Discussion:L'Homme qui rit

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Le présent article sur l' homme qui rit comporte une citation mal recopiée : en latin ; la phrase "l'homme est un loup pour l'homme", est "homo homini lupus" (par mégarde , il est écrit homo hominem lupus) Pierre Roux <pierre-roux4@yahoo.fr>

Vous avez raison, il y a même une page Homo homini lupus. J'ai corrigé la citation. (Je me suis également permis de remettre votre remarque en forme) Mf9000 (d) 28 juillet 2008 à 16:03 (CEST)[répondre]

Règne de George III[modifier le code]

Le roman ne se déroule pas sous le règne de George III mais sous celui de la Reine Anne Iere vers 1705.

Rembourrage de la description[modifier le code]

Je viens de finir L'Homme qui rit, je me suis donc permis d'étoffer un peu la description.

Il reste quelques erreurs que je corrige. HB (d) 15 décembre 2010 à 18:18 (CET)[répondre]

Au sujet de Barkilphedro[modifier le code]

Cet ajout

Toutefois, la figure de Barkiphedro s'avère plus subtile qu'elle n'y parait. S'il est bien un être fourbe et envieux, et clairement, un des méchants de l'histoire, Victor Hugo explique son attitude. Il ne s'agit pas de l'excuser ni de la légitimer, mais de la rendre compréhensible. En effet, Barkiphedro est un homme frustré et humilié : au service de Josiane car elle l'a aidé. C'est ici l'occasion pour Hugo de souligner un autre aspect de l'hypocrisie de l'aristocratie qui se complait en fausses générosités dans l'unique but de flatter son ego. Le chapitre "Flamboiements qu'on verrait si l'homme était transparent" fait apparaitre Barkiphedro comme une victime. Il montre la complexité du Mal, qui n'est jamais un pur acte positif mais le résultat d'une configuration malade et souffrante.

vient d'être supprimer pour TI probable (car absence de source).

Cela me semble dommage: le texte est bien écrit (mieux que je ne pourrais jamais le faire, et nuance le portrait présent. Il correspond à une analyse que l'on trouve ailleurs. Ce livre, par exemple, nuance le mal absolu qu'incarne Barkilphedro, pointe du doigt les idées défendues par VH sur la responsabilité des privilégiés dans le mal qui se développe chez les faibles (Thenardier, Barkilphedro). le chapitre Flamboiements qu'on verrait si l'homme était transparent est assez significatif dans ce plaidoyer. Cela est relevé dans le Courrier de l'Europe de 1869 « Ce portrait de Barkilphedro, c'est la découverte de la victime dans le bourreau; c'est sublime. » (cf [1], p. 238), même son de cloche chez Yamina Hachem qui a mis en scène la pièce « Même Barkilphedro, pour moi, est un personnage complexe. Ce sont des êtres qui ont une histoire, qui ont des excuses… On peut justifier leur comportement… on peut l’expliquer… »[2], même remarque ici. Il me semble que l'article gagnerait à la remise de cette section. HB (discuter) 6 septembre 2018 à 09:22 (CEST)[répondre]

Postérité : reprise du personnage par J.D. Salinger[modifier le code]

Bonjour, J'ai pensé que l'on pourrait ajouter, dans la section "Posérité", le fait que J.D. Salinger a aussi repris le personnage éponyme dans sa nouvelle "The Laughing Man" (que l'on peut justement traduire par "L'homme qui rit"), parue dans le recueil de nouvelles Nine Stories en 1953. Qu'en pensez-vous ? Cdt, Loulou934 (discuter) 18 mai 2020 à 13:16 (CEST)[répondre]

Bonjour Loulou34 ÉmoticôneOui, c'est une bonne idée. En fait, c'est traduit en général par L'Homme hilare. Mais bien que l'article de WPen signale en effet dans le RI cette source d'inspiration, je ne vois pas de référence. Bon, le texte est assez clair, on peut le mentionner (et tant qu'à faire, dans notre article sur L'Homme hilare aussi), mais il vaudra mieux avoir une source tôt ou tard...--Dfeldmann (discuter) 18 mai 2020 à 13:41 (CEST)[répondre]