Discussion:Gourmandise

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Article à recycler[modifier le code]

  • Pas d'introduction
  • Style non-encyclopédique (ex : "On trouve ici toute l'ambivalence du terme !")
  • Le sujet est traité uniquement sous un angle chrétien

--Gribeco 12 mars 2008 à 15:22 (CET)[répondre]

OK, j'ai fait une modification mineure et un appel à d'autres contributeurs. --Égoïté (d) 12 mars 2008 à 23:12 (CET)[répondre]

Suppression d’un paragraphe[modifier le code]

Bonjour. J’ai supprimé le paragraphe « Au XXe siècle, la gourmandise est redevenue péjorative, le discours médical utilisant l'expression de « souffrir d'embonpoint ». La société occidentale valorise la minceur et préconise la « lipophobie ». La gourmandise demeure un péché de classe mais inversé par rapport à la société de pénurie du Moyen Âge, les classes populaires étant aujourd'hui les plus touchées par l'obésité. » car

  • « Au XXe siècle, la gourmandise est redevenue péjorative » : [réf. nécessaire]
  • « le discours médical utilisant l'expression de « souffrir d'embonpoint » » : souffrir d’embonpoint n’est pas être gourmand
  • « La société occidentale comme dit précedement elle st grosse cette personne valorise la minceur et préconise la « lipophobie ». » : quel est le rapport prouvé à la gourmandise ? Un(e) anorexique ne pourrait-il être gourmand ? [réf. nécessaire]
  • « La gourmandise demeure un péché de classe » etc. : [réf. nécessaire] Je serais heureuse de lire celui qui me démontrera, références à l’appui qu’il n’y avait pas de gourmands au M-Â. chez les paysans ou les serfs, et qu’il n’y en a plus dans les classes aisées au XXIe siècle ! Émoticône.

Amclt, --Égoïté (d) 9 novembre 2010 à 09:19 (CET)[répondre]

Ben tu as en partie raison, ce paragraphe est plus lié à l'obésité/minceur que la gourmandise en tant que péché. Tu pourras cependant trouver les réf que tu demandes dans le podcast suivant [1]. Florent Quellier parle bien de péché de classe inversé : au M-Â. les paysans ou les serfs pouvaient être gourmands mais ne devenaient pas obèses à cause de leurs activités physiques. C'est donc la gourmandise à travers l'obésité qu'elle entraîne que je mentionnai comme péjorative. Il faudra plutôt que je place ce paragraphe retravaillé dans l'article obésité grâce à Histoire de l'obésité du Moyen Âge au XXe siècle de Georges Vigarello. Amclt, --Salsero35 9 novembre 2010 à 14:44 (CET)[répondre]
Depuis ton message, j’ai essayé en vain de «lire» le podcast. J’ai même appelé mon fils au secours ce soir. Néant. Impossible. Tu ne l’aurais pas enregistré par hasard ? --Égoïté (d) 13 novembre 2010 à 23:23 (CET)[répondre]


La gourmandise, un non-péché ?

Etant un peu consterné de voir sur un site tel que Wikipédia que la gourmandise ne serait pas un péché, avec citation biblique au passage, je me demandais si vous ne seriez pas dans l'erreur ? Car en effet, ce n'est techniquement pas l'aliment en soi qui rendrait la personne impure (encore que ça peut varier selon le contexte), mais le désir non-contrôlé pour l'aliment ;

En terme plus spécifique, si le ça n'est plus surveillé, ni contrôlé par le surmoi...

Par contre, ce qui serait intéressant de retrouver dans l'article, ce serait le remède à ce genre de péché (ablutions ?)...