Discussion:Marba (peuple)

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Repris de l'article Marba (langue)[modifier le code]

Aspects de la mode de vie des Azumeina[modifier le code]

Comme Wenying Jian a noté succinctement :

Language simultaneously reflects culture, and is influenced and shaped by it. In the broadest sense, it is also the symbolic representation of a people, since it comprises their historical and cultural backgrounds, as well as their approach to life and their ways of living and thinking. Brown (1994 : 165) describes the two as follows : ‘…one cannot separate the two without losing the significance of either language or culture.’ [1]

En français ça veut dire :

Une langue reflète simultanément de la culture, et est influencée et façonnée par elle. Dans le sens le plus large, elle est également la représentation symbolique d’un peuple, car elle comprend leurs contextes historiques et culturels, ainsi que leur approche de la vie et de leurs façons de vivre et de penser. Brown (1994: 165) décrit les deux comme suit: «[...] on ne point pas séparer les deux sans perdre la signification de l’autre : de la langue ou de la culture. »

En 1969, Robert Price écrivit de certains aspects de la mode de vie des Azumeina :

The Azumeina, numbering approximately 50,000 at the present time, 1969, are friendly in disposition (as their name in their language implies), but are still very much a primitive tribe. Their main diet is rice, sorghum and peanuts; some grow cotton, but their methods of agriculture are still extremely primitive. They have no machinery and no methods of irrigation, depending entirely on the rainfall. Very often, because of low rainfall, their rice crop is poor and consequently there is insufficient for them to eat. The poor diet and lack of hygiene results in disease and malnutrition. Their clothing is also primitive; the men often wearing just a goat skin. The women love to decorate themselves with beads, heavy bracelets around wrists and ankles, and many still pierce their top and bottom lips, gradually enlarging the hole so that they can insert metal discs the size of a small cotton reel[2].

En français ça veut dire :

Les Azumeina, au nombre d’environ 50 000 à l’heure actuelle, 1969, sont sympathiques à disposition (comme leur nom dans leur langue implique), mais sont encore non industrialisés. Leur régime alimentaire principal est de riz, de sorgho (c’est-à-dire de mil) et de l’arachide; certains cultivent de coton, mais leurs méthodes de l’agriculture sont encore très rudimentaires. Ils n’ont pas de machines et pas de méthodes d’irrigation ; ils dépendent entièrement des précipitations. Très souvent, en raison de faibles pluies, leur récolte de riz est pauvre et par conséquent, il est insuffisant pour eux de manger. La mauvaise alimentation et le manque d’hygiène causent de maladie et de la malnutrition. Leur habillement est également rudimentaire : les hommes portant souvent seulement une peau de chèvre. Les femmes aiment à se décorer avec des perles, de lourds bracelets autour des poignets et des chevilles, et beaucoup percent encore leurs lèvres supérieures et inférieures, élargissant progressivement le trou de sorte qu’ils peuvent insérer des disques de métal de la taille d’une petite bobine de coton.

En 2014, un visiteur aurait remarqué quelques différences frappantes. Hommes, femmes et enfants portent des vêtements en tissu. Lourds bracelets et des disques à lèvres ont disparu. Chaque jour des dizaines de véhicules automobiles passent le long de la route goudronnée qui va de N’Djaména à travers les patries Azumeina vers Moundou qui est la ville majeure du sud. Les tours de téléphonie mobile parsèment le paysage.

Pourtant, beaucoup de choses restent les mêmes.

Les Azumeina sont toujours amicale dans la disposition et aiment voyager et chanter. Des relations sociales et du clan sont encore forts, fournissant des raisons de vivre et contribuant à la sécurité personnelle.

Le régime alimentaire est toujours basé sur de riz, de sorgho, de mil et de l’arachide avec un peu de taro. L’approvisionnement alimentaire dépend encore entièrement des pluies. Famine, une mauvaise alimentation et l’hygiène sous-optimale résultent encore en beaucoup de difficultés bien que les Azumeina se lavent les mains avant et après les repas.

Il n’y a toujours pas de l’électricité ou de l’eau municipale dans les patries Azumeina. Pompes à main sur de puits couverts ont commencé à être mis en place. Ceux-ci sont plus hygiéniques et ont plus de sécurité que l’ancienne méthode du seau et de la corde. Toilettes, habituellement du type de fosse couverte, sont plus fréquents. Cependant, la question est de savoir si les parasites migrent dans l’eau potable des puits adjacents, car la nappe phréatique se situe généralement entre 1 et 3 m en dessous du sol.

Notes et références[modifier le code]

  1. (en) Wenying Jian, « The relationship between culture and language », ELT Journal, Oxford University Press, vol. 54/4,‎ , p.328s (résumé, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Price, Robert, 'An Article' reproduite en Price, Colin (1994), The Work of Christian Brethren Missionaries to Chad, Australie, Colin Price, , 208800 mots

Bonjour

Comme je j'ai effacé la section suivante de l'article Marba (langue) parce qu'une bonne partie est un TI possible et que cela n'a pas non plus a voir directement avec la langue, mais Aucassin (d · c · b) m'a fait remarquer que ça aurait pu servir dans l'article sur le peuple marba, je le transfère ici. Je n'ai pas voulu le recopier dans l'article car c'est une traduction faite à moitié depuis l'article en anglais, article rédigé dans un anglais aux tournures étranges par le même contributeur en passant, mal wikifiée et mal présentée qui plus est, donc je laisse à celui ou celle qui se sent le courage de piocher dedans pour améliorer l'article, en faisant attention à ce que les paragraphes suivant les citations ne sont pas sourcés et relèvent peut être d'un travail inédit. Cordialement, Şÿℵדαχ₮ɘɼɾ๏ʁ You talkin' to me? 13 novembre 2015 à 18:54 (CET)[répondre]