Discussion:Décapitation

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Suppression d'une image[modifier le code]

Si j'ai supprimé cette image, c'est pour des raisons purement esthétiques (donc subjectives). Sanao (d) 1 novembre 2009 à 16:51 (CET)[répondre]

C'est vrai que pour le peu de texte de cet article, 3 images ça fait déjà pas mal. En tout cas, si on rajoute une autre image plus approprié sans augmenter le texte, on pourrait alors envisager de retirer celle-là. Autrement esthétiquement la présence de l'image me convient et elle me semble approprié mais si tu m'en dis plus sur tes raisons, je pourrais peut-être changer d'avis.--Chrono1084 (d) 1 novembre 2009 à 17:29 (CET)[répondre]
J'ai trouvé que trois images, surtout en hauteur, étaient de trop. La raison pour laquelle j'ai choisi cette image et non une autre vient du fait qu'elle dépeint une période bien connue même en dehors de la France et que c'était donc un moindre mal.
Maintenant si tu considères que l'inesthétisme de cet article n'est pas très grave (en attendant un gentil contributeur), je ne vais pas en faire une jaunisse! Émoticône sourire. Sanao (d) 2 novembre 2009 à 00:26 (CET)[répondre]


Suggestion de référence bibliographique[modifier le code]

Antonio Dominguez Leiva, Décapitations. Du culte des crânes au cinéma gore, PUF, 2004 (ISBN 2130544355) À travers l'image gore de la décapitation, s'esquisse une généalogie du supplice et du macabre qui ouvre sur une histoire des rapports entre violence et représentation en accident. Trois grands moments historiques se dégagent, inaugurés par l'éclat des supplices comme économie de pouvoir - paradigme qui va du sacrifice antique jusqu'au théâtre de la cruauté à l'âge baroque. C'est alors que s'instaure une érotisation progressive des décollations qui hantera toute la sexualité occidentale. L'explosion baroque des têtes coupées est suivie par le contrôle des corps et de leurs représentations qui culmine dans le rêve des sociétés carcérales, transformant la logique du supplice jusqu'à aboutir à la figure paradoxale de la guillotine. Enfin l'économie symbolique de la société disciplinaire entre en crise au sein de la postmodernité : la décapitation est alors hantée à la fois par l'inflation de la violence spectaculaire et par l'érection de la mort en tabou. --Toninophage (d) 11 février 2012 à 15:11 (CET)[répondre]