Discussion:Gerboise verte
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Texte de l'anecdote publiée :
- Le gouvernement français a fait exploser sa dernière Gerboise le pour qu’elle ne tombe pas aux mains de généraux putschistes.
L'archive de la discussion ayant mené à cette publication peut être consultée sur cette page.
Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]
Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée là.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 15 juillet 2016 à 20:46)
Alerte exagération du transport de la bombe en 2CV[modifier le code]
Une bombe atomique des années 60 ne tient pas dans une 2CV.
De Alger à Reggane il y a 1500km... En 2CV, avec la qualité des routes/pistes de 1961, et sans GPS, c'est un périple d'au moins 3 jours. Sans compter la quasi impossibilité de ravitailler en route... ça n'est pas crédible.
Pourquoi laisser une bombe atomique dans un entrepôt d'un port alors qu'il y a des casernes et bases militaires dans tous le pays, et de surcroît, un opportun centre nucléaire du CEA à Reggane ?
Préalablement à un essai nucléaire, tous les éléments sont testés, contrôlés, mesurés.... avant d'être assemblés. A quoi bon s'être embêter à construire un tel engin si c'est pour le démonter et le remonter la veille du jour J ?
Devant ces incohérences flagrantes, j'ai cherché et trouvé notamment dans "Le Président et la Bombe" par Jean Guisnel et Bruno Tertrais des éléments de réponse, ainsi que dans le blog de Pierre Billaud : Suite au putsch des généraux, le personnel du CEA n'a plus confiance dans les militaires; quand en début d'après midi du 24 le tir est fixé pour le lendemain matin, Jean Viard demande, par prudence, à l'un de ses ingénieurs civil de charger discrètement dans sa 2CV le cœur de matière fissile (soit une bonne dizaine kilos de plutonium dans un container). Cette discrétion ayant pour but ne ne pas laisser aux militaires tous les éléments de la bombe avant le tir. Le transport s'est ensuite effectué en pleine nuit, depuis les installations de Reggane vers la tour à Hamoudia, soit une cinquantaine de kilomètres.
et voilà..