Discussion:Anne d'Orléans (1938)

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Triple révocation[modifier le code]

Le passage suivant a été trois fois révoqué par un utilisateur, avec des arguments selon lesquels « les informations sont sourcées : il ne nous appartient pas de les juger » et « Passages déjà sourcés ». Or, poser des questions n'est pas juger : en l'occurrence, on ne juge rien, on demande des précisions, car les formulations sont peu claires (« bien des concessions ») ou ambiguës, voire inappropriées. D'où l'apposition des questions {{Comment}}, {{Lesquelles}} et {{Douteux|l’autorisation|De qui ? À l'âge de 26 ans ?}} (voir ci-dessous les questions dans leur contexte).

« En 1960, Anne d'Orléans noue une idylle avec son cousin, le roi déchu et exilé Siméon II de Bulgarie (1937). Cependant, le Vatican lui refuse le droit d’épouser un non-catholique et le « comte de Paris » met un terme[Comment ?] à la relation des deux jeunes gens[1].

En 1961, Anne d'Orléans fait la connaissance, à Madrid, de son futur époux, Charles de Bourbon-Siciles (1938-2015). Très rapidement, une relation se développe entre les deux cousins et, dès 1963, le journal Point de Vue fait état de leurs fiançailles prochaines[2]. Mais les choses ne sont pas aussi simples pour le jeune couple. Le « comte de Paris » est en effet en froid avec le père de Carlos, l’infant Alfonso de Borbón-Dos Sicilias, parce qu’il ne reconnaît pas ses prétentions dynastiques sur le trône des Deux-Siciles. De son côté, Carlos soutient son père et se déclare même chef de la maison royale des Deux-Siciles à la mort de celui-ci[3].

Finalement, après bien des concessions[Lesquelles ?], Anne et Carlos obtiennent l’autorisation[Information douteuse] de se marier en 1965. »

En effet, il est légitime de se demander comment un homme de 27 ans et une femme de 26 ans, célibataires, simples particuliers n'appartenant pas à des familles régnantes, auraient eu besoin d'une quelconque « autorisation » (de qui et pourquoi ?) pour se marier. Et quelles concessions (qui plus est, « bien des concessions ») ont-ils donc eu à faire ? Et auparavant, comment et surtout de quel droit, en 1960, alors que la future mariée a déjà 21 ans (majorité), son père (simple particulier) a-t-il « mis un terme » à ses relations avec un ancien chef d'État (simple particulier lui aussi, étant détrôné depuis 13 ans) ?
Autant de questions que le lecteur de l'article ainsi que les contributeurs de Wikipédia, sont en droit de se poser et de poser. Les modèles {{Comment}}, {{Lesquelles}} et {{Douteux}} sont là pour ça, quand le sourçage est insuffisant et ne donne pas au texte tout l'éclairage nécessaire.
--Vultrogoth (discuter) 14 février 2017 à 07:44 (CET)[répondre]

Armoiries revendiquées (prétentions orléanistes)[modifier le code]

Ne faudrait-il pas spécifier que les armoiries figurant sur la page sont revendiquées au titre des prétentions orléanistes, puisque le lambel des Orléans n'y figure pas? --Vulson (discuter) 8 octobre 2017 à 19:21 (CEST)[répondre]

  1. Philippe de Montjouvent, Le Comte de Paris et sa descendance, Du Chaney Eds, Paris, 1998, p. 250-251.
  2. « Claude et Anne, les fiancées de la famille de France » dans Point de Vue, Images du Monde no  795, 06/09/1963.
  3. Philippe de Montjouvent, Le Comte de Paris et sa descendance, Du Chaney Eds, Paris, 1998, p. 251-252.