Discussion:Réacteur à eau pressurisée

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Génération II[modifier le code]

L'article mentionne que la technologie REP est une technologie de génération II. Je pense que cette phrase peut induire en erreur le lecteur. En effet, selon mes souvenir, la génération II désigne avant tout les premiers réacteurs électrogène tandis que la génération I désignait les réacteurs plutogène et les programmes de propulsion militaire. Or il me semble que la technologie REP était déjà utilisé par les ingénieurs de l'Amiral Rickover pour les premiers sous-marins à propulsion nucléaire. Enfin, une génération ne s'applique pas à une filière mais à un réacteur : Flamanville 2 = génération 2 et Flamanville 3 = génération III/III+, pourtant les deux réacteurs sont des REP. Qu'en pensez-vous ? --Cuv (d) 18 octobre 2011 à 14:25 (CEST)[répondre]

100% d'accord. article modifié.--Moulins (d) 18 octobre 2011 à 15:48 (CEST)[répondre]

Niveau de tension bizarre[modifier le code]

Dans le schéma il y a 380kV, ne serait pas plutot 420kV? En tout cas, 380kV n'est pas une tension standard. Skiff (d) 25 juin 2009 à 18:13 (CEST)[répondre]

En fait, c'est 400 kV en France et 380 kV en Belgique. Je ne sais pas pour les autres pays. --Jeshortdi (d) 25 juin 2009 à 19:00 (CEST)[répondre]
Euh, il y a des normes internationales (CEI) qui definissent les niveaux de tensions, cela évite l'anarchie et permet les interconnexions [1]. Je pense mlutôt que les différences viennet de la tension noiminale et maxi. A confirmer. Skiff (d) 12 juillet 2009 à 08:22 (CEST)[répondre]
Je suis pas un expert dans ce domaine mais pour la THT on parle toujours de 400KV en France et 380KV en Belgique. Pour la HT, c'est 225KV en France et 150KV en Belgique, ce qui fait des différences assez élevées pour provenir d'une diff entre tension nominale et tension maxi... Mais c'est à creuser en effet, je vais essayer de me renseigner ! --Jeshortdi (d) 12 juillet 2009 à 21:15 (CEST)[répondre]

Un lien qui explique dans quelle mesure on peut faire varier la puissance d'un réacteur[modifier le code]

pour s'adapter aux demande du réseau. [[2]] Skiff (d) 3 septembre 2009 à 15:08 (CEST)[répondre]

rendement[modifier le code]

N'étant pas du domaine, je ne comprends pas la phrase suivante: Le rendement global de conversion de la chaleur en électricité est d'environ 33 %. Je ne suis pas non plus sur que grand monde la comprenne. Que veut-elle dire exactement? Par exemple, est-ce que ça veut dire que pour 3GW de chaleur, 1GW est converti en électricité, et 2GW de chaleur servent à réchauffer l'environnement? Je ne suis pas sur de bien comprendre. 93.25.165.221 (d) 6 avril 2011 à 01:20 (CEST)[répondre]

Oui, c'est ça (même s'il faut faire attention à l'expression "réchauffer l'environnement" qui peut prêter à confusion). Je me demande si l'ajout suivant rend la phrase plus compréhensible : Le rendement global de conversion de la chaleur en électricité est d'environ 33 %, ce qui signifie qu'un tiers de l'énergie thermique est transformé en énergie électrique.--'titotor (d) 12 août 2011 à 16:24 (CEST)[répondre]

Défaillances majeures[modifier le code]

Pourquoi parler de l'accident de Fukushima dans cet article alors que la technologie est différente ?--'titotor (d) 12 août 2011 à 16:25 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord.
--Cuv (d) 18 octobre 2011 à 14:25 (CEST)[répondre]

bilan neutronique[modifier le code]

"70 neutrons subissent des captures fertiles par 70 noyaux du matériau fertile 238U, les transformant en autant de noyaux fissiles de 239Pu", or 238U contient 92 protons et 146 neutrons et 239P a 94 protons et 145 neutrons. J'ai du mal à comprendre comment la capture d'un neutron par un 238U peut le transformer en 239P, il doit manquer une étape quelque part pour rajouter les 2 protons... 92.139.19.144 (discuter) 6 janvier 2013 à 21:28 (CET)[répondre]

Voir page uranium 238 :
c'est un isotope fertile car il donne un isotope fissile — en l'occurrence, le plutonium 239 — par capture d'un neutron puis deux désintégrations β successives :
Conclusion normale 238+1 = 239 ; et 92>94 produit rayonnement. --Gnrc (discuter) 2 décembre 2023 à 12:25 (CET)[répondre]

Durée de vie[modifier le code]

Rien, me semble-t-il, n'est dit sur la durée de vie des réacteurs. — Berdea (discuter) 7 avril 2020 à 09:57 (CEST)[répondre]

Effectivement Berdea, on n’en parle pas non plus dans l’article sur les REP. Par contre il y a des éléments dans l’article concernant les centrales nucléaires françaises. Si vous créez un §, attention à bien différencier durée de vie, de durée d’exploitation (cf pour la France les arrêts d’exploitation de Creys-Malville et Fessenheim avant la fin de leur durée de vie!). Cdlt.--Thepat (discuter) 7 avril 2020 à 15:50 (CEST)[répondre]
Pour moi effectivement il s'agit bien de la durée de vie liée au vieillissement des matériels et au fait également que les responsables tendent à vouloir augmenter la durée d'exploitation au delà des durée de vie initialement prévues. Quant à écrire quelque chose, cela ne sera pour tout de suite...
PS : pour Creys-Malville l'arrêt est lié à des considérations diverses et effectivement la durée d'exploitation a été inférieure à la durée de vie et même très inférieure ! Mais pour Fessenheim, la durée d'exploitation a dépassé la durée de vie initiale qui a été prolongée par des travaux de maintenance dont il est toujours difficile d'apprécier la qualité. — Berdea (discuter) 7 avril 2020 à 16:02 (CEST)[répondre]
Néanmoins, il n’existe pas, en France, de limitation légale fixe de la durée de vie des centrales nucléaires, y-compris pour Fessenheim. Un réexamen de sûreté spécifique périodique est réalisé à chaque décennale, à la suite duquel une nouvelle période de 10 ans est ou n’est pas accordée. Les travaux de maintenance et leur qualité est appréciée notamment par l’ASN qui valide ou pas. Cdlt. --Thepat (discuter) 7 avril 2020 à 17:05 (CEST)[répondre]
La durée de vie de 40 ans initialement prévue était seulement une durée d'amortissement comptable. Quant à la durée de vie technique, on peut constater qu'elle est de 60 ans pour la plupart des réacteurs aux États-Unis, pays qui compte le plus grand nombre de réacteurs, et que plusieurs centrales ont déposé des dossiers pour prolonger leur exploitation à 80 ans.--Jpjanuel (discuter) 7 avril 2020 à 18:40 (CEST)[répondre]
Réponse à Thepat : je sais cela. Mais finalement tout est dans les mains de l'ASN qui peut apparaître comme relativement indépendante (voir leur audit de l'EPR de Flamanville) mais dont tous les dirigeants sont issus des grands corps de l'Etat, et notamment de l'Ecole des Mines, dont on sait qu'ils ne sont pas spécialement antinucléaires...
Réponse à Jpjanuel : Je me souviens des fissures apparues il y a plus de 20 ans (?) sur les générateurs de vapeur et qu'il a fallu changer les uns après les autres et cela coûtait (à l'époque) 600 MF par générateur...
En tout cas, je vois que je sujet vous intéresse. — Berdea (discuter) 7 avril 2020 à 18:54 (CEST)[répondre]
Il ne faut pas confondre la durée de vie du réacteur, qui dépend pour l'essentiel de celle de sa cuve, avec la durée de vie des divers composants secondaires, dont les générateurs de vapeur : nombre de ces composants doivent être remplacés plusieurs fois lors de la vie du réacteur ; cela ne semble pas décourager les exploitants, qui continuent pour la plupart à miser sur l'extension de la vie des réacteurs.--Jpjanuel (discuter) 7 avril 2020 à 19:25 (CEST)[répondre]