Discussion:21e régiment d'infanterie de marine

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Retrait de chants[modifier le code]

Texte copyvio supprimé --Hercule Discuter 3 novembre 2011 à 10:18 (CET)[répondre]

Il faudrait aussi enlever les chants des autres régiments comme le 4e régiment étranger puis bien d'autre encore.

Je ne vois pas où est le problème?

fantassin 72 (d)marsouin 72 9 septembre 2011 à 16:16 (CEST)[répondre]

Ces chants ne sont a priori pas libres de droit. Donc les mettre sous la licence en cours sur Wikipédia est de la violation de copyright.
En supprimant la section j'ai supprimé également une image avec le code suivant.
[[Image:21e RIMa Bastille Day 2008.jpg|thumb|right|250px|21{{e}} RIMa lors du défilé du 14 juillet 2008 sur [[Avenue des Champs-Élysées|les Champs-Élysées]] à [[Paris]].]]
Je vous laisse le soin de la réintroduire ailleurs si vous les souhaitez
--Hercule Discuter 3 novembre 2011 à 10:18 (CET)[répondre]

Ajouts - quelle formulation ?[modifier le code]

Texte ajouté initialement le 7 septembre 2008 dans lequel manquait la référence explicite au 21ème Régiment d'infanterie de marine

Il me semble que les informations suivantes devraient figurer dans l'article, au moins de façon résumée.


Dans son livre "Noires fureurs, blancs menteurs" (un livre dans lequel par ailleurs il argumente en faveur du bien fondé de l'action politique et militaire française au Rwanda en 1990-1994), Pierre Péan fait état de crimes commis par plusieurs militaires français du 21ème RIMA durant l'opération Noroît. Selon les informations recueillies par PP, des militaires français auraient violé et gravement blessé une jeune femme rwandaise. Les faits recueillis par Pierre Péan sont les suivants, après l'enquête menée par l'auteur auprès de François Léotard, le général Philippe Mansuy, et d'autres militaires : Plusieurs soldats appartenant à la section chargée de la garde de l'aéroport va passer la soirée dans l'établissement "Kigali Night". En sortant les soldats, venus avec un camion de l'armée, font monter une jeune rwandaise. Deux d'entre eux violent la jeune fille puis la blessent au sexe avec la baïonnette de leur arme. Les autres soldats n'interviennent pas. Elle est laissée nue au bord de la route. Conduite à l'hôpital de Kigali, le cahier d'entrée porterait la mention "Violée par des militaires français". Deux prévôts sont saisis de l'affaire. Le chef-adjoint du régiment, le lieutenant-colonel Boré, et le colonel Robardey, adjoint de l'attaché de défense sont prévenus. Les prévôts conduisent leurs investigations et recueillent la plainte de la victime. Les auteurs du crime et leurs complices sont mis en garde en vue. Les prévôts contactent le procureur du Tribunal de grande instance de Draguignan. Le substitut estime d'abord que le crime n'ayant pas été commis durant les heures de service, ce cas ne relève pas de sa juridiction. Puis il suggère de saisir la justice locale. Finalement le dossier est envoyé au tribunal de Draguignan, mais selon Pierre Péan il est enterré. Des officiers généraux désignent à Pierre Péan le ministre François Léotard comme responsable d'avoir étouffé l'affaire. Son chef de cabinet d'alors, François Lépine, a affirmé ne pas avoir de souvenir de cette affaire. Pierre Péan a également contacté le général Philippe Mansuy, alors chef de cabinet de l'amiral Lanxade. Celui-ci a déclaré "Militairement il y a eu des suites. Il y a eu une enquête et des sanctions. En termes d'éthique militaire, ça ne pouvait pas passer.."


Source :"Noires fureurs, blancs menteurs" pages 207-208


Faut-il créer un chapitre Mises en cause publiques ou bien Controverse entourant l'implication de soldats du régiment au Rwanda en 1992-1993 dans des faits criminels ? Y-a-t-il d'autres réactions, démentis depuis la publication du livre de Péan fin 1985 ? Cordialement Galufa (d) 7 septembre 2008 à 10:29 (CEST)[répondre]


Afghanistan[modifier le code]

Le décès des deux militaires, le caporal Jean-Nicolas Panezyck puis Lieutenant Lorenzo Mezzasalma, s'est produit après un premier accrochage le lundi 23 août 2010 au matin. Celui-ci a concerné un élément de la Task Force Hermes, bataillon de Kapisa commandé par le colonel Michel de Mesmay et composé pour l'essentiel de soldats du 21e régiment d'infanterie de marine de Fréjus. Lors de ce premier engagement, trois soldats ont été blessés, dont l'un très grièvement. fantassin 72 (d) marsouin 72 25 août 2010 à 14:17 (CEST)[répondre]

Bonjour, l'historique est en forme de liste, les missions aussi, les chefs de corps également. C'est d'une part gênant pour la lecture, et puis ça ne fait pas très sérieux. Je comprends que ça prenne le temps d'évoluer bien sur, mais en attendant le bandeau à délister me semble adéquat. Cordialement. --Yellow23 (d) 30 décembre 2011 à 11:59 (CET)[répondre]