Discussion:Marie-Hélène Cardot

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Quelques (faux) entre parenthèses et des remarques rendent l'article un peu brouillon.

Je supprime le premier faux , puisque d'après la biographie du site du sénat c'est vrai.

Je n'ai pas trouvé confirmation de sa "condamnation à mort" faisant l'objet du 2 ème faux. Cardot Ernest est mentionné (assassiné par un traite) mais Marie-Hélène n'apparait pas dans la liste des fusillés (voir lien ci-après). Elle a pu néanmoins avoir été condamnée à mort puisque que seuls ceux qui ont été effectivement fusillés sont mentionnés.

Je supprime néanmoins la phrase quitte à la remettre si quelqu'un trouve une trace de sa condamnation à mort.

Le 18 juin 1944, elle est de nouveau arrêtée et condamnée à mort (faux).

Son convoi a bien été attaqué selon le site du Sénat je supprime donc la remarque: 'Toujours faux' : je vous invite à consulter le registre d'écrou de la prison de Charleville aux Archives départementales (1431 W 1) : il n'y eut jamais de levée d'ecrou pour la détenue Cardot comme il n'y eut jamais de convoi... Sur l'arrestation de Mme Cardot et son rôle dans la Résistance, je vous invite à lire Face à la Gestapo (éditions Euromedia) (voir http://ardennetiensferme.over-blog.com/article-face-a-la-gestapo-un-grand-livre-a-paraitre-cet-automne-80502220.html)

elle n'évite la déportation que grâce à une action de force de la Résistance qui attaque son convoi (jamais son convoi, et lequel ?)

j'essaye de trouver confirmation des autres informations.

liens externes[modifier le code]

Frydman Charles (d) 31 décembre 2008 à 19:14 (CET)[répondre]

M.H. Cardot et la résistance[modifier le code]

Mme Cardot n'a jamais été condamnée à mort, elle n'a même pas été jugée, mais incarcérée avec sa mère à la prison de Charleville le 18 juin 44 après avoir été arrêtée par les Allemands pour son rôle d'intermédiaire entre la maquis du Banel et la Résistance ardennaise. Son convoi ne fut jamais attaqué par la Résistance le 29 août. Les portes de la prison de Charleville furent ouvertes par les Allemands ce jour-là, les Allemands quittant la ville. Mme Cardot fut libérée. Seuls 13 patriotes tirés de la prison furent exécutés le 29 août (voir : http://ardennetiensferme.over-blog.com/article-1467372.html) Par ailleurs, M. H. ne fut pas une "grande résistante" : son mari, Ernest Cardot le fut, il fut tué par un traître le 5 juin 1943 au bois de l'Alma, près de Mouzon. Il avait créé un maquis, l'un des premiers dans les Ardennes (et non le premier, qui fut celui du Banel près de Carignan). D'après un de ses proches en cette période, un ancien résistant associé à son mari, Mme Cardot était une catholique pratiquante très dévote, pour qui le Maréchal Pétain était le modèle, et ce jusqu'à la Libération... Quant à Ernest Cardot, il fut bien un des principaux "camelot du roi" dans les Ardennes et le représentant du parti franciste dans la région jusqu'à la guerre. Ce qui ne l'empêcha pas de se dresser très tôt contre les Allemands. Sa femme était-elle au courant de son activité de résistant ? Pas sûr... PL--Ardennetiensferme (d) 26 septembre 2009 à 08:26 (CEST)[répondre]

Mme Cardot et la Résistance[modifier le code]

Toute cette partie est remplie d'erreurs et de contre-vérités.

"Dans les semaines qui précèdent l’armistice du 22 juin 1940, Mme Cardot qui ne peut accepter de voir son pays occupé par les Allemands, associe ses efforts à ceux de son mari (faux elle ignore son action)dans l’organisation d’une filière d’évasion pour les prisonniers de guerre. Son mari est le responsable des francistes dans le département (avant la guerre, pas après la défaite) . Leur activité ne passe pas inaperçue. Marie-Hélène est arrêtée en mars 1941 et emprisonnée à Sedan (pourquoi ?). Lorsqu'elle est libérée pour faute de preuves le 15 avril 1941 , elle reprend son activité clandestine de résistante (faux). Toujours aux côtés de son mari, elle participe à la création du second maquis des Ardennes (Quel maquis des Ardennes ? le second ? ce passage ne veut rien dire).

Après l’assassinat de son époux le 5 juin 1943, Mme Cardot continue seule la lutte et poursuit son assistance aux maquisards et aux évadés, au sein du réseau « Organisation civile et militaire » (l'OCM fut un mouvement, pas un réseau, elle ne participe à rien, mais reste emblèmatique, car épouse d'Ernest). Le 18 juin 1944, elle est de nouveau arrêtée (savez-vous pourquoi ?). Incarcérée à Charleville-Mézières, elle n'évite la déportation que grâce à une action de force de la Résistance qui attaque son convoi et la libère le 29 août." Cette dernière phrase est totalement fausse comme je l'ai déjà signalé.

Que dire de plus ? Vous persevérez dans l'erreur. Si vraiment le rôle de Mme Cardot dans la Résistance vous intéresse, contactez-moi par l'intermédiaire du site http://ardennetiensferme.over-blog.com/. Je pourrais vous faire rencontrer un ami de M. Cardot, résistant, et intime de Mme Cardot après guerre (s'il accepte de vous en parler). L'image que vous donnez de cette dame est loin de la vérité. Mais qui osera l'écrire ? ... Ardenne

Encore une erreur !

"Membre du comité départemental de Libération, Marie-Hélène Cardot s'engage, à la demande de ses compagnons de résistance, dans une carrière politique à la fin des hostilités." Encore un faux. Mme Cardot n'a jamais fait partie du CDL des Ardennes (voir G. Grandval et A. Jean Collin, Libération de l'Est de la France, Hachette, 1974, p. 236) Une dame Jeanne Carlot, avocate, vraie résistante, en fit partie d'où confusion possible... D'où tenez-vous toutes ces bétises ? Ardenne

Biographie ou hagiographie ?[modifier le code]

'"Membre du comité départemental de Libération, Marie-Hélène Cardot s'engage, à la demande de ses compagnons de résistance, dans une carrière politique à la fin des hostilités." Encore un faux. Mme Cardot n'a jamais fait partie du CDL des Ardennes (voir G. Grandval et A. Jean Collin, Libération de l'Est de la France, Hachette, 1974, p. 236) Une dame Jeanne Carlot, avocate, vraie résistante, en fit partie d'où confusion possible... D'où tenez-vous toutes ces bétises ? Ardenne'