Discussion:Ferdinand de Meeûs

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Ferdinand de Meeûs.[modifier le code]

La biographie de ce personnage qui joua un rôle important dans la création d'une banque belge, dans un pays dépourvu de toute structure financière capable de faire vivre son économie, semble avoir été écrit au picrate.

Même si l'argent est un sujet détesté de beaucoup, il est erroné de croire que ceux qui ont eu le talent de le rendre utile à l'économie d'un pays sont eux-même détestables.

Je pense que ce grand financier mériterait un portrait plus nuancé.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Bruxellensis (discuter), le 5 septembre 2007 à 21:13 (CEST)[répondre]

L'article ne me semble pas déséquilibré. Il dresse le portrait d'un homme de caractère difficile, pour dire le moins, mais en expliquant largement que ce personnage a fourni une contribution majeure à la solidification de l'Etat belge nouvellement indépendant. En lisant l'article, je n'ai pas du tout eu l'impression d'un "règlement de comptes" de la part du rédacteur; j'ai eu le sentiment de lire la biographie d'un homme au caractère "imbuvable" mais qui a accompli de grandes choses pour son pays. Ferdinand de Meeûs est loin d'être le seul personnage historique dans ce cas. Au total, je ne vois donc pas de problème majeur.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.128.52.71 (discuter), le 23 octobre 2010 à 02:41 (CEST)[répondre]
Remarque:vous avez lu l'article après les nombreuses améliorations qui lui ont été apportées! Voir l'historique.--Bruxellensis (d) 23 octobre 2010 à 12:39 (CEST)[répondre]

Portrait psychologique[modifier le code]

Selon le créateur initial de l'article, Ferdinand de Meeûs serait "audacieux, persuasif, avide de pouvoir, autoritaire, hautain, méprisant, arrogant et serait une personnalité controversée....ayant en outre la méfiance du roi!", voilà qui est beaucoup pour un seul homme qui a pourtant accompli une tâche immense encouragé par le roi.

Il serait en outre acheteur de "biens nationaux", dits "biens noirs", remarquons que ce terme s'emploie par les adversaires de la sécularisation des biens du clergé en ce qui concerne les acquéreurs de biens ecclésiastiques lors de la Révolution Française, peut-on encore parler de biens nationaux en 1830 soit quarante ans après?

L'on est en droit de se demander quelles sont les références qui permettent à l'auteur d'avoir un jugement aussi négatif sur une personnalité qu'il semble, c'est le moins qu'on puisse dire, ne guère apprécier, ce qui est son droit.

En tout cas tout cela paraît avoir été puisé chez les adversaires de Ferdinand de Meeûs tant politiques que commerciaux.

Des indications de sources sérieuses sont donc ici les bienvenues.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Bruxellensis (discuter), le 26 septembre 2007 à 17:07 (CEST)[répondre]

Défaillances massives[modifier le code]

Il faut in primo citer son activité dans la révolution de 1830:

  1. Déjà gérant de la banque
  2. Chef d'une force de cavalerie de milice qui chassa les néerlandais du pays
  3. Pendant son absence, la foule a brulé son hôtel de maître Porte de Schaerbeek de vengeance de sa collaboration payer la rente de Guillaume I
  4. L'impossibilité conséquente qu'il ne devienne Premier Ministre comme le voulait Louis de Potter et le gouvernement provisoire.
  5. La faillite imminente du pays en face du besoin de payer les salaires fin-du-mois du fonctionnariat, sa réponse à la demande de payer ladite rente en taxation.
  6. L'accord fait de stabiliser le pays en monarchie contre cette taxation, et le titre de noblesse en récompense.
  7. La dette dûe de Léopold par conséquent.

Il faut aussi mentionner sa foi crétienne, la fondation de l'Ordre des Soeurs de l'Eucharistie de sa fille Anna.

Il y a aussi une accusation de pillage massive de sa part faite par l'archiviste royale, Pierre-Alain Tailler, dans une étude du sort des biens des domaines ducales.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.241.227.84 (discuter), le 29 avril 2009 à 10:31 (CEST)[répondre]


Nouvelles critiques[modifier le code]

Pas un mot sur le Crédit de la Charité (son oeuvre majeure qui existe toujours et qui a été constituée en famille par lui, ses enfants et ses gendres). Pour répondre à votre question sur la statue de l'église de la Chapelle, il s'agit d'une statue offerte par le couple Bulens-Meeus. Eléonore Meeus, fille de Waleran, seigneur de Coensborgh (à Laeken) avait épousé Henri Bulens de Steenhault. voir dessin du château de Coensborgh (alors propriété des van Reynegom) vendu à Ixelles chez Romantic Agony (ancienne collection des ducs d'Arenberg). Dans la même église, vous trouverez à deux pas de la statue de Saint-Pierre, celle, armoriée, de Saint Jean (avec son calice) qui a été offerte par le couple van der Borcht-Seghers (Nicolas Van der Borcht épousa Johana Seghers et ancêtres de Ferdinand de Meeûs). Une des deux statues est de Fayd'herbe. Les Meeus sont déjà cités dans un manuscrit daté du 6 janvier 1367 étudié par A. Verkooren en 1912. Il repose aux AGR sous le numéro 2463. Il a été réétudié par Mina Martens, archiviste de la ville de Bruxelles, dans les actes relatifs à l'administration des revenus domaniaux du duc de Brabant en 1943. Palais des Académies pp. 90/91. 34. Chose curieuse , dans le site Wikipédia "Famille de Meeus" pas un mot sur ses parents François-Joseph et ses beaux-parents Henri-Joseph Meeûs. Le livre de Monsieur Van Belle en parlait pourtant suffisement. Ils ont chacun épousé une Van der Borcht mais curieusement des raccords existent avec Jacques t'Kint (époux d'une Van der Borcht) et un prêtre Van der Borcht. Le lecteur non averti pourrait se demander pourquoi. Sauf erreur de ma part j'y vois la signature invisible d'un certain Monsieur que je ne connais pas et qui aura lu les archives de Paul Meeûs, consul à Versailles. Tous les deux descendant également de la famille Van der Borcht.

Ce que vous signalez pas ou très peu c'est son ascencion politique extrêmement rapide juste après l'incendie de son hôtel de la porte de Schaerbeek. Son oncle Jean-Baptiste s'était retrouvé à la tête du jardin botanique partiellement détruit de l'autre côté de la porte de Schaerbeek et l'usine à gaz des Meeûs avait été vidée de son gaz dès le début des combats de 1830. Une autre maison de Ferdinand Meeûs avait été pillée : on y avait même dérobé les escaliers. La révolution les avait ruinés. On leur devait des compensations. Ils en reçûrent. J'ai encore beaucoup de choses à dire, mais je m'arrête ici. Bien à vous.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 217.136.65.86 (discuter), le 11 juin 2011 à 23:52 (CEST)[répondre]


J'ai corrigé la date d'entrée de Ferdinand Meeûs à la Société Générale comme Gouverneur 14 octobre 1830 et non le 14 septembre . Source : nomination civile par le Comité central lue dans le Bulletin des arrêtés et des actes du Gouvernement provisoire de la Belgique. Agapite.--109.128.41.198 (d) 19 août 2011 à 22:06 (CEST) Le 19 août 2011.[répondre]


Votre note n°1 est indigne d'un site wikipédia. En effet, pourquoi utiliser cette appelation "le surnom" alors qu'il s'agit d'un nom de propriété (Argenteuil à Ohain).--109.128.137.175 (d) 8 novembre 2011 à 22:46 (CET)[répondre]