Discussion:Guillaume Brune

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Le texte provient du site histoiredumonde.net [1] avec l'accord de l'auteur pour cet article seulement. Yohan 16 mar 2004 à 22:14 (CET)

Comment se fait-il que le nom n'ait pas de trait d'union entre Guillaume et Marie? Sur le site précité il y en a un. --Cornischong 26 nov 2004 à 09:40 (CET) surement parce qu'il y a très peu de chances pour que le prénom composé Guillaume-Marie-Anne ait existé, alors qu'il est tout à fait plausible qu'il ait eu comme premier prénom Guillaume, comme deuxième Marie, et comme troisième Anne

Un petit détail annexe, mais d'importance tout de même : il faurait modifier la note 21, car ce n'est pas Balzac mais A.Dumas qui était le filleul de Brune - et voyez comme ça tombe bien puisque c'est aussi lui qui a écrit "les compagnons de Jéhu" ! ...à part ça tout baigne...--So6sechs (d) 7 janvier 2009 à 23:59 (CET)[répondre]


Concordance des temps[modifier le code]

Il existe un certain mélange des temps avec un va-et-vient du présent au passé et des petits sauts dans le futur... Frania Wisniewska (d) 29 novembre 2009 à 23:34 (CET)[répondre]

Absolument d'accord avec toi. C'est le résultat d'interventions de contributeurs partisans du "fameux présent historique" qui amène effectivement à commettre cette énorme faute : l'utilisation du futur dans un récit historique. J'avais initialement choisi les temps passés en toute connaissance de cause. Je te remercie donc infiniment de ta judicieuse remarque. Très amicalement --JPS68 (d) 29 novembre 2009 à 23:42 (CET)[répondre]
Je n'ai pas de problème avec l'emploi du futur dans un texte rédigé en "présent historique", si utilisé à bon escient. Ce qui me gêne ici est le va-et-vient du présent au passé, souvent dans le même paragraphe si ce n'est dans la même phrase. La règle devrait être ou l'utilisation du présent historique, et on s'y maintient, ou alors celle du passé, et on y reste. Comme toi, je préfère l'utilisation des temps passés, car il faut être un écrivain de talent pour rédiger un texte au présent historique et promener le lecteur dans les différentes étapes du passé. Au début cela paraît facile à l'amateur qui vite tombe dans le traquenard de la concordance des temps.
Pris au hasard:
  • "Ce fut alors qu’il devient ouvrier typographe pour pouvoir survivre."
  • "À Paris, Brune fait la connaissance de Marat, Fréron, Fabre d'Églantine et devint l’ami de Camille Desmoulins et de Danton."
  • "En 1795, après avoir commandé la place de Bordeaux, il participa à la répression de l’insurrection royaliste du 13 vendémiaire, aux côtés de Barras et du général Bonaparte. Appelé par le Directoire à l’armée d’Italie, sa conduite à Arcole est héroïque. Puis Brune, à la tête de l’avant-garde de la division Masséna, se distingue lors de la bataille de Rivoli. Puis il s'illustre à Saint-Michel, à Feltre, à Bellune, etc., et fut nommé général de division sur le champ de bataille le 17 avril 1797."
Très amicalement, Frania Wisniewska (d) 30 novembre 2009 à 17:08 (CET)[répondre]
Il ne s'agit pas d'avoir un problème avec l'emploi du futur dans ce "fameux présent historique", c'est tout simplement une grossière faute de français. Il ne peut y avoir ce temps utilisé à bon escient puisque il serait fautif en Histoire. Et j'ai assez d'articles historiques labellisés pour savoir de quoi je parle. Écrivain de talent, j'en doute fort pour ceux qui se laisse aller à cette simplification du "présent historique" Émoticône. Je suis donc comme toi pour l'usage des temps passés pour tout récit historique. Tu mets le doigt où il faut en me signalant au hasard les incongruités mise par différents utilisateurs. Je ne verrai aucun inconvéniant, bien au contraire, si tu rétablissais toutes ces phrases au passé. En ce moment je suis extrêment pris par l'article principal Avignon que les membres du Projet Vaucluse vont présenter en AdQ. --JPS68 (d) 30 novembre 2009 à 17:30 (CET)[répondre]
« Une grêle d'accusations tombe en même temps de la Montagne. Toute la droite, pêle-mêle, est successivement dénoncée. Robespierre, tout en pleurant Lepeletier, et recommandant l'union, porte un nouveau coup : il demande que le nouveau comité de sûreté commence l'examen de la conduite de Roland. La Convention, docile, frappe Roland en supprimant le bureau des journaux dans son ministère. »
MICHELET Jules. La Révolution Française, tome 2, LivreIX, chapitre XIII, page 188. Editions Gallimard, La Pléiade. Un exemple (parmi d'innombrables autres) d'écrivain sans talent ne connaissant sans doute ni son métier d'historien ni le français ! 194.5.119.236 (d) 10 août 2010 à 13:59 (CEST)[répondre]