communale avec ce dernier, comme dissidence à la liste du bourgmestre de Willem Draps[2].

En 2014, au niveau Régional à Bruxelles, il se présenta à nouveau en tant qu'Indépendant sur les listes du FDF[3].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Il est le fils de Pierre Harmel, ancien Premier Ministre belge.

Il est avocat.

Carrière politique[modifier | modifier le code]

  • conseiller communal à Woluwe-Saint-Pierre
    • président du CPAS (2000 - 2012)
    • échevin des Finances (2012 - ...)
  • député bruxellois (1989-1999)
    • député communautaire francophone
  • Ministre bruxellois du Transport en remplacement de Jean-Louis Thys, démissionnaire (1994 à 1995)[4]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Composition du Collège », sur Woluwe-Saint-Pierre (consulté le )
  2. « Woluwe-Saint-Pierre : Harmel et Vandenhaute se liguent contre Willem Draps », sur Le Soir, (consulté le )
  3. J.LGG., « Dominique Harmel rejoint le FDF », sur Le Libre.be, (consulté le )
  4. « Dominique Harmel a succédé à Jean-Louis Thys au ministère des travaux publics et communications : la mise sur rail d'un fils... », sur Le Soir, (consulté le )