Discussion:Monuments (cyclisme)
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Recherche de monuments anciens[modifier le code]
"monuments du cyclisme" sur Gallica :
- 1945 : Bordeaux-Paris et le Tour [de France] ce sont là deux monuments du cyclisme français et même mondial, qui demandent de longs mois de préparation pour les organisateurs… et les coureurs.
- 1996 : Jalabert est, bien évidemment, le grandissime favori de Liège-Bastogne-Liège, l’un des cinq monuments du cyclisme des classiques avec Milan-San Remo, le Tour des Flandres, Paris-Roubaix et le Tour de Lombardie.
"monument du cyclisme" sur Gallica :
- 1938 : Dans deux mois et quelques jours, le Tour de France quittera Paris. Ce n’est pas « toute » la saison, comme certains confrères ont tendance à le croire. Mais c’est l’épreuve capitale du mois de juillet, le « monument » du cyclisme international.
- 1938 : La plus ancienne et la plus prestigieuse des grandes épreuves cyclistes retiendra à nouveau demain l’attention des foules tout au long de la route qui relie Bordeaux à Paris. Depuis sa création cette course venant après Paris-Roubaix et Paris-Tours, offre un caractère bien différent et tout à fait particulier. Alors que Paris-Roubaix se présente aride, dure et très ouverte et que Paris-Tours se confine dans le triomphe de la vitesse, Bordeaux-Paris est un « monument » du cyclisme défendu âprement envers et contre tous.
- 1948 : Actuellement, nous dit-il, nous avons huit hommes susceptibles de bien se comporter dans le Tour [de France] qui, à mes yeux, est le monument du cyclisme international.
- 1949 : 220 coureurs au départ, mais le duel revanche Coppi-Van Steenbergen dominera Paris-Roubaix “monument” du cyclisme[.] Paris-Roubaix, c’est le beffroi, la fl[è]che de la cathédrale, émergeant, témoins du passé et d’un art oublié, au cœur de la cité nouvelle, au milieu des « buildings ». L’érosion, les pigeons et les guerres ont bien un peu abîmé les vieilles pierres, mais le peuple sportif conserve pour l’épreuve historique et classée la vénération qui entoure à Pise la Tour Penchée, à Londres la fontaine de Piccadilly et à Moscou le Kremlin. Ils n’en ont pas en Amérique.
- 1950 : Désormais le Tour de France est roi. Il n’est plus un champion qui ne consacre tous ses efforts à cette épreuve colossale, véritable monument du cyclisme mondial.
- 1952 : L’annonce de la composition de l‘équipe italienne officielle a rassuré les Transalpins qui sont les premiers à déclarer que le Tour de France est un monument du cyclisme mondial, et ils n’imagineraient pas qu’ils puissent s’en écarter.
- 1974 : Le Tour de France, c’est le monument du cyclisme, la seule course au monde qui puisse instantanément assurer la célébrité à un […]
-- Schild en Vriend (discuter) 20 mai 2023 à 23:53 (CEST)
Anachronisme[modifier le code]
Bonjour, L'appellation de "monuments" du cyclisme est anachronique avant le XXIème siècle, et n'a pas de pertinence pour les champions qui couraient auparavant. Le GP des Nations comptait autant qu'une classique comme le Tour de Lombardie, dans le comptage du Super Prestige Pernod. Rigmarole and paraphernalia (discuter) 2 mars 2024 à 15:15 (CET)
- « Die term vond pas ingang vanaf 1986. Toen al wilde de vereniging van internationale organisatoren (AIOCC) samen met UCI (FICP)-voorzitter Hein Verbruggen de internationale wielerkalender hervormen. Een nieuwe pijler moest, vanaf 1989, de Wereldbeker worden, een regelmatigheidscriterium van tien tot twaalf wedstrijden waarvoor ‘vijf klassiekers die als monumenten van het wielrennen worden aangezien’ – zoals het toen genoemd werd – als eerste in aanmerking kwamen. Hein Verbruggen was een groot voorstander van die Wereldbeker. Hij wilde de wielersport internationaler maken, onder meer met de nieuwe Wincanton Classic in Engeland en de Grand Prix des Amériques in Montréal.
Daarnaast moest de Wereldbeker, zo vertelde Verbruggen in een interview met Le Monde [1], de ‘monumenten’ van het wielrennen veiligstellen. Die prestigieuze titel verloor in de jaren erna zijn aanhalingstekens en werd uiteindelijk een officieuze stempel voor de grootste vijf eendagswedstrijden. »
(Jonas Creteur, « Luik-Bastenaken-Luik is een ‘monument’ in het wielrennen. Waar komt die term vandaan? », Knack, (lire en ligne))