Discussion:Bien national

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Références[modifier le code]

Ce matin, il n'y avait aucune références précises dans la partie "références", il y en huit cet après-midi. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Nice Breakfast (discuter), le 1 janvier 2012 à 15:35

Je vois : bravo ! Je t'ai mis un petit message sur ta page de discussion. --Ordifana75 (d) 1 janvier 2012 à 20:12 (CET)[répondre]

affirmation discutable (TI ?)[modifier le code]

L'article se livre à un raisonnement non sourcé basé sur la formule suivante ce n'est pas une nationalisation de biens privés "puisqu'il s'agissait essentiellement de biens affectés à des services publics ou à leur financement". Je suis très surpris :

  • les biens appartenant à des aristocrates n'étaient pas des biens privés ? vraiment ?
  • on pourrait essayer de tenir un peu plus le raisonnement en ce qui concerne les biens ecclésiastiques... si on accepte de confondre l'état et l'Eglise, ce que même dans l'Ancien Régime, on ne risquait pas de faire sur ce plan là. Il s'agit de biens privés, issus pour une très grosse part de legs (c'est ainsi que s'est constitué le patrimoine d'une grande part des abbayes, d'ailleurs souvent avec des legs importants de bien appartenant à des nobles) ou de chartes de fondation...

Bref tout ce raisonnement est un TI sauf preuve du contraire 93.9.65.135 (d) 31 juillet 2012 à 20:56 (CEST)[répondre]

Biens noirs en Belgique[modifier le code]

En Belgique, la France avait réalisé également la vente de nombreux bâtiments publics et religieux. De nombreuses abbayes (dont celle de Villers la Ville (Département de la Dyle ou Brabant wallon et flamand actuels et Bruxelles) et celle de Tongerlo (Département des deux Nèthes ou province d'Anvers actuelle) furent détruites), des refuges d'abbayes, des immeubles publics passèrent dans des mains françaises (comme dans le quartier du Parc de Bruxelles actuel). Les Belges ont rapidement pressenti le peu de valeur que représentaient les assignats et ce sont les gros bourgeois de Bruxelles qui achetèrent les terres vendues dans les provinces à la grande rage des paysans qui étaient incapables de les acheter. La révolution allait fameusement enrichir les acheteurs. Et celà laissa des traces encore bien visibles à l'heure actuelle. J'ai apporté des sources depuis lors.

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner

L'objectif principal de la confiscation des biens nationaux était leur vente (du moins, c'est ce que suggère l'article Bien national. Il me semble donc approprié de transférer le contenu de Aliénation des biens nationaux dans une nouvelle section de Bien national.7804j (discuter) 7 décembre 2019 à 23:40 (CET)[répondre]

Notification 7804j : Le premier article est l'article détaillé d'une section déjà existante du second article : cf. Bien national#Aliénation des biens nationaux. La longueur du premier article et les sources s'y trouvant me semblent pouvoir justifier le maintient de cet article comme article détaillé. SenseiAC (discuter) 8 décembre 2019 à 00:07 (CET)[répondre]
Notification SenseiAC : Techniquement je suis d'accord, il s'agit d'un article détaillé d'une section déjà existante. Mais en regardant l'article Bien National de plus près, il me semble que le sujet principal de la plupart des sections est la vente de ces biens. Par exemple:
Les deux articles semblent beaucoup se chevaucher, et il est très difficile de vraiment couvrir le sujet des biens nationaux sans vraiment discuter des détails de leur vente. 7804j (discuter) 8 décembre 2019 à 09:27 (CET)[répondre]
 Fusionner : Bien national décrit essentiellement le processus de vente. — Sernin SC (discussion) 26 mars 2020 à 11:32 (CET)[répondre]

Fait. Tarte 28 mars 2020 à 16:48 (CET)[répondre]