Discussion:Pierre Marcilhacy

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Je ne ferai pas la guerre pour « guère »[modifier le code]

Je ne vois pas, Grindin, à quoi rime cette correction de « qui n’est guère passé » en « qui n’est passé » mais, enfin, je sais qu’il y a des Wikipédiens qui ont besoin de marquer leur passage, comme des chiens qui tiennent à laisser une trace. Je ne vais pas contrarier la nature et me lancer dans une guerre d’édition. Werewindle viendrait vous soutenir et Alvaro me préviendrait une nouvelle fois qu’il me tient à l’œil. Gustave G. 10 décembre 2005 à 14:46 (CET)[répondre]

Le deuxième tour de l'élection présidentielle de 1965[modifier le code]

Je lis : « Il se prononça en faveur de François Mitterrand (natif de Jarnac comme lui) pour le second tour de l'élection présidentielle. » Dans mes souvenirs ce n'était pas cela ; il me semble que Mitterrand lui avait offert pour le consoler une vague présidence d'un comité destiné à surveiller la bonne marche du vote. Il prit très au sérieux cette médaille en chocolat et, quand on lui demanda pour qui il voterait, il répondit que les hautes fonctions qu'il avait acceptées lui interdisaient de répondre. Mais il faudrait aller vérifier aux archives et je suis vieux et malade. Gustave G. (d) 21 décembre 2008 à 19:05 (CET)[répondre]

Les interventions de la petite-fille[modifier le code]

Une I.P. prétend être la petite-fille de Pierre Marcilhacy et a sabré sans explications tout ce qui n'était pas de l'hagiographie envers son grand-père ; c'est bon d'avoir l'esprit de famille mais il ne faut pas exagérer. Le manque de notoriété auprès du grand public du candidat malheureux aux élections de 1965 était assez patent et il ne suffit pas d'en rayer la mention pour faire de lui quelqu'un de célèbre à l'époque ; cela date de quarante-cinq ans mais j'en ai un souvenir très net : nous nous demandions tous de qui il s'agissait. Cela ne veut pas dire qu'il n'était pas connu dans le milieu restreint des juristes ; il y avait même bonne réputation puisqu'en 1958 il fut élu par ses pairs parmi les six membres destinés à représenter le Conseil de la République au Comité consultatif constitutionnel créé pour participer à l'élaboration de la nouvelle Constitution[1]. Il s'y prononça contre le cumul des fonctions de ministre et l'exercice d'un mandat parlementaire[2]. Mais si Léon Noël prend soin d'écrire en parlant de lui à cette occasion : « [un parlementaire] appelé depuis à une grande notoriété », c'est bien le signe qu'à ce moment même il n'avait pas cette notoriété et ne l'a obtenue que par sa candidature ultérieure.

Ce n'est pas que sa vie politique ait été vide. On peut rappeler par exemple que c'est lui qui en 1971, dans la fameuse séance du 28 juin 1971 fit adopter la question préalable qui rejeta la réforme du droit d'association, prélude à la cassation historique de cette réforme par le Conseil Constitutionnel[3]. D'autres choses seraient encore à signaler, seulement Mme X... (ou plutôt Mme Y...) ne nous apporte rien par ses interventions et se borne à interdire qu'on dise quoi que ce soit sur son ancêtre sans la permission de sa petite-fille. Je travaillerai donc l'article quand j'aurai le temps (actuellement j'ai d'autres soucis privés en tête) et je demanderai au besoin sa protection pour empêcher que des I.P. le modifient selon leurs caprices et sans donner de références.

  1. François Goguel, « L'élaboration des institutions de la République dans la Constitution du 4 octobre 1958 » p. 80 in Revue française de science politique Année 1959, Volume 9, Numéro 1, pp. 67-86.
  2. Léon Noël, « Ministres et députés » in Revue française de science politique, Année 1968, Volume 18, Numéro 2, pp. 213-229.
  3. « La question préalable du sénateur Marcilhacy » sur le site du Sénat.