Discussion:Bataille de Bab El Oued
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par les projets France et Histoire militaire.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Bon début | Faible |  | France (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
 | Histoire militaire (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | ||
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
La version précédente attribuait à la marine (aéronautique navale) la propriété des appareils T-6 ayant « pilonné » la quartier de Bab-el-Oued en mars 1962. Il n’en fut rien. La marine disposait bien à cette époque d’avions école d’un type voisin, le North American SNJ, version navalisée du T-6. Mais ces appareils étaient alors basés soit en métropole, soit au Maroc (Kouribga) ou en Mauritanie (Port-Lyautey). En revanche, l'armée de l’Air mettait effectivement en œuvre des T-28F Fennec, dont l’origine US Navy a pu faire penser que c’était la marine qui en était l’utilisatrice. Ce qui n’était pas le cas.
La seule implication (supposée) de la marine dans la résolution de la crise a été le projet (non mis à exécution) d’intimider les séditieux, depuis le large, au moyen de l'artillerie de deux escorteurs. L'alinéa suivant en donne des précisions.