Discussion:Collège Sainte-Barbe (Paris)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Recyclage[modifier le code]

J'ai quelque peu amélioré la forme des autres sections mais j'ai renoncé à mettre mon nez dans la section Histoire. C'est trop fouillis, trop confus, il faut synthétiser. Wanderer999 [Me parler] 8 février 2008 à 00:52 (CET)[répondre]

Bonjour,

Pas de trace ici de la séparation du « collège Sainte-Barbe » en deux établissements après la révolution.

  • l'un était dirigé par Victor de Lanneau à partir de 1798, le « collège Sainte-Barbe-Lanneau », rue Cujas.
  • l'autre par les frères Nicolle, Henri Nicolle (1767-1829) et l'abbé Charles Nicolle (1758-1835) son frère ainé, le « collège Sainte-Barbe-Nicolle », rue des Postes.

Par arrêté du Conseil royal de l'Instruction publique en date du 28 août 1821 l'institution de la rue des Postes connue sous le nom d'« Association des anciens élèves de Sainte-Barbe » fut érigée en collège de plein exercice et le 2 juillet 1822 le même conseil autorise le collège de la rue des Postes à porter le nom de « collège Sainte-Barbe ».

Par arrêté, toujours du même Conseil, en date du 6 octobre 1830 le « collège Sainte-Barbe » de la rue des Postes s'est vu attribué le nom de « collège Rollin » afin de conserver l'appellation d'« Institution Sainte-Barbe » à la maison d'éducation dirigée par Victor de Lanneau, il restera rue des Postes à Paris, actuelle rue Lhomond, jusqu'en 1876.

« Quant au collège de la rue des Postes, il fut appelé le Collège Rollin par un acte de justice qu'on peut regarder comme le digne pendant de l'autre, car ce fut consacrer la mémoire du Saint de l'Université, que de l'associer à l'existence d'un de nos meilleurs établissements d'instruction. Sainte-Barbe se félicite d'avoir fourni pour des rivaux qu'elle estime la pensée d'un si respectable patronage. » — Quicherat, Jules Étienne Joseph, 1814-1882, Histoire de Sainte-Barbe : collége, communauté, institution (1860)

--Fred (d) 15 mars 2010 à 01:29 (CET)[répondre]