Discussion:François Furet

Si F. Furet a éxpliqué son départ du PCF par son rejet de la répression de l'inssurection de Budapest, il faut néammoins noter qu'il n'a quitté celui-ci qu'en 1959.

--Sol@l 17 février 2007 à 14:58 (CET)

En fait il s'était mis à l'écart du communisme dès 1954. Comme quitter le parti communiste, dans les années 50, était un choix lourd de conséquences, il est compréhensible qu'il n'ait claqué officiellement la porte qu'en 59, en utilisant Budapest comme prétexte.

Alexander Doria 21 mars 2007 à 13:35 (CET)

Il est inexact de dire qu'il ait en 1965 à la différence d'Aulard, Mathiez, Lefebvre et Soboul engagé une histoire de la Révolution française qui inclut Thermidor et le Directoire. Le deux derniers l'avaient fait. Lefebvre en 1930 puis en 1951 et Soboul en 1962. Par ailleurs c'est Michelet qui avait imposé le premier l'habitude de temriner l'historie de la révolution à thermidor et Louis Blanc en 1854 inclut la période thermidorienne.

Ce que l'on sait moins de lui !

Comme sa célèbre cousine issue de germaine, Menie Gregoire, il a aussi des attaches à Cholet par ses grands-parents paternels. Enfant et adolescent, il y passe ses vacances d'été du côté de l'avenue de Nantes à la place de la Demi-Lune. François Amand Furet son grand père, né à Cholet en 1863, médecin, est l'un des premiers otorhinolaryngologiste installé à Paris.

La mère de Pierre Furet (père de l'historien), avait une maison à Cholet. Quand il s'est marié avec Marie Rose Monnet, il a acheté une maison voisine dite le château de Bel-Air, proche de la Séguinière . « Il voulait garder ses origines et venir passer ses étés à Cholet », avec leurs quatre enfants, dont François, « c'est là que nous avons beaucoup joué », explique Menie Gregoire dans François Furet philosophe de l'histoire, éditions Hérault, Maulévrier, 1998).--Mimiche14 (discuter) 24 juillet 2019 à 19:38 (CEST)