Bella Poarch
| Naissance | |
|---|---|
| Nom de naissance |
Denarie Bautista Taylor Poarch |
| Nationalité | |
| Domicile | |
| Activité |
| A travaillé pour | |
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| Taille |
155 cm |
| Cheveux | |
| Yeux | |
| Label | |
| Genre artistique | |
| Site web |
(en) bellapoarch.ph |
Bella Poarch, de son vrai nom Denarie Bautista Taylor Poarch, née le aux Philippines, est une personnalité des réseaux sociaux et une chanteuse philippine-américaine. Elle est notamment connue pour ses vidéos sur la plateforme TikTok ; en , elle a non seulement le troisième compte le plus suivi du site, avec plus de 90 millions d'abonnés, mais elle a aussi publié le TikTok ayant réuni le plus de mentions « j'aime » de la plateforme.
Biographie[modifier | modifier le code]
Jeunesse[modifier | modifier le code]
Bella Poarch naît en 1997 et grandit aux Philippines. Sa famille déménage aux États-Unis, au Texas, lorsqu'elle a 13 ans[1].
Elle s’engage et travaille durant trois ans dans la marine militaire américaine, de 2015 à 2018[2].
Carrière[modifier | modifier le code]
En , elle crée un compte sur TikTok. Elle poste de façon active des vidéos diverses, jeux, cosplays, mimiques synchronisées. Elle acquiert une certaine notoriété en , avec une synchronisation labiale devenue virale sur le titre M to the B d’une rappeuse britannique, Millie B[2],[3].
En tant que membre de la communauté Asian Pacific American (en), elle a également ouvertement exprimé son soutien à la lutte contre le racisme anti-asiatique. Le , elle met en ligne une vidéo sur TikTok pour parler de ce sujet et faire passer le message. Elle fait part également de ses expériences personnelles en la matière, comme victime de discriminations et d’agressions, dans le magazine Vogue, en [4].
Le , elle publie son premier single, Build a Bitch (en)[5],[6]. Un clip lui est associé, sur YouTube[2]. Cette vidéo met en scène d'autres personnalités féminines notables d'Internet, et montre Bella Poarch et les autres comme des têtes prêtes à être placées sur des corps de poupées personnalisables selon les préférences des hommes, dans une fabrique industrielle. À la fin de cette vidéo, ces personnages féminins se révoltent et mettent le feu à la fabrique et au magasin. Cette vidéo est un succès, avec plus de 350 millions de vues sur YouTube, et des milliers de vidéastes qui en reprennent l’air et les paroles sur TikTok[2].
En , son compte sur TikTok cumule plus de 85 millions d'abonnés, le plaçant à la quatrième position des comptes les plus suivis du site. Par ailleurs, elle détient le record du TikTok ayant réuni le plus de mentions « j'aime » de la plateforme — celui-ci réunissant, à la même date, plus de 50 millions de « likes »[2].
Le de la même année, elle dévoile sur Instagram un teaser de son nouveau single, Inferno (en), qui sort le suivant[7].
Discographie[modifier | modifier le code]
EP[modifier | modifier le code]
- Build a B*tch - 2:03
- Dolls - 2:13
- Living Hell - 2:54
- No man's land (feat. Grimes) - 2:09
- Villain - 2:26
- Inferno - 2:14
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Bella Poarch » (voir la liste des auteurs).
- (en) Hattie Collin, « TikTok Star-Turned-Musician Bella Poarch on the Impossibility of Beauty Standards and the Value of Therapy », Vogue, (lire en ligne)
- Clémence Duneau et Florian Reynaud, « Qui est Bella Poarch, la star de TikTok dont le premier single bat des records ? », Le Monde, (lire en ligne)
- Benjamin Pierret, « Bella Poarch, la nouvelle star de Tiktok qui a gagné 9 millions d'abonnés en 1 été », BFM TV, (lire en ligne)
- (en) « Bella Poarch, Lastlings, Saweetie and Shawn Wasabi speak out on anti-Asian racism, fetishization and representation », Vogue, (lire en ligne)
- (en) Jason Lipshutz, « TikTok Star Bella Poarch Signs With Warner Records, Shares Debut Single », Billboard, (lire en ligne)
- (en) « The Hot 100. Chart: May 29, 2021 », sur Billboard
- (en) Chris Willman, « Bella Poarch’s Video Director, Andrew Donoho, on Building a Better ‘Inferno’… and De-Aging a Dancing Paul McCartney », sur Variety, (consulté le )
