Discussion:Joseph Turmel
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Suspendu et aumônier ?[modifier le code]
L'article dit ceci : "Ses opinions libérales sur l'exégèse vétéro-testamentaire aboutirent à sa suspension ; on lui donna alors en 1893 une place d’aumônier dans un couvent de religieuses à Rennes". Je cois savoir qu'un prêtre suspendu ne peut pas dire la messe (voir Suspense (droit canonique)). Es-il possible qu'un prêtre qui ne peut pas dire la messe soit aumônier d'un couvent de religieuses ? Marvoir (discuter) 6 octobre 2014 à 16:46 (CEST)
- Autant qu’un (méchant) protestant puisse comprendre les finesses du catholicisme, il n’était pas suspens a divinis mais suspendu en tant que professeur de théologie. Il a eu le même sort que Loisy qu’on a privé de sa chaire et envoyé comme aumônier dans un couvent de bonnes sœurs. Gustave G. (discuter) 6 octobre 2014 à 17:54 (CEST)
- Merci de la réponse. J'aurais peut-être dû comprendre, mais ne serait-il pas plus clair de préciser que c'est en tant que professeur qu'il fut suspendu ? On pourrait peut-être mettre : "Ses opinions libérales sur l'exégèse vétéro-testamentaire aboutirent à la suspension de ses fonctions enseignantes..." ou "Ses opinions libérales sur l'exégèse vétéro-testamentaire aboutirent à sa suspension comme professeur de théologie..." Simple suggestion de ma part... Marvoir (discuter) 6 octobre 2014 à 18:57 (CEST)
- Je n'ai pas le document sous les yeux et je ne sais pas en quels termes filandreux et latins ses supérieurs se sont exprimés. S'agissait-il d'une « peine médicinale » (destinée à provoquer son repentir) ou d'une « peine vindicative » (destinée à le punir de sa faute) ? Les lumières naturelles et surnaturelles me manquent pour le savoir. Je propose : « lui valurent d'être privé de sa chaire » : qu'en pensez-vous ? Gustave G. (discuter) 6 octobre 2014 à 20:55 (CEST)
- Cela me semble très bien (mieux que ce que j'avais proposé). Marvoir (discuter) 7 octobre 2014 à 10:35 (CEST)
- Je n'ai pas le document sous les yeux et je ne sais pas en quels termes filandreux et latins ses supérieurs se sont exprimés. S'agissait-il d'une « peine médicinale » (destinée à provoquer son repentir) ou d'une « peine vindicative » (destinée à le punir de sa faute) ? Les lumières naturelles et surnaturelles me manquent pour le savoir. Je propose : « lui valurent d'être privé de sa chaire » : qu'en pensez-vous ? Gustave G. (discuter) 6 octobre 2014 à 20:55 (CEST)
- Merci de la réponse. J'aurais peut-être dû comprendre, mais ne serait-il pas plus clair de préciser que c'est en tant que professeur qu'il fut suspendu ? On pourrait peut-être mettre : "Ses opinions libérales sur l'exégèse vétéro-testamentaire aboutirent à la suspension de ses fonctions enseignantes..." ou "Ses opinions libérales sur l'exégèse vétéro-testamentaire aboutirent à sa suspension comme professeur de théologie..." Simple suggestion de ma part... Marvoir (discuter) 6 octobre 2014 à 18:57 (CEST)