Discussion:Domenico Losurdo

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Fiche de lecture = travail inédit[modifier le code]

C'est du moins mon sentiment. Mais, après avoir pris la température sur le bistro, et n'avoir constaté aucune fièvre, je préfère laisser à des esprits plus compétents le soin d'en décider. --Wikinade (d) 26 mai 2009 à 17:06 (CEST)[répondre]

Variole ?[modifier le code]

J'ai effacé le passage sur la variole, car les travaux des années 1980 qui disaient que l'US Army avaient volontairement propagné cette maladie durant les guerres indiennes se sont être révelé des faux. Si monsieur Losurdo se base de nos jours sur ce mensonge, cela montre qu'il n'est pas ocmpétent. L'amateur d'aéroplanes (d) 12 décembre 2010 à 11:25 (CET)[répondre]

C'est tout le problème de l'histoire sur les archives. Or, du jour au lendemain, tous les documents soviétique et informations chiffré étaient considérés comme non fiables furent par les "historiens" "compétents" des plus fiables. Cherchez l'erreur ? De toute façon, tout ce qui touche dans le domaine de l'histoire à l'intégrité du pouvoir des Etats-Unis est considéré comme mensonge. Heureusement quelques films cinématographiques et quelques irréductibles américains sont là pour rectifier le coche de l'historiographie officiel des puissants. Sebrider (d) 4 juin 2011 à 23:12 (CEST)[répondre]

Quand l'éradicateur Jean-Jacques Georges voit des POV partout ![modifier le code]

Jean-Jacques Georges est un pure éradicateur puisque tout ce qui ne lui convient pas par rapport à ces convictions idéologiques est tout bonnement éliminé même si il y a les sources sérieuses. Mais, il fait oeuvre de toujours avoir raison et que les autres ont torts. Il fait de la dialectique éristique. De plus, il ne prend que les références qui rentrent dans son cadre idéologique. C'est un grand spécialiste. Il n'est pas là pour améliorer wiki mais pour "réécrire" l'histoire comme cela lui convient le plus pour sa bonne conscience.

  • Couverture de Staline : histoire et critique d'une légende noire

« Il fut un temps où d’illustres hommes d’État –comme Churchill– et des intellectuels de premier plan –Hannah Arendt ou Thomas Mann pour ne citer qu’eux– avaient pour Staline, et pour le pays qu’il guidait, du respect, de la sympathie et même de l’admiration. Avec l’éclatement de la Guerre froide d’abord, et surtout, ensuite, avec le Rapport Khrouchtchev, Staline devient, du jour au lendemain, un "monstre", comparable peut-être seulement à Hitler. Le contraste radical entre ces attitudes à l’égard du "petit père des peuples" devrait pousser l’historien non pas à trancher en faveur d’une de ces images mais bien à les étudier toutes, en analysant les conflits et les intérêts qui sont à l’origine de ces prises de positions. C’est ce que réalise Domenico Losurdo, en revenant scrupuleusement sur les tragédies du XXe siècle et en déconstruisant et contextualisant nombre des accusations et louanges adressées à Staline. Cet essai est une approche à la fois historique, historiographique et philosophique –qui, comme en Italie à sa sortie, ne manquera pas de susciter de vives polémiques. »

  • Mon supposé POV en noire vu par l'éradicateur

La rencesion du livre de Losurdo dans Liberazione, organe du Parti de la Refondation communiste, a donné lieu en 2009 à une lettre de protestation de la part de vingt rédacteurs du journal, qui dénonçaient la tentative de réhabilitation de Staline par Losurdo, son relativisme à l'égard des crimes staliniens, et la recension de son ouvrage Staline : histoire et critique d'une légende noire par le journal[1]

Or, cet essai revient scrupuleusement sur les tragédies du XXe siècle, en déconstruisant et contextualisant nombre des accusations et louanges adressées à Staline. Il est une approche à la fois historique, historiographique et philosophique. Ainsi, Domenico Lorsurdo ne tranche ni sur la négativité, ni sur la positivité de Staline. C'est ce « –qui, comme en Italie à sa sortie, ne manquera pas de susciter de vives polémiques. ». Il a ainsi renoncé à toute moralité dans l'étude pour se consacrer à l'examen des sources disponibles, en élargissant les perspectives et en variants les angles de prises de vue[2] Il veut ainsi pousser les historiens à étudier toutes ces images véhiculées sur Staline, en analysant les conflits et les intérêts qui sont à l’origine de ces prises de positions[3]. Sebrider (d) 4 juin 2011 à 23:46 (CEST)[répondre]

  1. Lettera di un gruppo di redattori, 11 avril 2009
  2. cf Pierre Briant in Les Cahiers de Science et Vie, nº 122, avri-mai 2011, p. 23 : « Il est urgent de renoncer à tout vocabulaire moralisateur et de se consacrer au patient examen des sources disponibles, en élagissant les perspectives et en variants les angles de prises de vue. En un mot : faire de l'histoire et uniquement de l'histoire... »
  3. [http://www.aden.be/index.php?aden=staline-histoire-et-critique-d-une-legende-noire Staline : histoire et critique d'une légende noire', édition Aden, 534p., 2011.