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Discussion:Deborah Turbeville

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Cet article dans sa version actuelle contient un usage inapproprié du terme "reportage" pour qualifier les "séries de mode" de la photographe. J'ai commencé le nettoyage mais l’occurrence de ce terme --Nieweijiao (discuter) 29 avril 2015 à 22:44 (CEST)est dans le texte est si fréquente qu'il m'est impossible de le nettoyer intégralement. D'autant plus que la section où il est systématiquement utilisé me semble être une analyse inédite des série. Certes, ce n'est qu'une description des images mais cette description ne s’appuie sur aucune source. Par ailleurs, l'article dans son ensemble a une forte approche "gender studies" et est réducteur par absence d’évocation d'autres approches de son œuvre. Le sujet a une bibliographie assez conséquente pour que un article moins orienté soit possible.--Nieweijiao (discuter) 29 avril 2015 à 22:42 (CEST)[répondre]

Dans la section "publicité" : le passage "Ses photographies auront été publiées dans les éditions américaine, anglaise, italienne et russe de Vogue, dans le Harper's Bazaar, dans Vogue Décoration, Casa Vogue, W, Condé Nast Traveller, Vogue Bambino, Vogue Spoza, Zoom, The New York Times, et Art in America."

on ne comprend pas quelles photographies ? Les photographies publicitaires ne sont pas publiées uniquement dans les magazines. --Nieweijiao (discuter) 29 avril 2015 à 22:49 (CEST)[répondre]

Section mode / publicité : "avant de clore la décennie 1980 par les collections de Vogue Paris en 1989" Quelles collections ? Passage incompréhensible--Nieweijiao (discuter) 30 avril 2015 à 00:16 (CEST) En fait tout le paragraphe Carrière dans la mode / publicité est incohérent et contient des affirmations fausses[répondre]

Deborah Turbeville est aussi sollicitée par la publicité. En 1985 elle fait la campagne publicitaire des magasins Parco, puis enchaîne les campagnes avec notamment Emanuel Ungaro, Valentino et Romeo Gigli, ainsi que Mitsubishi, avant de clore la décennie 1980 par les collections de Vogue Paris en 1989. Dans les années 1990 c'est Nike et Ralph Lauren qui lui demandent ses services. Mais elle travaille de moins en moins pour ce secteur, et dans les années 2000 sa seule campagne de pub est pour Max Azria (BCBG) en 2009.

encore en 2012 elle fait une campagne pour Valentino ...

Turbeville continued working into her eighties, shooting Valentino's spring/summer and autumn/winter 2012 advertising campaigns last year and publishing her final book, Deborah Turbeville: The Fashion Pictures, in 2011.

http://www.vogue.co.uk/news/2013/10/28/fashion-photographer-deborah-turbeville-dies-aged-81--Nieweijiao (discuter) 29 avril 2015 à 23:03 (CEST)[répondre]

Dans l'introduction, le passage "le grain de ses images qui la rapprochent de la photographie d'art" me semble superflue - il est inutile de commenter de cette manière l'oeuvre d'un artiste. Le débat - photo de mode art ou pas est mentionné sur la page "photographie de mode"--Nieweijiao (discuter) 30 avril 2015 à 00:21 (CEST)[répondre]

Dans la section "Analyse - oeuvre" il serait préférable de remplacer le vocabulaire poétique des sous-sections par des termes plus techniques et plus neutres - à l'heure actuelle c'est l'interprétation personnelle faite sans doute par une étudiante dans un mémoire qui est mise en avant. Si ces titres sont repris d'un ouvrage il serait indispensable de sourcer en donnant le nom du critique qui a appliquée cette grille d'analyse.--Nieweijiao (discuter) 30 avril 2015 à 02:42 (CEST)[répondre]

retrait passage non sourcé[modifier le code]

J'ai retiré ce passage qui n'était pas sourcé, je colle cependant ici afin de ne pas le perdre

Séries de mode pour Vogue (1975-1981)[modifier le code]

Le monde de la photographie de mode est dominé par les hommes, alors que celui de la rédaction de mode l'est par les femmes. Avant Turbeville, des femmes comme Louise Dahl-Wolfe ou Toni Frissell avaient prouvé qu'elles pouvaient aussi tenir les lourds appareils de l'époque et prendre des femmes désirables en photo. Mais Deborah Turbeville, dans la deuxième moitié des années 1970, occupe dans les pages de Vogue une place égale à celle de ses collègues masculins. Et cependant, marquant sa différence dès la série de mode de 1975 The Bathhouse, ses photographies tranchent avec la tendance de la photographie de mode des années 1970, celle de la « Super Woman » de plus en plus sexualisée[réf. souhaitée].

Séries 1975[modifier le code]

  • En , Deborah Turbeville fait son entrée avec deux séries dans un numéro : le premier, de sept doubles pages, montre des modèles marchant lentement dans un extérieur aux tons gris et verdâtres, ne prêtant pas attention à la photographe ; dans le second, de quatre doubles pages, les modèles portent la coupe à la garçonne et nous regardent avec suspicion ou indifférence. Dans l'une des images, p. 98, l'image de la photographe se reflète dans la vitre sombre et floue. Ce jeu d'ombres et de reflets sera récurrent dans son œuvre[réf. souhaitée].
  • En février, c'est une série de quatorze doubles pages que Vogue commande à Turbeville, présentant les modèles au côté des grands couturiers à l’œuvre. Le dispositif qui revient dans la majorité des images est le suivant : on[style à revoir] entraperçoit le créateur, masculin, dans un reflet ou à l'arrière de la scène, dardant sur nous un regard plein de hauteur, quand au premier plan, se confondant avec des poupées ou plongées dans une rêverie triste, complètement ailleurs et s'ignorant les unes les autres, bougent mollement ou s'affalent les modèles[réf. souhaitée].
  • En , Turbeville réalise une de cinq doubles pages sur les bijoux. Elle choisit de disposer ceux-ci sur un sol taché et rempli de gravas, un cadrage décentré et comme raté par un faux mouvement montre un fragment du modèle qui regarde ailleurs, par la fenêtre de cet espace démantelé[réf. souhaitée].
  • Dans le numéro d', on[Qui ?] retrouve un espace désaffecté dans une série de six doubles pages dans un ton pastel ou noir et blanc. Les modèles, un air d'ennui et d'attente sur le visage, regardent sans conviction à l'extérieur d'une grande pièce dont les fenêtres voilées les séparent du dehors. Dans le fond, un ouvrier sans visage répare quelque chose[réf. souhaitée].
  • En , sort la fameuse série de mode appelée plus tard The Bathhouse Series : en cinq doubles pages, dans décor de vestiaires sales, gris et rouillés, maculés, les modèles en maillot de bain sont avachis par terre, la tête dans les mains, ou bien se retiennent aux murs. Quand leurs yeux ne sont pas fermés dans l'évanouissement, elles regardent ailleurs, jamais aucun regard ne se croise. Pourtant serrées dans ce qui semble être une douche de prison, elles s'ignorent mutuellement et semblent même ignorer l'espace de leur confinement[réf. souhaitée]. Accusé de représenter les camps de concentration, Vogue consacre à Turbeville une longue interview revenant sur cette série. L'entretien lui permet de réhabiliter son travail en passant par l'argument suivant : « Les gens se sont mis à parler d'Auschwitz et des lesbiennes et des drogues et tout ce que j'avais fait c'était d'essayer de bien placer cinq figures dans l'espace. Parfois les meilleures choses qu'on fait, les choses les plus controversées, ont été faites dans la plus grande innocence[1] ».
  • En , malgré ce scandale, Vogue confie à Deborah Turbeville une nouvelle série de six doubles pages : cette fois, les modèles sont dehors et courent, rient aux larmes, communiquent entre elles, même si c'est seulement en se vernissant les ongles l'une l'autre. La présence d'enfants dans ces pages, l'ambiance plus positive, est peut-être un effort de Turbeville pour revenir dans les normes. Mais toujours, on trouve ce jeu avec les reflets, avec les lumières qui tendent à faire passer les modèles pour des apparitions de souvenir. L'une des images, en intérieur, présente quand même une femme perdue dans ses pensée, regardant mollement par une fenêtre n'ouvrant que sur un immeuble gris, et dans une pose qui semble montrer qu'elle se croit seule ou nous ignore[réf. souhaitée].

Hibrideacus (discuter) 25 février 2024 à 17:16 (CET)[répondre]

  1. interview par Amy Gross, in Vogue US, décembre 1981, p. 335