Dépôt du Lion d'Or
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| Dépôt du Lion d'Or | |
_-_D%C3%A9p%C3%B4t_des_Tramways_%C3%A9lectriques_de_Lille.jpeg) Vue du dépôt. | |
| Adresse | Lille France
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| Coordonnées | 50° 38′ 35″ nord, 3° 05′ 27″ est |
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Le dépôt du Lion d'Or est un ancien dépôt de la compagnie des Tramways électriques de Lille et sa banlieue (TELB) construit en , situé rue du Faubourg-de-Roubaix démoli en et remplacé par un immeuble de logements.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le dépôt du Lion d'Or est construit en pour la traction hippomobile par les Compagnie des tramways du département du Nord[note 1], il tire son nom du pont du Lion d'Or voisin. Il comprend à l'origine une remise à voitures et des écuries pour la traction hippomobile et est par la suite modifié pour l'exploitation de machines à vapeur sans foyer type Francq.
Pour accompagner l'électrification du réseau, le dépôt est entièrement reconstruit en et prend la forme qu'il gardera jusqu'à la fin de sa carrière. Il comprend dans sa partie nord 1 remise de 2 halls totalisant 12 voies. Dans sa partie sud, une vaste cour abrite le faisceau de voies permettant d'accéder aux différentes voies de remisage, la cour abrite également une sous-station électrique en partie sud-ouest et un bâtiment administratif en partie sud-est. La dernière ligne de tramway de la CGIT[note 2], la ligne B cesse son service au soir du samedi remplacée par une ligne d'autobus. Le lundi, les tramways sont amenés au dépôt du Lion-d'Or où ils sont démolis. Les bâtiments du dépôt sont démolis en et remplacés entre et par un immeuble de logements[1].
Vestiges[modifier | modifier le code]
Aujourd'hui, subsiste encore devant le restaurant voisin Le Bistrot au n°233 un pavé monogrammé CTELB (Compagnie des Tramways Électriques de Lille et sa Banlieue) qui indique la présence d'un ancien feeder (câble d'alimentation des lignes aériennes).
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Celle-ci change de raison sociale en pour devenir la compagnie des Tramways électriques de Lille et sa banlieue.
- D'abord filiale des TELB chargée de la gestion des lignes d'autobus qui reprit à partir du la gestion du réseau de tramway, les TELB ayant renoncé à exploiter le réseau.
Références[modifier | modifier le code]
- Photographies aériennes IGN : mission C1020-0291_CDP7311_6401 · cliché 6401 · prise de vue 20/04/1976 & mission C2504-0021_1981_FR3380_0183 · cliché n°183 · prise de vue 1981 · depuis le site Remonter le temps de l'IGN.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Claude Gay (préf. Alain Decaux), Au fil des trams, association Amitram, (1re éd. 1971), 383 p.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
