Discussion:Guerre sertorienne

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Antonius et compagnie[modifier le code]

Supprimé (au moins provisoirement) ce long passage qui fait l'objet d'une demande de référence :

Pendant l'hiver 83-82 av. J.-C., Sertorius, un des lieutenants de Marius, part prendre son gouvernement en Hispanie citérieure où il réunit rapidement une armée. En 82 av. J.-C., Lucius Cornelius Sylla, après avoir pris Rome et battu Marius à la Porte Colline, décide d'éliminer les derniers généraux fidèles à Marius. C'est avec cette idée qu'il met le siège devant Volterra, dernière forteresse des partisans de Marius en Italie. Entre temps, Sylla charge un de ses généraux de combattre l'armée de Sertorius et de libérer l'Hispanie de la domination des partisans de Marius. Pour obtenir l'objectif, le général se voit confier une armée de cinq légions, qui est cantonnée à Massilia (aujourd'hui Marseille) jusqu'au début de la nouvelle campagne militaire programmée en été. Mais ce général décide seul de bouger pendant l'automne, en traversant les Pyrénées par des cols qu'il est risqué de traverser en cette saison. Selon Appien, ce général voulait réaliser l'exploit d'Hannibal en traversant les Pyrénées. Cependant dès son arrivée en Hispanie, Sertorius l'attaque dans une vallée étroite, et une légion entière est anéantie. Parmi les morts, se trouvent le général romain commandant l'expédition. Les quatre légions qui ont survécu à l'embuscade se retirent en Gaule. Le nouveau chef des légions rescapées, Antonius, prépare son armée à la campagne de l'année suivante. En 81 av. J.-C., Antonius prépare avec soin la nouvelle campagne, et pour minimiser les risques, il choisit un col difficile mais qui semble peu connu par Sertorius pour faire passer ses troupes en Hispanie. Sertorius parvient à obtenir l'information et décide de placer 5 000 Celtes face à Antonius à la sortie du col. Antonius aperçut à peine les Celtes. Il fait alors charger ses légions épuisées contre les Celtes, qui s'enfuirent, contraignant ainsi les légionnaires à traverser un torrent froid et à monter une colline. Ces derniers, épuisés par la marche et le franchissement du cours d'eau, sont surpris sur leurs flancs par Sertorius qui parvient à obtenir rapidement la reddition de deux légions. Antonius réagit en faisant construire deux camps pour protéger son ravitaillement et il se dirige vers l'Èbre. Cependant Sertorius contourne l'armée d'Antonius et va détruire les deux camps de ce dernier. Puis, près de Sagonte, dans la nuit suivante, un autre camp d'Antonius est attaqué et détruit par la cavalerie de Sertorius. Antonius décide alors de se retirer en Gaule, mais il perd sa cavalerie durant le franchissement du col lors d'un guet-apens, 2 000 des 2 500 cavaliers d'Antonius sont tués. Selon Plutarque, Antonius fut relevé de son commandement, alors qu'Appien affirme qu'il va exercer son commandement en Afrique. Le commandement des opérations est confié à Marcus Petreius, qui décide de faire le blocus de l'Hispanie et de ne pas intervenir directement sur ce front. En 80 av. J.-C., Marcus Petreius, après avoir considéré les avantages et les inconvénients, décide de commencer la campagne militaire à partir seulement de l'été pour surprendre Sertorius. Mais malheureusement pour lui, il ne réussit pas à organiser son armée à temps, et prend ensuite la décision d'attendre l'automne. Marcus Petreius cependant tombe malade et meurt, Sylla décide alors de confier le cours de la guerre à Quintus Caecilius Metellus Pius : un général célèbre pour sa tactique de temporisation. Entre temps, la Sicile est enlevée aux partisans de Caius Marius par Pompée, Volterra tombe également et Caius Marius le jeune est tué. Après ses victoires contre les partisans de Caius Marius dans la péninsule Italique, Sylla décide de l'organisation d'une nouvelle campagne en Hispanie à partir des Baléares, qui étaient encore en possession de la République romaine. Toutefois la flotte fut incendiée par des agents soutenant la cause de Marius et le départ en campagne fut reporté.

Le mystérieux général qui traverse les Pyrénées et y perd une légion n'est autre que Pompée (lire réellement Appien), et, comble de bizarrie, le mystérieux "Antonius", dont il est question plus loin, est en fait également Pompée... Comprenne qui pourra... Face à un tel sac de noeudset à de telles énormités, on ne peut qu'effacer et reprendre à zéro. Michel wal (discuter) 5 janvier 2014 à 12:19 (CET)[répondre]