Discussion:Víctor Jara

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"les militaires lui auraient brisé les doigts avant de lui intimer l'ordre de chanter." .. depuis quand une hache brise ? "les militaires lui auraient haché les doigts" serait plus 'historique'

Les haches brisent les doigts quand elles ne sont pas utilisées du coté coupant. Ou alors quand elles ne sont pas aiguisées... Mais si vous avez des sources le confirmant ?--SammyDay (d) 25 mai 2012 à 17:21 (CEST)[répondre]
Apparemment une source est donnée dans l'article : l'Humanité du 13 janvier 2000. Comme l'article de presse n'est plus accessible, on peut en trouver une citation à la référence n°1 qui reproduit le récit écrit par Miguel Cabezas : selon celui-ci, les doigts auraient été coupés et Victor Jara aurait levé « ses mains dégoulinantes de sang ». Cette version est contredite par le témoignage de Joan Jara, veuve de Victor, qui affirme avoir récupéré le corps de son mari présentant des signes de torture et les poignets brisés, mais pas les doigts coupés (article de l'Humanité du 31 janvier 2000, intitulé Trois destins de femmes chiliennes). NB : On peut lire ces deux articles en ligne en faisant une recherche sur le site de l'Huma (mot clé Victor Jara sur le mois de janvier 2000). Cordialement. Musicaline [Wi ?] 25 mai 2012 à 23:06 (CEST)[répondre]
Les faits changent en fonction des sources. Apollon (d) 26 mai 2012 à 00:04 (CEST)[répondre]
Donc les deux sont à mettre, et les sources également.--SammyDay (d) 26 mai 2012 à 02:06 (CEST)[répondre]

voici le texte de cabezas sur la mort de jara: "(témoignage de Miguel Cabegas, témoin oculaire) "A un certain moment, Victor descendit près de la porte par où entraient les détenus, et là, il se heurta au commandant. Celui-ci le regarde et fait le geste de celui qui joue de la guitare(Victor était un guitariste très connu)…Victor sourit tristement en faisant oui de la tête. Le militaire sourit à son tour content de sa découverte. Il appelle quatre soldats pour l'immobiliser et ordonne qu'on apporte une table au centre de la scène pour que nous assistions tous au spectacle. On ammena Victor et on lui ordonna de mettre les mains sur la table. Dans les mains de l'officier une hache apparut. D'un coup sec, il coupa les doigts de la main gauche, puis d'un autre coup ceux de la main droite. Le corps de Victor s'écroula lourdement. On entendit le hurlement collectif des 6000 détenus. Ces 12000 yeux virent le même officier se jeter sur le corps de l'artiste en criant: "Chante maintenant pour ta putain de mère" et continuer à le rouer de coups. Tout d'un coup, Victor essaya péniblement de se lever et, comme un somnambule, se dirigea vers les gradins, les genoux tremblants, et l'on entendit sa voix qui hurlait: "ON va faire plaisir au commandant". Après quelques instants, il réussit à se dresser, et, levant ses bras dégoulinant de sang, d'une voix angoissée, il commença à chanter l'hymne de l ' Unité Populaire que tout le monde reprit en chœur. On vit un sourire étrange sur son visage… C'était trop pour les militaires; on tira une rafale et Victor se plia en avant… D'autres rafales partirent… Il y eut un véritable écroulement de corps. Les cris des blessés étaient épouvantables. Mais Victor ne les entendait plus. Il était mort." jean max bruat publia une chanson sur la mort de jara: souviens toi des doigts de l'homme.. un lien http://chansonsquetoutcela.over-blog.com/article-14557671.html amicalement

[1 Jul 2000 – JOAN JARA - A Víctor le llevaron al estadio de la Universidad Técnica, allí le torturaron. Yo vi su cuerpo muy maltratado y las manos machacadas aunque no cortadas. http://www.babab.com/no03/joan_jara.htm] et une chanson de Quilapayún [1] où il est bien dit que les mains ont été tranchés (plus forte impression) ... Les doigts oui, les mains machacadas . Mike Coppolano (d) 8 juin 2012 à 04:47 (CEST)[répondre]

Une amie française, en séjour d'étude, était dans le stade. Elle m'a rapporté la scène des mains broyées et ensanglantées et du chant interrompu par les mitraillettes...F3promo (d) 9 octobre 2012 à 04:34 (CEST)[répondre]