Alfons Maria Schneider
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Alfons Maria Schneider (né le et mort le ) est un archéologue spécialiste de Byzance[1].
Biographie[modifier | modifier le code]
De 1918 à 1926, il étudie la théololgie, les langues l'orientales et l'histoire de l'art à Freiburg. Il est ordonné prêtre en 1922. Il reçoit son doctorat en 1927 et est habilité en 1937, De 1939 à 1944, il donne des cours sur l'architecture byzantine, l'origine de l'islam et l'histoire de l'art à la faculté des sciences humaines de Göttingen. Après-guerre, il est nommé professeur à la faculté des sciences humaines de Göttingen, et en 1952 reçoit un poste de professeur associé dans le domaine de l'histoire de l'art byzantin à Munich[2].
Ouvrages[modifier | modifier le code]
- Die Stadtmauer von Iznik (Nicaea) (1938)[3]
- Die römischen und byzantinischen Denkmäler von Iznik-Nicaea (1943)
Références[modifier | modifier le code]
- « Alfons Maria Schneider (1896-1952) », sur data.bnf.fr (consulté le )
- (de) Georg-August-Universität Göttingen- Öffentlichkeitsarbeit, « Prof. Dr. Alfons Maria Schneider - Georg-August-Universität Göttingen », sur www.uni-goettingen.de (consulté le )
- (en) A. W. van Buren, « Die Stadtmauer von İsni̇k Nicaea . By Alfons Maria Schneider and Walter Karnapp. », American Journal of Archaeology, vol. 43, no 2, , p. 365–367 (ISSN 0002-9114 et 1939-828X, DOI 10.2307/499287, lire en ligne, consulté le )
