Discussion:Jean-Baptiste Gobel

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La partie : « Élu aux États généraux en 1789 par le bailliage de Belfort et Huningue, il défend l'autonomie du pouvoir spirituel et la liberté des opinions religieuses « pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public ». Jean-Baptiste Gobel est le premier évêque député à prêter le serment à la Constitution civile du clergé le 2 janvier 1791 et est élu évêque constitutionnel de Paris, le 13 mars 1791: il obtient 500 voix, Emmanuel-Joseph Sieyès en a 26,l'abbé Henri Grégoire 14 et l'abbé Claude Fauchet 2. Les évêques d'Orléans et de Sens, Étienne-Charles de Loménie de Brienne, Louis Jarente de Sénac d'Orgeval refusent de participer à son installation canonique et Charles Maurice de Talleyrand-Périgord est désigné par le Tribunal pour y procéder. Soucieux de plaire à ses amis Jacobins, Jean-Baptiste Gobel multiplie durant les trois ans de son épiscopat les gestes d'obédience. Il est membre actif du Club des Jacobins, administrateur de Paris, manifeste sa bienveillance à l'égard du mariage des prêtres. Visant plus haut, Jean-Baptiste Gobel se mêle de diplomatie et pousse le gouvernement à occuper l'évêché de Bâle. Envoyé en décembre 1792 à Porrentruy comme commissaire civil, il abuse de ses pouvoirs et est rappelé dés janvier 1793, accusé «d'ostentation, de cupidité et de tyrannie» par les sociétés populaires de la région annexée. » de cet "article" s'avère une copie quasi-conforme de : Jean Tulard, Jean-François Fayard, Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française 1789-1799, Paris : R. Laffont, 1987, p. 852.

✔️ Réglé pour l'historique et l'article Le gorille Houba 24 août 2006 à 11:38 (CEST)[répondre]

Qu’est-ce à dire ?[modifier le code]

Je sais bien que depuis Paul VI on ne sait plus ce qui est orthodoxe ou hérétique dans l’Église romaine mais il me semble bien que tout évêque, fût-il in partibus, possède (ou possédait) ce que l’on appelle la « plénitude du sacerdoce » et n'a (ou n’avait) donc pas besoin d’une nouvelle consécration épiscopale s’il était par la suite nommé à un siège effectif. Et cependant je lis bien : « il est sacré le 27 mars 1791 par huit évêques, dont Talleyrand ». Ne faudrait-il pas remplacer le mot « sacré » par « intronisé » ? Je me borne à poser la question et la laisse à trancher à nos spécialistes, sous le contrôle de nos neutralisateurs et autres ayatollahs du sourçage puisque ce sont des gens qui savent tout sans avoir jamais rien appris. Gustave G. (d) 17 décembre 2011 à 08:33 (CET)[répondre]